Coup de Blues féérique. Si, si, je suis formel!
Blues féérique... et Nina Simone chantant "I put a spell on you".
Tiens une petite séance de féérie avec les voix bleues - Nina Simone, Billie Holliday, Sarah Vaughan - c'est une bonne idée pour mon programme musical de ce soir. Merci pour la suggestion, Tistou :-).
Billie Holliday ? Oh que oui ! Et Liz Mc Comb Fée, ne pas l'oublier.
Liz McComb?
Je ne connais pas, c'est du jazz?
Je ne connais pas, c'est du jazz?
Je me souviens que Marilyn Monroe aurait aimé être la fille de Clark Gable.
Je me souviens que j’avais très envie de posséder un couteau suisse.
Je me souviens que l’un de mes condisciples, qui se prénommait Walter, porta le deuil de Jimi Hendrix.
Je me souviens de la joie que j’éprouvais lorsque notre professeur de musique nous faisait écouter, sur un petit électrophone, l’ouverture de la "Pie voleuse" de Rossini.
Je me souviens que j’avais copié, au cours de dessin, la couverture de l’album de King Crimson, "In the court of the Crimson King".
Je me souviens d’ELP (Emerson, Lake and Palmer) et d’ELO (Electric Light Orchestra).
Je me souviens que j’adorais "Les vacances au bord de la mer" de Michel Jonasz, que j’écoutais aussi souvent que possible dans le juke-box d’un petit café.
Je me souviens d’une chanson comique intitulée "Le curé contrebandier", dont toute la structure narrative était organisée pour permettre cette chute : « Et le brave curé / Ennemi du mensonge / Répond d’un air très embêté :/ Je veux que le diable me flambe/ Si je ne dis pas la vérité / J’ai quelque chose entre les jambes / Mais c’est pour la dame d’à côté / J’ai quelque chose entre les jambes/ Mais c’est pour la dame d’à côté… »
Je me souviens d’un champion de force basque (berger ?) devenu célèbre boxeur sous le nom d’Urtain.
Je me souviens de ce sizain absurde que disait ma mère : « Une grand-mère de quatre-vingt-sept ans / En mangeant de la crème / S’est cassé une dent. / Ooh, lui dit sa maman, / En mangeant de la crème, / C’est pas étonnant. »
Je me souviens des bracelets de montre FIXOFLEX, dont j’ai redécouvert un exemplaire récemment au poignet de mon ami Eric Allard.
Je me souviens de la mort du champion cycliste Hugo Koblet, tué dans un accident de voiture suite à une collision avec un animal.
Je me souviens que l’abbé Froidure avait fondé une association en faveur de l’enfance malheureuse, dont l’affiche de propagande représentait une petite fille blonde à robe rose qui disait : « Je suis toute seule au monde ».
Je me souviens du jeu du 420.
Je me souviens de Cacolac « la boisson de ma génération ».
Je me souviens de la « Bof génération ».
Je me souviens du lancement de Srite (« prononcez "Spraïte" »).
Je me souviens que le groupe Pink Floyd a posé pour une publicité Gini.
Je me souviens que j’avais très envie de posséder un couteau suisse.
Je me souviens que l’un de mes condisciples, qui se prénommait Walter, porta le deuil de Jimi Hendrix.
Je me souviens de la joie que j’éprouvais lorsque notre professeur de musique nous faisait écouter, sur un petit électrophone, l’ouverture de la "Pie voleuse" de Rossini.
Je me souviens que j’avais copié, au cours de dessin, la couverture de l’album de King Crimson, "In the court of the Crimson King".
Je me souviens d’ELP (Emerson, Lake and Palmer) et d’ELO (Electric Light Orchestra).
Je me souviens que j’adorais "Les vacances au bord de la mer" de Michel Jonasz, que j’écoutais aussi souvent que possible dans le juke-box d’un petit café.
