La nature s'auto-régénére, par le cycle, le processus de transformation des matières, des éléments !
Les grosses firmes stopent ce cycle, pour vendre aux agriculteurs, à ceux qui travaillent la terre, des produits qui sont censés celons eux enrichir une terre et toujours celons eux est pauvre, pour la rendre cultivable, ce qui leurs donne en semblant de raison, c'est que ayant brisé le cycle la terre ne se régénére plus, et les produit chimiques qu'ils vendent, malgré qu'ils détruisent d'une pare les qualité nutritionnels de ce qu'on mange ils rendent cette nourriture nocive pour notre santé !
Les grosses firmes stopent ce cycle, pour vendre aux agriculteurs, à ceux qui travaillent la terre, des produits qui sont censés celons eux enrichir une terre et toujours celons eux est pauvre, pour la rendre cultivable, ce qui leurs donne en semblant de raison, c'est que ayant brisé le cycle la terre ne se régénére plus, et les produit chimiques qu'ils vendent, malgré qu'ils détruisent d'une pare les qualité nutritionnels de ce qu'on mange ils rendent cette nourriture nocive pour notre santé !
Au niveau de l'agriculture, on est passé à l'ère de l'industrialisation : il fallait tout couper pour avoir des grandes surfaces nécessaires à l'automatisation. On a coupé tout les arbres. La terre s'appauvrit, car l'éco-système était nécessaire. Par exemple lorsqu'il y a des grosses pluies la terre est délavée et la couche la plus fertile s'en va dans les tallus. Les fermiers doivent acheter des semences génétiquement modifiée qui sont stérile (il faut payer chaque année) et qui résistent aux pesticides vendus par la même firme. Bref on fait tout de travers, mais il faut le temps avant que le changement de paradigme n'ait lieu.
Je t'invite à lire Pierre Rabhi qui explique ça en long, en large et en travers.
Un Grand Homme !
Un Grand Homme !
Je t'invite à lire Pierre RabhiPierre Rabhi : Semeur d'espoirs. Merci, Frunny, je le mettrai sur ma pile de LAL dès le confinement fini.
Moi je te propose, XooHooX, le Laudato si, la lettre encyclique du Pape François aux hommes de bonne volonté.
Très facile à lire et donc, très bien écrit.
Le Pape explique le côté systémique de la dégradation de la planète.
C’est-à-dire comment une mesure pour éliminer un mal entraîne un autre mal, qui demande une autre mesure, qui elle aussi va provoquer une autre mal, et ainsi de suite.
Le Pape a une formation scientifique de physicien-chimiste. Il parle en connaissance de cause. Et puis, c’est un Jésuite !
Mais il garde l’espoir d’un possible changement : puisque le mal vient des hommes, dit-il, les hommes seraient capables de l’enrayer.
Une très très belle lecture, à lire, à relire, à méditer, à mettre en pratique et, un jour, le monde sera meilleur.
Ah....! Pierre Rabhi...si gentil, si consensuel, si émouvant : tout le monde il est gentil et peut sauver la planète par une sorte d'action de grâce personnelle par laquelle cependant absolument rien ne change à l'état des choses...Le monde sauvé par la rédemption agropastorale applicable à chacun de nous, serions-nous organiste, plombier, astronaute ou bonze.
Tandis que rien, je dis bien RIEN n'est modifié aux règles communément admises et subies dans une société intégralement soumise à l'argent et à ceux qui le manipulent ! Il faut juste aspirer à une sorte de reconversion personnelle, chacun dans sa petite bulle, afin que la grâce vienne et nous métamorphose ! La grâce rabhinesque ne se transmet pas par une eucharistie, mais par un pied de laitue ou un bol de lait de chèvre
Bref, une sorte de Christ jardinier des âmes en même temps que des radis, lequel mettrait sous le tapis l'injonction du vrai (Christ) : "vous ne pouvez pas servir deux maîtres, vous ne pouvez pas servir Dieu et l'argent !"
Clairement et dans un langage cru : le principe qui fonde et fait vivre le monstre capitaliste, à savoir l'exploitation du travail humain par la propriété privée des instruments de production, on n'y touche pas ! Et surtout on n'en parle pas...
Rabhi est un niais, un naïf ou un roublard, fondateur d'une pseudo philosophie vaguement rousseauiste, "new age" par la bande et surtout impuissante si on en juge les résultats.
