Frunny
avatar 15/09/2019 @ 11:12:40
Un lynchage en bonne et due forme :

https://franceinter.fr/livres/…

Gregory mion
avatar 17/09/2019 @ 16:46:46
Ma foi, l'unanimité dans les appréciations infondées du journalisme analphabète ne pouvait pas être pérenne (je précise néanmoins que je n'accorde aucun crédit intellectuel au Masque et la Plume). À partir du moment où l'on admet objectivement que Coulon est une pure fabrication publicitaire et une créature du journalisme le plus crétin de France, on commence par faire un pas en avant. Le plus intéressant, dans cette affaire, ce sont certains commentaires des lecteurs indépendants (cf. Amazon). Beaucoup sont en train de mesurer l'écart gigantesque entre le produit vendu et la réalité nue. Beaucoup, je l'espère, ne tarderont pas à prendre au sérieux les très probables cabales d'un Prix Apollinaire définitivement discrédité. Le risque encouru, lorsque l'on cherche à transfigurer une nullité patente en son contraire, c'est que l'on s'expose à des prises de conscience apocalyptiques. Mais par quelque bout que l'on prenne ce banal chapitre de la putanisation des lettres françaises, le pire, évidemment, concerne tous les couillons du "milieu", ceux qui, en l'occurrence, se soumettent volontairement à la présence croissante de Coulon à cause des connivences entre éditeurs, distributeurs, journalistes, etc. Ces gens-là sont de navrants eunuques et de ridicules tapineurs. Je ferai dans les prochains mois un article sur Stalker pour recenser le wagon des baltringues et des analphabètes ayant vendu la soupe coulonnienne (ou fumé un rail de coulonnite), avec, à la clé, quelques explications de texte concernant certains passages journalistiques d'anthologie. Il faudra un jour que ces malfaiteurs soient traduits en justice et qu'ils rendent des comptes aux lecteurs (car on écrit définitivement de la merde lorsqu'on établit une comparaison gratuite et injustifiée entre Coulon et Faulkner, entre Coulon et Racine, puis entre tout ce que l'on voudra qui se trouve fondamentalement étranger à la production coulonnesque). Quiconque a lu Faulkner et Racine in extenso identifie d'emblée l'impossibilité de corréler ces maîtres à celle qui vaut peut-être moins qu'une Martin-Lugand, mais que l'on fait passer inconséquemment pour une autorité de premier plan. C'est pourquoi je respecterai toujours une Martin-Lugand qui ne se la ramène pas, ainsi que ses lecteurs qui ne prétendent avoir aucune espèce de connaissance du fait littéraire et/ou philosophique, plutôt qu'un réseau de minables abrutis qui déshonorent le métier de journaliste et l'esprit de quelques grands morts.

Fanou03
avatar 17/09/2019 @ 22:07:39
Il faudra un jour que ces malfaiteurs soient traduits en justice et qu'ils rendent des comptes aux lecteurs (car on écrit définitivement de la merde lorsqu'on établit une comparaison gratuite et injustifiée entre Coulon et Faulkner, entre Coulon et Racine, puis entre tout ce que l'on voudra qui se trouve fondamentalement étranger à la production coulonnesque).


Gregory, tu es le Jean-Pierre Coffe de la critique littéraire ! ;°) https://www.youtube.com/watch?v=CoB36zxT940