Je me souviens d’une chanson comique intitulée "Le curé contrebandier", dont toute la structure narrative était organisée pour permettre cette chute : « Et le brave curé / Ennemi du mensonge / Répond d’un air très embêté :/ Je veux que le diable me flambe/ Si je ne dis pas la vérité / J’ai quelque chose entre les jambes / Mais c’est pour la dame d’à côté / J’ai quelque chose entre les jambes/ Mais c’est pour la dame d’à côté… »
Je me souviens d’un champion de force basque (berger ?) devenu célèbre boxeur sous le nom d’Urtain.
Je me souviens de ce sizain absurde que disait ma mère : « Une grand-mère de quatre-vingt-sept ans / En mangeant de la crème / S’est cassé une dent. / Ooh, lui dit sa maman, / En mangeant de la crème, / C’est pas étonnant. »
Je me souviens des bracelets de montre FIXOFLEX, dont j’ai redécouvert un exemplaire récemment au poignet de mon ami Eric Allard.
Je me souviens de la mort du champion cycliste Hugo Koblet, tué dans un accident de voiture suite à une collision avec un animal.
Je me souviens que l’abbé Froidure avait fondé une association en faveur de l’enfance malheureuse, dont l’affiche de propagande représentait une petite fille blonde à robe rose qui disait : « Je suis toute seule au monde ».
Je me souviens du jeu du 420.
Je me souviens de Cacolac « la boisson de ma génération ».
Je me souviens de la « Bof génération ».
Je me souviens du lancement de Srite (« prononcez "Spraïte" »).
Je me souviens que le groupe Pink Floyd a posé pour une publicité Gini.
Je me souviens des jeux dans la campagne de mes grands-parents, des pieds dans la boue et de l’odeur nocturne de paille humide
Je me souviens des conversations entre petites filles, sous une couverture, à la lueur d’une lampe de poche
Je me souviens de « L’histoire sans fin »
Je me souviens des contes sur 45 tours avec la voix de Louis de Funès que j’écoutais la bouche ouverte
Je me souviens du chocolat et du pain grillé des dimanches matin
Je me souviens du chien de ma grand-mère qui venait toujours s’asseoir à côté de moi quand je pleurais
Je me souviens des documentaires sur les civilisations Incas à la fin des « Cités d’Or » et de la voix de Jean Toppaz
Je me souviens de Bobby McFerrin et de son éternel « Don’t worry, Be happy »
Je me souviens du premier trèfle à quatre feuilles trouvé dans mon jardin
Je me souviens de mon premier cours de danse et de la longue tresse de mon prof. Je l’ai trouvée si belle
Je me souviens des chasses aux sauterelles dans les hautes herbes de l’Ardèche et du cochon pendu
Je me souviens de ces bonbons multicolores remplis de sucre acidulé et dont l’extérieur ressemblait à de l’hostie
Je me souviens de l’odeur de l’eau de toilette Biolan
Je me souviens d’un premier baiser pas si agréable que ça
Je me souviens de Mr Navarro, prof de religion décalé, qui vidait l’eau sale de l’éponge à tableau par la fenêtre et a fini par arroser du monde
Je me souviens de ces sourires fluos, ancêtres des smileys, nés du vent « Acid » et de la New Beat
Je me souviens du concours Eurovision au temps où je le regardais ( !!)