Mais c'est un enfumage de plus, un pétard mouillé supplémentaire au parfum de paradis perdu, une résurgence des vagues beatnik, hippies et consorts de jadis ; il faut bien entretenir le brouillard des consciences et éviter de remuer la cendre ou pourrait couver une quelconque révolte.
Le Medef devrait financer l'érection de statues à son effigie, que dis-je, fonder un culte avec ses cérémonies et des grands prêtres qui s'en iraient répandre la bonne parole,avec processions et dépôt de bottes de carottes,et fromages de brebis au pied des dites statues...C'est complètement con et caricatural ? Oui, comme Rabhi et son idéologie de castré du cerveau.
Mais je m'égare, en voulant rester poli.
Les poubelles de l'histoire sont comme le tonneau des Danaïdes : sans fond et sans fin. On peut donc aisément y foutre Rabhi et ses élucubrations de faux innocent.
Tandis que rien, je dis bien RIEN n'est modifié aux règles communément admises et subies dans une société intégralement soumise à l'argent et à ceux qui le manipulent ! Il faut juste aspirer à une sorte de reconversion personnelle, chacun dans sa petite bulle, afin que la grâce vienne et nous métamorphose ! La grâce rabhinesque ne se transmet pas par une eucharistie, mais par un pied de laitue ou un bol de lait de chèvre
Bref, une sorte de Christ jardinier des âmes en même temps que des radis, lequel mettrait sous le tapis l'injonction du vrai (Christ) : "vous ne pouvez pas servir deux maîtres, vous ne pouvez pas servir Dieu et l'argent !"
Clairement et dans un langage cru : le principe qui fonde et fait vivre le monstre capitaliste, à savoir l'exploitation du travail humain par la propriété privée des instruments de production, on n'y touche pas ! Et surtout on n'en parle pas...
Rabhi est un niais, un naïf ou un roublard, fondateur d'une pseudo philosophie vaguement rousseauiste, "new age" par la bande et surtout impuissante si on en juge les résultats.
Mais c'est un enfumage de plus, un pétard mouillé supplémentaire au parfum de paradis perdu, une résurgence des vagues beatnik, hippies et consorts de jadis ; il faut bien entretenir le brouillard des consciences et éviter de remuer la cendre ou pourrait couver une quelconque révolte.
Le Medef devrait financer l'érection de statues à son effigie, que dis-je, fonder un culte avec ses cérémonies et des grands prêtres qui s'en iraient répandre la bonne parole,avec processions et dépôt de bottes de carottes,et fromages de brebis au pied des dites statues...C'est complètement con et caricatural ? Oui, comme Rabhi et son idéologie de castré du cerveau.
Mais je m'égare, en voulant rester poli.
Les poubelles de l'histoire sont comme le tonneau des Danaïdes : sans fond et sans fin. On peut donc aisément y foutre Rabhi et ses élucubrations de faux innocent.
J'aime écouter ou lire les gens qui en savent plus que moi, mais j'aime aussi observé la nature, quand on la regarde poussé, on comprend pleins de choses, après il est sur que moi, je ne suis expert de rien, mais comme je ne dit, la nature mieux d'elles même que ne le fera quiconque, mais comme une immense majorité des hommes et de femmes ne savent lire est entendre que les mots, rare sont les gens capables de la comprendre, ceux pourquoi on en est là.
Je notre pour vos lecture, mais j'ai tellement de livre à lire que je n'ai pas encore lu, et j'avoue ne pas êtres très assidu dans ce domaine, ce que je regrettes.
Je notre pour vos lecture, mais j'ai tellement de livre à lire que je n'ai pas encore lu, et j'avoue ne pas êtres très assidu dans ce domaine, ce que je regrettes.
Correction :
J'aime écouter ou lire les gens qui en savent plus que moi, mais j'aime aussi observé la nature, quand on la regarde poussé, on comprend pleins de choses, après il est sur que moi, je ne suis expert de rien, mais comme je le dit, la nature parle mieux d'elle même que ne le fera quiconque, mais comme une immense majorité des hommes et de femmes ne savent lire est entendre que les mots, rare sont les gens capables de la comprendre, ceux pourquoi on en est là.
Je notre pour vos lecture, mais j'ai tellement de livre à lire que je n'ai pas encore lu, et j'avoue ne pas êtres très assidu dans ce domaine, ce que je regrettes.