Thaut 29/10/2019 @ 23:35:53
Ma foi, l'unanimité dans les appréciations infondées du journalisme analphabète ne pouvait pas être pérenne (je précise néanmoins que je n'accorde aucun crédit intellectuel au Masque et la Plume). À partir du moment où l'on admet objectivement que Coulon est une pure fabrication publicitaire et une créature du journalisme le plus crétin de France, on commence par faire un pas en avant. Le plus intéressant, dans cette affaire, ce sont certains commentaires des lecteurs indépendants (cf. Amazon). Beaucoup sont en train de mesurer l'écart gigantesque entre le produit vendu et la réalité nue. Beaucoup, je l'espère, ne tarderont pas à prendre au sérieux les très probables cabales d'un Prix Apollinaire définitivement discrédité. Le risque encouru, lorsque l'on cherche à transfigurer une nullité patente en son contraire, c'est que l'on s'expose à des prises de conscience apocalyptiques. Mais par quelque bout que l'on prenne ce banal chapitre de la putanisation des lettres françaises, le pire, évidemment, concerne tous les couillons du "milieu", ceux qui, en l'occurrence, se soumettent volontairement à la présence croissante de Coulon à cause des connivences entre éditeurs, distributeurs, journalistes, etc. Ces gens-là sont de navrants eunuques et de ridicules tapineurs. Je ferai dans les prochains mois un article sur Stalker pour recenser le wagon des baltringues et des analphabètes ayant vendu la soupe coulonnienne (ou fumé un rail de coulonnite), avec, à la clé, quelques explications de texte concernant certains passages journalistiques d'anthologie. Il faudra un jour que ces malfaiteurs soient traduits en justice et qu'ils rendent des comptes aux lecteurs (car on écrit définitivement de la merde lorsqu'on établit une comparaison gratuite et injustifiée entre Coulon et Faulkner, entre Coulon et Racine, puis entre tout ce que l'on voudra qui se trouve fondamentalement étranger à la production coulonnesque). Quiconque a lu Faulkner et Racine in extenso identifie d'emblée l'impossibilité de corréler ces maîtres à celle qui vaut peut-être moins qu'une Martin-Lugand, mais que l'on fait passer inconséquemment pour une autorité de premier plan. C'est pourquoi je respecterai toujours une Martin-Lugand qui ne se la ramène pas, ainsi que ses lecteurs qui ne prétendent avoir aucune espèce de connaissance du fait littéraire et/ou philosophique, plutôt qu'un réseau de minables abrutis qui déshonorent le métier de journaliste et l'esprit de quelques grands morts.


Cher Grégory ! Quel vigueur, à l'accoutumée ! Votre prose parfumée au concentré de virilité pure m'avait manqué ! :')
J'hésite à acheter le dernier roman de Cécile Coulon ; auriez-vous un avis à formuler pour guider mes pas entre les étagères hostiles du rayon libraire d'une grande surface ?

Gregory mion
avatar 20/11/2019 @ 21:56:31
Quand on m'a fait parvenir cette "présentation" de la rentrée littéraire, j'ai d'abord cru qu'il s'agissait d'une comédie dramatique, d'une caricature de la débilité profonde qui règne désormais dans le petit milieu de la littérature analphabète se prenant pour le Phare d'Alexandrie de la culture française. Du reste, plus un texte est nul, plus il est nécessaire de l'habiller, de le cornaquer bruyamment, de le farcir au Putanat du marketing. L'Iconoclaste n'a évidemment rien d'iconoclaste puisque c'est une maison qui est maintenant à la pointe de la Grande Fécalité Commerciale. Plaignons-les d'être asservis à tout ce qui est petit et de ne plus avoir la moindre minute à consacrer à tout ce qui est grand. Je me demande d'ailleurs si la "présentatrice" croit à ce qu'elle déblatère, sans parler du public qui a l'air d'applaudir comme on demande à un clebs de donner la patte...

L'hypothèse d'une Coulon rééditée chez Gallimard en poésie n'est pas à exclure. On peut d'ores et déjà renifler cette infâme possibilité.
Il y a quelques semaines, un certain Olivier Barbarant, inspecteur général de l'Éducation Nationale, s'était discrédité sur France Culture en dialoguant très platement avec Coulon (https://franceculture.fr/emissions/etre-et-savoir/…). Et comme tout est prévisible et médiocre dans ce "milieu", vous ne serez point étonnés d'apprendre, ô surprise !, que le même Barbarant est sélectionné pour le Prix Apollinaire 2019 : https://livreshebdo.fr/prix-litteraires/…
Notons enfin qu'un stock de rimailles barbarantesques est déjà publié chez Gallimard : http://gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/…

J'espère donc que vous comprenez en quoi Barbarant n'a pas pu se lever pour dire ce qu'il aurait fallu dire à Coulon : cela aurait sévèrement compromis ses chances d'être sélectionné pour l'Apollinaire 2019. Ces gens-là sont des destructeurs du temple sacré, ni plus ni moins. Il y a d'ailleurs fort à parier que Coulon sera bientôt intégrée dans les programmes officiels de l'Éducation Nationale.


Le 2 juillet 2019, je faisais part du dialogue idiot que l'on avait pu entendre sur France Culture entre Olivier Barbarant et Cécile Coulon. La nullité de ce dialogue, au demeurant préoccupante pour un inspecteur général de l'Éducation Nationale (beaucoup moins pour une Coulon à son niveau habituel), cachait probablement de bien plus vastes intérêts.
Le 18 novembre 2019, Olivier Barbarant a reçu le Prix Apollinaire 2019, succédant ainsi à Cécile Coulon. Je vous laisser chercher par vous-mêmes les liens qui unissent Barbarant et Jean-Pierre Siméon (le ridicule président du Prix Apollinaire, chef d'un jury tout aussi ridicule).

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