Je me souviens de la main « Touche pas à mon pote »
Je me souviens de ce monsieur qui fredonnait Jean-Michel Jarre dans la librairie tout à l’heure
Je me souviens des chichis, des bisounours et de Clémentine
Je me souviens de la musique du film « Angélique »
Je me souviens de ma première paire de kickers
Je me souviens d’avoir chanté mille fois ce refrain « Emmenez-moi… » d’Aznavour pendant mon voyage rhéto
Je me souviens d’avoir fumé le cigare un soir de Nouvel an
Je me souviens d’avoir encore un tas de choses à me souvenir
Je me souviens des conversations entre petites filles, sous une couverture, à la lueur d’une lampe de poche
Je me souviens de « L’histoire sans fin »
Je me souviens des contes sur 45 tours avec la voix de Louis de Funès que j’écoutais la bouche ouverte
Je me souviens du chocolat et du pain grillé des dimanches matin
Je me souviens du chien de ma grand-mère qui venait toujours s’asseoir à côté de moi quand je pleurais
Je me souviens des documentaires sur les civilisations Incas à la fin des « Cités d’Or » et de la voix de Jean Toppaz
Je me souviens de Bobby McFerrin et de son éternel « Don’t worry, Be happy »
Je me souviens du premier trèfle à quatre feuilles trouvé dans mon jardin
Je me souviens de mon premier cours de danse et de la longue tresse de mon prof. Je l’ai trouvée si belle
Je me souviens des chasses aux sauterelles dans les hautes herbes de l’Ardèche et du cochon pendu
Je me souviens de ces bonbons multicolores remplis de sucre acidulé et dont l’extérieur ressemblait à de l’hostie
Je me souviens de l’odeur de l’eau de toilette Biolan
Je me souviens d’un premier baiser pas si agréable que ça
Je me souviens de Mr Navarro, prof de religion décalé, qui vidait l’eau sale de l’éponge à tableau par la fenêtre et a fini par arroser du monde
Je me souviens de ces sourires fluos, ancêtres des smileys, nés du vent « Acid » et de la New Beat
Je me souviens du concours Eurovision au temps où je le regardais ( !!)
Je me souviens de la main « Touche pas à mon pote »
Je me souviens de ce monsieur qui fredonnait Jean-Michel Jarre dans la librairie tout à l’heure
Je me souviens des chichis, des bisounours et de Clémentine
Je me souviens de la musique du film « Angélique »
Je me souviens de ma première paire de kickers
Je me souviens d’avoir chanté mille fois ce refrain « Emmenez-moi… » d’Aznavour pendant mon voyage rhéto
Je me souviens d’avoir fumé le cigare un soir de Nouvel an
Je me souviens d’avoir encore un tas de choses à me souvenir
Je me souviens du jardin des tuileries et des énormes tas de feuilles mortes adossés aux terrasses et sur lesquels des gamins un peu plus vieux que moi jouaient aux indiens.
Je me souviens de mes patins à roulettes sur les allées cimentées de ces mêmes Tuileries.
Je me souviens des vitrines de Noëls des Galeries Lafayette et du Printemps avec leurs automates.
Je me souviens des DS noires et des 4CV à l’époque où il n’était pas possible même d’imaginer que quelqu’un de la famille ait une voiture à lui.
Je me souviens des magnétophones, gros comme une valise, avec leurs deux bobines de bande.
Je me souviens des premiers ordinateurs, gros comme des armoires, avec leurs cartes perforées et toutes ces filles qu’on a formées à la pelle au «métier» de perforatrice en les persuadant que c’était un des métiers les plus riches en perspective d’avenir.
Je me souviens de l’époque où les cités de banlieue, c’était chouette. Le luxe d’un grand appart tout neuf, d’une salle de bains, d’une vraie cuisine, d’un balcon !
Je me souviens des départs en vacances en train, avec les compartiments, les sièges en molesquine et le couloir latéral.
Je me souviens des bigorneaux jaunes ramassés sur les plages de Bretagne et dont on faisait des colliers. On n’en trouve plus du tout.
Je me souviens des pardons bretons, avec les bannières et des «bénédictions de la mer».
Je me souviens d’avoir vu une vieille femme couchée dans son lit breton fermé. J’avais plutôt peur.
Je me souviens de ma fascination pour «La grande évasion»
Je me souviens des «radios pirates» en dehors des eaux territoriales. Je croyais que c’était l’avenir.
Je me souviens des CRS de mai et de leur look inimitable
Je me souviens des cinémas permanents et aussi de la cinémathèque où, faute d’une lecture suffisante du programme, je m’étais retrouvée face à un film japonais (que je maîtrise mal) sous-titré en une langue germanique mal identifiée et clairement obscure.
Je me souviens du concert Lavilliers pour la FA
Je me souviens de ce qu’était la vie d’une femme sans lave-linge.