J'aime écouter ou lire les gens qui en savent plus que moi, mais j'aime aussi observé la nature, quand on la regarde poussé, on comprend pleins de choses, après il est sur que moi, je ne suis expert de rien, mais comme je le dit, la nature parle mieux d'elle même que ne le fera quiconque, mais comme une immense majorité des hommes et de femmes ne savent lire est entendre que les mots, rare sont les gens capables de la comprendre, ceux pourquoi on en est là.
Je notre pour vos lecture, mais j'ai tellement de livre à lire que je n'ai pas encore lu, et j'avoue ne pas êtres très assidu dans ce domaine, ce que je regrettes.
Rabhi est un niais, un naïf ou un roublard, fondateur d'une pseudo philosophie vaguement rousseauiste, "new age" par la bande et surtout impuissante si on en juge les résultats.
Les poubelles de l'histoire sont comme le tonneau des Danaïdes : sans fond et sans fin. On peut donc aisément y foutre Rabhi et ses élucubrations de faux innocent.
Il y a les gens qui parlent, commentent, jugent et crucifient et d'autres qui agissent (agro-écologie en Afrique, ....)
Moi, j'ai choisi mon camp !
Il y a les gens qui parlent, commentent, jugent et crucifient et d'autres qui agissent (agro-écologie en Afrique, ....)
Moi, j'ai choisi mon camp !
C'est très bien l'Afrique, et ce que Rabhi,y fait aussi, mais ne me dis pas que le battage fait hic et nunc autour de son discours n'est pas à double détente. Je ne crois pas plus aux prophètes des "petits pas" qu'aux autres.
Lui, expert des racines en tout genre devrait creuser un peu plus la question des causes et des effets du monde dans lequel nous vivons.
Même en Afrique...suffirait qu'un connard se disant "djihadiste" foute tout par terre. Cherchez l'erreur.
à Radetsky : Moi aussi je suis un peu intello et j'ai tendance à réclamer de solides analyses sur le consumérisme et sur le rapport de l'homme et de son milieu naturel. En ce sens je réclamerai un manifeste d'écologie intégrale réactionnaire, non pas une utopie comme le marxisme, mais qui ressemblerait au Rerum Novarum de Léon XIII : une alternative réaliste et sociale, pleine du bon sens de nos anciens, et qui appelle à un abandon du mode de vie occidental. Même si manifestement un tel retour en arrière nous appauvrirait.
Mais à ce que je lis de Rabhi j'ai l'impression qu'il n'est ni écologiste-anarchiste, ni écologiste-du-tableau-Excel, ni même écologiste-chrétien, si tu me permets de surnommer ainsi les familles d'écolos avec lesquelles je suis familier.
Peut-être que Rabhi n'a pas très envie d'entrer dans un discours ni idéologique ni scientifique, qu'il "laisse" l'idéologie aux écolos-anarchistes, et la science à cet appareil scientifique occidental si considérable qui vaut parfois de traiter les Africains / les indigènes comme des enfants qui ne connaissent rien.
Peut-être est-il représentant d'une société plus ancienne, plus pragmatique, plus réactionnaire, volontiers superstitieuse. Elle aurait gardé un fond de méfiance envers les scientifiques jugés trop procéduriers, mais qui fait écho à une société pré-chrétienne, quasi-animiste où la pollution n'existait guère, où les calculs scientifiques n'existaient pas non plus.
On ne demande pas à l'autochtone d'Amazonie, animiste et sourd aux travaux de la science moderne, d'écrire un traité sur le mode de vie occidental et les moyens d'en sortir : c'est souvent plutôt le travail du blanc qui est venu à sa rencontre et qui parle (un peu) à sa place. Mais cet indigène peut exprimer son point de vue, inattendu et qui peut porter des fruits qu'on ne soupçonne pas.
Mais à ce que je lis de Rabhi j'ai l'impression qu'il n'est ni écologiste-anarchiste, ni écologiste-du-tableau-Excel, ni même écologiste-chrétien, si tu me permets de surnommer ainsi les familles d'écolos avec lesquelles je suis familier.
Peut-être que Rabhi n'a pas très envie d'entrer dans un discours ni idéologique ni scientifique, qu'il "laisse" l'idéologie aux écolos-anarchistes, et la science à cet appareil scientifique occidental si considérable qui vaut parfois de traiter les Africains / les indigènes comme des enfants qui ne connaissent rien.
