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Où vas-tu mon Amandine?
Dans cet espace lointain
Erres-tu tout en sourdine
En ce dimanche matin.
Moi je suis sur la colline
Je ravis un peu de thym
Dans cette fraicheur alpine
Semblable à un lutin
Je fredonne la comptine
Lorsque nous étions gamins
La gentille sonatine
En relâchant pas ta main.
Les amours dits enfantines
Sûr ont aussi leurs destins
Le tien vu de sa rétine
Loupa ta saint Valentin
J’entends bien des clarines
A la croisée des chemins.
Ton prénom dis Amandine
Résonne-t-il au lointain ?
Dans cet espace lointain
Erres-tu tout en sourdine
En ce dimanche matin.
Moi je suis sur la colline
Je ravis un peu de thym
Dans cette fraicheur alpine
Semblable à un lutin
Je fredonne la comptine
Lorsque nous étions gamins
La gentille sonatine
En relâchant pas ta main.
Les amours dits enfantines
Sûr ont aussi leurs destins
Le tien vu de sa rétine
Loupa ta saint Valentin
J’entends bien des clarines
A la croisée des chemins.
Ton prénom dis Amandine
Résonne-t-il au lointain ?
Joli poème, Pierrot ! Le souvenir d'une amoureuse d'autrefois peut-être, qui te faisais lui cueillir des bouquets de thm ?...
Ca démarre léger, comme une comptine aux accents éthérés mais je trébuche là :
"En relâchant pas ta main."
Ne relâchant pas ta main, aurait été plus heureux.
Et puis là :
"Le tien vu de sa rétine
Loupa ta saint Valentin"
me sort complètement. D'abord je ne comprends pas, et "vu de sa rétine", là ça casse carrément le charme.
La dernière strophe nous ramène vers l'éther ...
"En relâchant pas ta main."
Ne relâchant pas ta main, aurait été plus heureux.
Et puis là :
"Le tien vu de sa rétine
Loupa ta saint Valentin"
me sort complètement. D'abord je ne comprends pas, et "vu de sa rétine", là ça casse carrément le charme.
La dernière strophe nous ramène vers l'éther ...
Bonjour
En effet Tistou pour ne relâchant pas..
Pour le reste ...Je pense …
mERCI
En effet Tistou pour ne relâchant pas..
Pour le reste ...Je pense …
mERCI
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