Je me souviens de la mort de Balavoine.
Je me souviens de plein de choses en fin de compte. Merci Lucien, merci Georges.
Je me souviens de mes patins à roulettes sur les allées cimentées de ces mêmes Tuileries.
Je me souviens des vitrines de Noëls des Galeries Lafayette et du Printemps avec leurs automates.
Je me souviens des DS noires et des 4CV à l’époque où il n’était pas possible même d’imaginer que quelqu’un de la famille ait une voiture à lui.
Je me souviens des magnétophones, gros comme une valise, avec leurs deux bobines de bande.
Je me souviens des premiers ordinateurs, gros comme des armoires, avec leurs cartes perforées et toutes ces filles qu’on a formées à la pelle au «métier» de perforatrice en les persuadant que c’était un des métiers les plus riches en perspective d’avenir.
Je me souviens de l’époque où les cités de banlieue, c’était chouette. Le luxe d’un grand appart tout neuf, d’une salle de bains, d’une vraie cuisine, d’un balcon !
Je me souviens des départs en vacances en train, avec les compartiments, les sièges en molesquine et le couloir latéral.
Je me souviens des bigorneaux jaunes ramassés sur les plages de Bretagne et dont on faisait des colliers. On n’en trouve plus du tout.
Je me souviens des pardons bretons, avec les bannières et des «bénédictions de la mer».
Je me souviens d’avoir vu une vieille femme couchée dans son lit breton fermé. J’avais plutôt peur.
Je me souviens de ma fascination pour «La grande évasion»
Je me souviens des «radios pirates» en dehors des eaux territoriales. Je croyais que c’était l’avenir.
Je me souviens des CRS de mai et de leur look inimitable
Je me souviens des cinémas permanents et aussi de la cinémathèque où, faute d’une lecture suffisante du programme, je m’étais retrouvée face à un film japonais (que je maîtrise mal) sous-titré en une langue germanique mal identifiée et clairement obscure.
Je me souviens du concert Lavilliers pour la FA
Je me souviens de ce qu’était la vie d’une femme sans lave-linge.
Je me souviens de la mort de Balavoine.
Je me souviens de plein de choses en fin de compte. Merci Lucien, merci Georges.
Merci Lucien, merci Georges.
Y a pas de quoi... Tu vois, c'est pas si stressant... Tout ça est en toi, en nous. Suffit de regarder passer sa vie comme des nuages (svp dessine-moi un smiley).
Merci à Bluewitch pour la main "Touche pas à mon pote". La mienne était orange, je l'ai perdue dans un bois durant un jogging, je l'employais comme épingle pour fixer mon dossard, quelle idée! Elle m'avait été vendue par une élève devenue prof plus tard...
Je me souviens du lancement de Srite (« prononcez "Spraïte" »).
"Srite", c'est Sprite...
Je me souviens d’ELP (Emerson, Lake and Palmer) et d’ELO (Electric Light Orchestra).
Et OMD (Orchestral Maneuvre in the Dark) ?
Je me souviens que ma soeur écoutait en boucle la chanson Lola des Kinks. Qu'un magazine de rock américain l'avait élu meilleur morceaux rock de tout les temps. Que j'avais été très étonné bien des années plus tard en écoutant et traduisant les paroles.
"Srite", c'est Sprite...
Oui, tout comme je pense que le Jean Toppaz de Blue est Jean Topart
Ah!... Rocambole et Sir Williams!
Je me souviens de "Diabolo menthe", de mon bras timide et empêtré, de l'immense frontière d'un accoudoir.
Je me souviens de "No future", d'objets jetés à la volées, de liberté.
Je me souviens d' "Et la tendresse bordel", d'une effraction galopine inondée de fierté.
Je me souviens de "La septième compagnie" et de parties de flipper dans une salle de jeu miteuse.
Je me souviens d' "Orange Mecanique", de la brune froide de la ville, du bitume plat sous les réverbères.
Je me souviens de "Pulp fiction" et de baisers incohérents au dernier rang.