Peut-être est-il représentant d'une société plus ancienne, plus pragmatique, plus réactionnaire, volontiers superstitieuse. Elle aurait gardé un fond de méfiance envers les scientifiques jugés trop procéduriers, mais qui fait écho à une société pré-chrétienne, quasi-animiste où la pollution n'existait guère, où les calculs scientifiques n'existaient pas non plus.
On ne demande pas à l'autochtone d'Amazonie, animiste et sourd aux travaux de la science moderne, d'écrire un traité sur le mode de vie occidental et les moyens d'en sortir : c'est souvent plutôt le travail du blanc qui est venu à sa rencontre et qui parle (un peu) à sa place. Mais cet indigène peut exprimer son point de vue, inattendu et qui peut porter des fruits qu'on ne soupçonne pas.
J'aime bien ton coup de gueule de Radets, en même temps je pense que cette théorie des petits changements n'est pas si bête (le colibri qui apporte sa goutte d'eau pour éteindre l'incendie). Vu qu'on est pas capable au niveau individuel de changer le système, on peut quand même se changer soi-même (en achetant local, bio, etc.). Et si suffisamment de monde le fait, sait-on jamais... Suis pas sur que ça permettra d'éviter la catastrophe écologique, mais si c'est la seule chose qu'on peut faire, ce serait bête de ne pas le faire. Surtout qu'une vie plus frugale et saine rend certainement plus heureux.
Moi aussi j’aime bien ton coup de gueule, Radetsky, ça au moins c’est de la critique !
Mais je vais quand même lire ce Pierre Rabhi, si gentil, si consensuel, si émouvant pour me faire une idée et tacher de pondre moi aussi une critique.
Mais cette théorie du colibri pour éteindre l’incendie, je n’y crois pas. Ça peut juste retarder les choses mais pas les empêcher.
A mon avis, s’il existe une solution pour sauver la planète ce sont les scientifiques qui la trouveront.
Mais je vais quand même lire ce Pierre Rabhi, si gentil, si consensuel, si émouvant pour me faire une idée et tacher de pondre moi aussi une critique.
Mais cette théorie du colibri pour éteindre l’incendie, je n’y crois pas. Ça peut juste retarder les choses mais pas les empêcher.
A mon avis, s’il existe une solution pour sauver la planète ce sont les scientifiques qui la trouveront.
Mais cette théorie du colibri pour éteindre l’incendie, je n’y crois pas. Ça peut juste retarder les choses mais pas les empêcher.
A mon avis, s’il existe une solution pour sauver la planète ce sont les scientifiques qui la trouveront.
La théories du colibris n'a pas la prétention d'être la solution qui éteindra l’incendie, mais ça rejoint le concept " n'attendons pas le changement, soyons l changement" !
A savoir que la théorie du colibris est en quelques sorte aussi une utopie, se qui rend réalisable ou pas un utopie, c'est d'une la volonté des hommes, et pour cela faut que chacun crois en le possibilité, c'est là que ça coince !
Quand à la science, si elle est science OK, si elle devient communication au service de lobby de l'industrie méfiance !
A mon avis, s’il existe une solution pour sauver la planète ce sont les scientifiques qui la trouveront.
Les hommes on appris à travailler la terre avant l'arriver de la science, moi tu voit c'est en cette science au service des lobby que je ne crois pas !
J’accorde plus facilement ma confiance à cette homme qu'à la science de comunication : https://www.youtube.com/watch?v=H14JhciwZDY
J'ai observé un sol non touché par l'homme, tu met la main dans l'humus, il y a une nano vie incroyablement étendue, plantes une jeune pousse elle se développe rapidement sans aucun apport de qui que se soit, tandis qu'uns terre labourée, ou on enlève tout l'humus, on tu la nano, vie, c'est presque impossible qu'une jeune pousse s'y développe sans aucun apport !
Il faut laisser tout les végétaux que l'on coup ou arrache sur place, il sont la nourriture de la terre, jeter ses végétaux à poubelle ou les bruler, c'est comme prendre la nourriture dans l’assiéte d'un homme qui s’apprête à manger pour la jeter aux ordures !
Que les grands groupes de la science de la terre, fassent leurs expériences dans leurs jardins personnels et laissent en PAIX les terre agricoles, ceux qui les cultives, et ceux qui ce nourrissent de ce qui s'y cultives !
J’accorde plus facilement ma confiance à cette homme qu'à la science de comunication : https://www.youtube.com/watch?v=H14JhciwZDY
très intéressant (je recopie le lien car sinon avec les quote il est perdu): https://www.youtube.com/watch?v=H14JhciwZDY
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