Je me souviens du "Septième sceau" l'après midi, mieux que du premier téton démasqué dans une voiture.
Je me souviens de "BarFly", de la tièdeur de l'air dans l'air, d'envies de rouler vitres ouvertes.
Je me souviens de "Rusty James", de la beauté solitaire de l'océan au matin, là-bas, après la Californie.
Je me souviens de "Sous le sable" en bord de mer, puisqu'on peut avoir froid en bord de mer.
Je me souviens de "More", d'Ibiza en tentures blanches, surexposée à en cligner des yeux dans le sommeil.
Je me souviens de "Zabriski point", de saturations et du mythe des jaunes orangers miroitants.
Je me souviens du "Genoux de claire" et d'un vieil arbre ou l'on grimpe capturer de rouges et rondes cerises.
Je me souviens du "Mari de la coiffeuse" et de la douce folie, folie douce, à caresser l'absolu de l'amour.
Je me souviens de "Jeanne D'arc", de la beauté des visages, immuable, renouvelée sans usure.
Je me souviens de "Ma nuit chez Maud", d'une cathédrale noire vue de quelques hauteurs.
Je me souviens d' "Intimité", là où l'homme renifle en pleurant, et d'une femme suivie sous la pluie.
Je me souviens, je me souviens, je me souviens, mais tout ça c'est aussi du cinéma...
Aussi ;-)
Je me souviens de "No future", d'objets jetés à la volées, de liberté.
Je me souviens d' "Et la tendresse bordel", d'une effraction galopine inondée de fierté.
Je me souviens de "La septième compagnie" et de parties de flipper dans une salle de jeu miteuse.
Je me souviens d' "Orange Mecanique", de la brune froide de la ville, du bitume plat sous les réverbères.
Je me souviens de "Pulp fiction" et de baisers incohérents au dernier rang.
Je me souviens du "Septième sceau" l'après midi, mieux que du premier téton démasqué dans une voiture.
Je me souviens de "BarFly", de la tièdeur de l'air dans l'air, d'envies de rouler vitres ouvertes.
Je me souviens de "Rusty James", de la beauté solitaire de l'océan au matin, là-bas, après la Californie.
Je me souviens de "Sous le sable" en bord de mer, puisqu'on peut avoir froid en bord de mer.
Je me souviens de "More", d'Ibiza en tentures blanches, surexposée à en cligner des yeux dans le sommeil.
Je me souviens de "Zabriski point", de saturations et du mythe des jaunes orangers miroitants.
Je me souviens du "Genoux de claire" et d'un vieil arbre ou l'on grimpe capturer de rouges et rondes cerises.
Je me souviens du "Mari de la coiffeuse" et de la douce folie, folie douce, à caresser l'absolu de l'amour.
Je me souviens de "Jeanne D'arc", de la beauté des visages, immuable, renouvelée sans usure.
Je me souviens de "Ma nuit chez Maud", d'une cathédrale noire vue de quelques hauteurs.
Je me souviens d' "Intimité", là où l'homme renifle en pleurant, et d'une femme suivie sous la pluie.
Je me souviens, je me souviens, je me souviens, mais tout ça c'est aussi du cinéma...
Aussi ;-)
très joli ce truc... faudra que j'essaye... si la mémoire me revient
En tout cas, nombre de vos "je me souviens..." sont très touchants... je pense à Killgrieg
En tout cas, nombre de vos "je me souviens..." sont très touchants... je pense à Killgrieg
très joli ce truc... faudra que j'essaye... si la mémoire me revient
En tout cas, nombre de vos "je me souviens..." sont très touchants...je pense à Killgrieg
En tout cas, nombre de vos "je me souviens..." sont très touchants...je pense à Killgrieg
Je me souviens de "Radio Jeunesse",
je me souviens qu'il n'y avait pas de TV à l'époque,
je me souviens de la victoire de Merckx au Tour de France en 69,
je me souviens du premier homme sur la lune, c'était le même jour, un 21 juillet,
je me souviens,
c'est loin tout cela.
je me souviens qu'il n'y avait pas de TV à l'époque,
je me souviens de la victoire de Merckx au Tour de France en 69,
je me souviens du premier homme sur la lune, c'était le même jour, un 21 juillet,
je me souviens,
c'est loin tout cela.
"Srite", c'est Sprite...
Oui, tout comme je pense que le Jean Toppaz de Blue est Jean Topart
Ah!... Rocambole et Sir Williams!
Sibylline, que ferais-je si tu ne me remettais pas de temps en temps sur la voie de la raison?! Merci à toi pour cette rectification. ;o)
Je me souviens ce matin avoir pleuré en pensant à Mamouche déposant les œufs au jardin dans le plus grand secret.
Je me souviens ce matin avoir souri en pensant qu'il m'appartenait désormais de prendre la relève avec le même sérieux.
Je me souviens ce matin avoir renoué avec la colère en pensant à celle qui est partie en laissant ce petit au bord du chemin.
Je me souviens ce matin avoir frissonné en pensant qu'en perdant une sœur j'avais gagné un enfant.
Je me souviens ce matin avoir frémi en pensant que ce serait peut-être la dernière fois.
Je me souviens ce matin avoir haussé les épaules en pensant que j'étais toujours là.
Je me souviens ce matin m'être assise en pensant que c'était terriblement bon d'être là.
Je me souviens ce matin avoir fredonné en pensant qu'il était délicieux de se transformer en cloche revenant de Rome.
Et que je vous souhaite à chacun la même étincelle que celle qui brille dans le regard des marsus quand ils partent le cœur battant en exploration dans le jardin.
Je me souviens ce matin avoir souri en pensant qu'il m'appartenait désormais de prendre la relève avec le même sérieux.
Je me souviens ce matin avoir renoué avec la colère en pensant à celle qui est partie en laissant ce petit au bord du chemin.
Je me souviens ce matin avoir frissonné en pensant qu'en perdant une sœur j'avais gagné un enfant.
Je me souviens ce matin avoir frémi en pensant que ce serait peut-être la dernière fois.
Je me souviens ce matin avoir haussé les épaules en pensant que j'étais toujours là.
Je me souviens ce matin m'être assise en pensant que c'était terriblement bon d'être là.
Je me souviens ce matin avoir fredonné en pensant qu'il était délicieux de se transformer en cloche revenant de Rome.
Et que je vous souhaite à chacun la même étincelle que celle qui brille dans le regard des marsus quand ils partent le cœur battant en exploration dans le jardin.
Je me souviens de "Radio Jeunesse",
je me souviens qu'il n'y avait pas de TV à l'époque,
je me souviens de la victoire de Merckx au Tour de France en 69,
je me souviens du premier homme sur la lune, c'était le même jour, un 21 juillet,
je me souviens,
c'est loin tout cela.
Je ne me souviens pas de "Radio Jeunesse"
Je me souviens des "haut placés de Formule J"
Je me souviens qu'il y avait trois chaînes à la télé : Bruxelles, Lille (ou "le poste français") et Bruxelles flamand
Je me souviens du "cannibale"
Je me souviens qu'en 69 Merckx avait ramené tous les maillots à Paris
Je me souviens de la chute de Luis Ocana dans la descente du col de Mente en 71
Je me souviens du coup de poing au foie dans le Puy de Dôme
Je me souviens des commentaires de Luc Varenne
Je me souviens d'Armstrong, Aldrin et Collins
Je me souviens du LEM
Je me souviens d’ELP (Emerson, Lake and Palmer) et d’ELO (Electric Light Orchestra).
Et OMD (Orchestral Maneuvre in the Dark) ?
Je me souviens de "Tarkus" d'ELP
Je me souviens d'"Enola Gay" d'OMD
Je me souviens qu'Enola Gay est le nom de l'avion qui a largué la bombe sur Hiroshima
Je me souviens d'"Hiroshima mon amour", de "Tu n'as rien vu à Hiroshima", de "Petite tondue de Nevers"...
Je me souviens que je supportais toujours l'Italie, même contre la Belgique,
Je me souviens d'avoir assister à un match de l'Inter Milan à San Siro avec Ronaldo et m'être dit que je n'avais jamais rien vu d'aussi beau,
Je me souviens des finales de la cup sur la RTB commentées par Frank Beaudoncq,
Je me souviens que les supporters de Liverpool chantaient pendant tout le match "You'll never walk alone",
Je me souviens que quand Pantani démarrait dans le Ventoux ou l'alpe d'Huez j'avais des frissons,
Je me souviens que Dino Zoff, le gardien de la Juventus et le meilleur du monde, avait arrêté quatre pénalties d'affilés,
Je me souviens que l'Ecosse tombait toujours contre le Brésil en coupe du monde et qu'ils se faisaient toujours battre,
Je me souviens de Freddy Maertens, le meilleur sprinter du peloton,
Je me souviens,..
Je me souviens d'avoir assister à un match de l'Inter Milan à San Siro avec Ronaldo et m'être dit que je n'avais jamais rien vu d'aussi beau,
Je me souviens des finales de la cup sur la RTB commentées par Frank Beaudoncq,
Je me souviens que les supporters de Liverpool chantaient pendant tout le match "You'll never walk alone",
Je me souviens que quand Pantani démarrait dans le Ventoux ou l'alpe d'Huez j'avais des frissons,
Je me souviens que Dino Zoff, le gardien de la Juventus et le meilleur du monde, avait arrêté quatre pénalties d'affilés,
Je me souviens que l'Ecosse tombait toujours contre le Brésil en coupe du monde et qu'ils se faisaient toujours battre,
Je me souviens de Freddy Maertens, le meilleur sprinter du peloton,
Je me souviens,..
Je me souviens ce matin avoir pleuré en pensant à Mamouche déposant les œufs au jardin dans le plus grand secret.
Je me souviens ce matin avoir souri en pensant qu'il m'appartenait désormais de prendre la relève avec le même sérieux.
Je me souviens ce matin avoir renoué avec la colère en pensant à celle qui est partie en laissant ce petit au bord du chemin.
Je me souviens ce matin avoir frissonné en pensant qu'en perdant une sœur j'avais gagné un enfant.
Je me souviens ce matin avoir frémi en pensant que ce serait peut-être la dernière fois.
Je me souviens ce matin avoir haussé les épaules en pensant que j'étais toujours là.
Je me souviens ce matin m'être assise en pensant que c'était terriblement bon d'être là.
Je me souviens ce matin avoir fredonné en pensant qu'il était délicieux de se transformer en cloche revenant de Rome.
Et que je vous souhaite à chacun la même étincelle que celle qui brille dans le regard des marsus quand ils partent le cœur battant en exploration dans le jardin.
Frissons, Sahkti.
Je me souviens de "Radio Jeunesse",
je me souviens qu'il n'y avait pas de TV à l'époque,
je me souviens de la victoire de Merckx au Tour de France en 69,
je me souviens du premier homme sur la lune, c'était le même jour, un 21 juillet,
je me souviens,
Radio jeunesse durait une demi-heure, il y avait une sorte de feuilleton, mais je ne sais plus dater exactement, c'était dans les années 50 probablement.
c'est loin tout cela.
Je ne me souviens pas de "Radio Jeunesse"
Je me souviens des "haut placés de Formule J"
Je me souviens qu'il y avait trois chaînes à la télé : Bruxelles, Lille (ou "le poste français") et Bruxelles flamand
Je me souviens du "cannibale"
Je me souviens qu'en 69 Merckx avait ramené tous les maillots à Paris
Je me souviens de la chute de Luis Ocana dans la descente du col de Mente en 71
Je me souviens du coup de poing au foie dans le Puy de Dôme
Je me souviens des commentaires de Luc Varenne
Je me souviens d'Armstrong, Aldrin et Collins
Je me souviens du LEM
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre