Gregory mion
avatar 20/12/2018 @ 18:48:14
Bonjour à tous.

C'est la première fois que j'utilise le forum et si je le fais, c'est que j'estime, comme on pourrait pompeusement l'exprimer, que l'heure est grave pour le salut de la littérature. Bien des personnes savent que depuis des années, avec Juan Asensio, nous nous acharnons à dégonfler certaines baudruches littéraires vantées par de pseudo-élites. C'est en outre parce qu'il n'existe plus aucune critique littéraire française digne de ce nom qu'il nous faut supporter un certain nombre d'impostures.
Jusqu'à présent, Cécile Coulon vendait ses navets à de piètres acheteurs ou à des lecteurs illusionnés par les processus du Putanat médiatique, et même si quelques journalistes grotesques osaient des comparaisons ineptes (Giono, Faulkner, etc.), le statut de notre écrivante n'outrepassait pas les bornes du business as usual. Le problème, c'est qu'en accordant le Prix Apollinaire 2018 à Cécile Coulon, on a franchi le Rubicon de l'infamie. Je vous invite donc à lire cette étude où plusieurs coïncidences troublantes sont dûment répertoriées en ce qui concerne le Prix Apollinaire 2018 : http://juanasensio.com/archive/2018/…

Chaque lecteur pourra ainsi interroger la situation avec son meilleur jugement. Le point de départ est assez simple : quand une énormité arrive, il faut se demander comment elle a pu arriver. Dans le cas qui nous intéresse, soit Cécile Coulon a obtenu ce Prix à la régulière et nous devons nous incliner devant le choix souverain du jury, soit elle l'a obtenu par la collection de plusieurs médiocrités qui doivent répondre de ce choix en toute transparence.

Au cas où vous souhaiteriez compléter votre lecture initiale, voici un autre article, justifiant cette fois que la poésie de Cécile Coulon vaut à peine les compositions d'Hello Kitty : http://juanasensio.com/archive/2018/…

Septularisen

avatar 20/12/2018 @ 21:56:45

Très intéressant en effet je dois dire...

Jette un œil au dernier paragraphe de cette critique:

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/50416

Je rêve ou bien je vois une "troublante" ressemblance entre la phrase de Jaroslav SEIFERT et celle du dernier paragraphe de l'extrait du poème "La partie" que tu propose sur ton blog?

Gregory mion
avatar 21/12/2018 @ 07:25:31
En effet, voilà qui est très intéressant. Je te remercie pour le recensement de cette ressemblance, troublante sans doute, mais qui n'enlève rien à l'originale nullité de Cécile Kitty / Hello Coulon (car la nullité de ce calibre va sui generis avec d'autres nullités).

Pour continuer les réjouissances, on peut s'intéresser au caniche Thomas Deslogis, qui pousse là son petit grognement pro-coulonnesque : http://slate.fr/story/171393/…

Outre le fait que l'article de Deslogis soit grammaticalement catastrophique et d'une parfaite concordance de contenu avec la fécalité poétique défendue, sa prise de position s'explique surtout parce que ce chieur d'encre fait aussi partie des chieurs de rimes : https://letagparfait.com/fr/category/…

Deslogis vient par ailleurs d'être "reconnu" par le cancre journalistique Guillaume Lecaplain dans le torcheculatif Libération : https://next.liberation.fr/culture/2018/…

On comprend donc que ce joli petit monde participe d'une part de la dérive axiologique de la France, et, d'autre part, qu'ils ont tout intérêt à s'entre-flatter ou s'entre-légitimer en utilisant le décorum officiel de la presse. Pour Thomas Deslogis, le Prix Apollinaire 2018 tient lieu de promesse. Lui aussi se met donc en position de le recevoir un de ces jours, et il en rêve comme de sa prochaine poésie à tropisme de branlette pérenne.

Enfin, sans aucune surprise, Deslogis avait déjà servi la soupe à Coulon dans le très fécalisant Nouveau Magazine Littéraire : https://nouveau-magazine-litteraire.com/grand-entr…

NB : ce n'est pas mon blog mais celui de Juan Asensio (qui le tient depuis les temps reculés de 2004). Signalons bien sûr que Stalker est la seule occurrence française qui s'oppose ouvertement à toute cette grotesque mafia de caniches sous-littéraires et ultra népotisés.

Cyclo
avatar 21/12/2018 @ 12:13:18
Ce qui m'étonne, en regardant l'article sur elle dans wikipedia, c'est de voir la cargaison de prix littéraires qu'elle a récoltés ! Et le nombre d'éloges sur CL de trois de ses livres sur cinq chroniqués.
Je précise que je n'ai rien lu d'elle et je concède que le poème cité par le blog de Juan Asensio est bien faiblard...
Et que Le nouveau magazine littéraire n'est pas terrible (si je le compare au Magazine littéraire des années 70, par exemple).

Septularisen

avatar 21/12/2018 @ 23:41:45
Signalons bien sûr que Stalker est la seule occurrence française qui s'oppose ouvertement à toute cette grotesque mafia de caniches sous-littéraires et ultra népotisés.


Non, non il y a aussi CL! Où certains lecteurs n'hésitent pas, et depuis des années, à dénoncer des livres disons "très faibles" pour ne pas dire très très nuls pourtant encensés par le système (pour ne pas dire la "mafia") des "critiques littéraires" français et les deux "grands" magazines littéraires français:

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/15287

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/26372

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/50155

Gregory mion
avatar 25/12/2018 @ 12:00:22
Je suis tout à fait d'accord avec le fait que CL incarne une liberté d'expression salutaire, mais, sauf erreur de ma part, il me semble que l'initiative de ce lieu provient de quelques libres consciences de Belgique. Cela suffit à disqualifier la France une nouvelle fois, cette France qui n'est plus qu'un pays managérial géré par un Souteneur de la finance. Il s'ensuit que les instances littéraires françaises, ou ce qu'il en reste, ont subi l'influence non seulement de la perte du politique, mais aussi de la perte du langage (qui n'est plus qu'une novlangue terriblement avilissante).

Quant au fait que Cécile Coulon ait reçu des Prix venus de tous les horizons, cela ne fait que traduire des mouvements d'intérêts bien compris. La nullité coulonnesque est archi-compatible avec la nullification accélérée de la France.

LesieG

avatar 25/12/2018 @ 14:29:09
Je ne connais pas cet auteur, pas plus que vous qui êtes très méprisant… Pour qui vous prenez vous pour juger aussi durement vos semblables. Chacun trouve son bonheur où il veut et vous n'avez rien à en dire.
En tout cas les avis sont très partagés : https://www.babelio.com/resrecherche.php

LesieG

avatar 25/12/2018 @ 14:36:52
Par contre quand on cherche " Juan Asensio" sur internet, il y a pleins de choses étranges. Un grand homme mdr.

Saule

avatar 25/12/2018 @ 20:09:38
Gregory Mion ne juge pas la prose de Cécile Coulon en tant que telle, ce qu'il critique durement c'est le fait que le prix Appolinaire lui soit attribué.

Si Cécile Coulon fait des romans qui ont du succès, ça n'a rien de mal et si elle trouve ainsi un public qui apprécie, tant mieux. Ce n'est pas être élitiste ni méprisant que de dire c'est de la littérature de gare. Et puis on ne peut pas se baser sur le succès littéraire pour qualifier de littéraire une oeuvre. Et l'inverse non plus, il arrive (rarement) que des oeuvres à grand succès soient aussi des très bon textes.

Je suis abonné (via un feed rss) au blog de Asension, je ne lis pas souvent car c'est compliqué et exigeant. Mais je préfère être tiré par le haut en lisant ce genre de critiques littéraires. Si la magouille concernant le prix Appolinaire est avérée (et j'aurai tendance à le croire) c'est vraiment salutaire que ce soit dit en tout cas.

Gregory mion
avatar 26/12/2018 @ 09:50:40
Au lieu de nous servir tout un train de marchandises de lapalissades sur le mépris et le jugement, lisez les documents proposés. Le mépris, voyez-vous, c'est de tromper les lecteurs en écrivant par exemple, dans des journaux à tirages nationaux, que Cécile Coulon serait un équivalent, une petite soeur ou même un tentacule de Faulkner ou Giono, alors que la lecture attentive de sa production nous montre qu'elle est une insulte patente à ces romanciers (tout comme elle est désormais une insulte supérieurement nocive à Guillaume Apollinaire). Le mépris, voyez-vous encore, c'est d'imaginer que Cécile Coulon en aurait quelque chose à foutre de la littérature voire de ses lecteurs, alors que, pour elle, vous n'êtes qu'une cliente supplémentaire qui lui permettra bientôt d'accroître ses intérêts bancaires. Retrouvez, je vous prie, la lucidité, puis vous vivrez une fabuleuse révélation : d'abord Cécile Coulon vous apparaîtra pour ce qu'elle est (une commerçante de navets), à la suite de quoi vous gagnerez du temps en lisant des romanciers tels que Joseph Conrad, Roberto Bolaño, Lázló Krasznahorkai, etc.

Juan Asensio drainerait des "choses étranges" dans son sillage ? Diable, vous me paraissez totalement mûre pour expérimenter tous les effets primaires et secondaires des propagandes analphabètes de la presse et des petits caniches apologistes de la merde littéraire contemporaine. C'est justement parce que Juan Asensio ne fait aucune unanimité parmi les sous-doués de la littérature que je sais qu'il a raison sur tous les combats qu'il mène. Quant à moi, si l'on se mettait subitement à me tresser des lauriers dans un torche-cul tel que Les Inrockuptibles (un exemple parmi tant d'autres...), je m'interrogerais sur mon niveau de profondeur. Cessez donc à présent de créditer la merde et prenez vos distances avec le bidet national des gens de lettres français qui usent davantage de leur temps à tapiner qu'à travailler véridiquement.

Enfin, il va de soi que le Prix Apollinaire pour Cécile Coulon a été pour beaucoup la limite qu'il ne fallait pas dépasser en matière de mystification. Cela aura au moins eu le mérite de faire remonter à la surface des éléments troublants ainsi que des attitudes outrageantes que chacun est libre d'interpréter selon ses coefficients d'intelligence. En effet, il suffit de voir les soutiens de Cécile Coulon pour s'apercevoir immédiatement que l'on est en présence d'une belle clique d'attardés putanifiés et putanificateurs.

Feint

avatar 26/12/2018 @ 12:16:19
Cécile Coulon bénéficie du jeunisme en vogue dans ce milieu comme dans d'autres. Il y a beaucoup d'impostures dans ce milieu, c'est un fait.
Juan Asensio est parfois passionnant, notamment dans ses enthousiasmes. Il écrit aussi beaucoup de conneries, sa seule excuse est qu'il les écrit bien.

Gregory mion
avatar 31/12/2018 @ 10:29:39
Si Juan Asensio écrit "beaucoup de conneries", alors, en contrepartie, il faudrait argumenter pour montrer en quoi lesdites conneries en sont réellement. Mon idée est un peu différente : dans les auteurs que nous descendons sur Stalker, du moins pour les auteurs français, la plupart sont tenus par de petits réseaux d'ententes bien comprises, tant et si bien que s'attaquer à l'un d'eux, c'est attaquer le petit réseau qui va avec et qui pour l'essentiel crève d'une insupportable ambition médiatique (exemple : être soumis à la question infra-médiocre du caniche François Busnel). C'est en outre ce que j'avais signalé pour certains soutiens de Cécile Coulon : ils ne peuvent pas la critiquer car ils sont inscrits dans la même matrice réticulaire. Pourtant j'imagine fort bien ces résistants de l'ombre dire tout bas ce que nous avons signalé sur Coulon, sauf que, malheureusement pour eux, ils ont des "amis" qui sont engagés avec des "amis" de Coulon, et donc s'ils prononçaient ne serait-ce qu'une imprudente parole, ils ne pourraient pas publier leur prochain livre, ou alors tel journaliste leur tournerait le dos, telle attachée de presse serait vexée, etc.

Par conséquent je reformule (et je le fais indépendamment de votre identité que je ne connais point) : Juan Asensio n'écrit probablement des conneries que parce qu'il est impossible d'affirmer le contraire lorsqu'on se trouve de près ou de loin "impliqué" dans ces réseaux qui croient faire la pluie et le beau temps, alors même que tout créateur qui se respecte devrait commencer par conchier ces petites frappes du népotisme afin d'écrire ouvertement, comme il se doit, que telle ou telle publication est équivalente à une merde et qu'il n'en est clairement et distinctement pas autrement. Ainsi s'explique l'absence de contradiction de Cécile Coulon chez nos "grosses têtes" littéraires. Maintenant que Coulon est définitivement ancrée dans la matrice, elle est devenue quasiment intouchable dans le registre critique. Elle a parfaitement saisi la faiblesse de ce "milieu", d'où le fait qu'elle y dépose ostentatoirement le fumier de ses productions de plus en plus nulles. Et pour ma part, c'est moins elle que je blâme que toute la somme de médiocrités qui a fini par en faire une poète nationalement reconnue et une sorte d'héritière des plus grands d'entre nos morts. Au fond, très vulgairement, elle a bien niqué les poètes officiels, les poètes professeurs et peut-être les poètes un peu talentueux, les mêmes, oui, exactement les mêmes qui n'ont pas été foutus de lui balancer qu'elle faisait de la merde et qu'il serait plus adapté pour elle de publier ses conneries sur un forum de collégiens rimailleurs. À ces mâles dévirilisés qui n'ont pas eu le courage de s'exprimer sur Coulon, je dis que c'est bien fait pour leur gueule, mais que, naturellement, ils peuvent espérer le prix Apollinaire dans les années à venir puisqu'ils approuvent, par leur silence, les différentes façon dont l'Apollinaire 2018 a été fomenté. Il en ira de même pour eux : quand ils auront l'Apollinaire, s'ils l'ont, ils l'auront moins pour la qualité de leur travail que pour leur longue et patiente docilité envers les "amis". Quel pays de faibles nous faisons !

Feint

avatar 31/12/2018 @ 15:17:01
Si Juan Asensio écrit "beaucoup de conneries", alors, en contrepartie, il faudrait argumenter pour montrer en quoi lesdites conneries en sont réellement. Mon idée est un peu différente : dans les auteurs que nous descendons sur Stalker, du moins pour les auteurs français, la plupart sont tenus par de petits réseaux d'ententes bien comprises, tant et si bien que s'attaquer à l'un d'eux, c'est attaquer le petit réseau qui va avec et qui pour l'essentiel crève d'une insupportable ambition médiatique (exemple : être soumis à la question infra-médiocre du caniche François Busnel). C'est en outre ce que j'avais signalé pour certains soutiens de Cécile Coulon : ils ne peuvent pas la critiquer car ils sont inscrits dans la même matrice réticulaire. Pourtant j'imagine fort bien ces résistants de l'ombre dire tout bas ce que nous avons signalé sur Coulon, sauf que, malheureusement pour eux, ils ont des "amis" qui sont engagés avec des "amis" de Coulon, et donc s'ils prononçaient ne serait-ce qu'une imprudente parole, ils ne pourraient pas publier leur prochain livre, ou alors tel journaliste leur tournerait le dos, telle attachée de presse serait vexée, etc.

Par conséquent je reformule (et je le fais indépendamment de votre identité que je ne connais point) : Juan Asensio n'écrit probablement des conneries que parce qu'il est impossible d'affirmer le contraire lorsqu'on se trouve de près ou de loin "impliqué" dans ces réseaux qui croient faire la pluie et le beau temps, alors même que tout créateur qui se respecte devrait commencer par conchier ces petites frappes du népotisme afin d'écrire ouvertement, comme il se doit, que telle ou telle publication est équivalente à une merde et qu'il n'en est clairement et distinctement pas autrement. Ainsi s'explique l'absence de contradiction de Cécile Coulon chez nos "grosses têtes" littéraires. Maintenant que Coulon est définitivement ancrée dans la matrice, elle est devenue quasiment intouchable dans le registre critique. Elle a parfaitement saisi la faiblesse de ce "milieu", d'où le fait qu'elle y dépose ostentatoirement le fumier de ses productions de plus en plus nulles. Et pour ma part, c'est moins elle que je blâme que toute la somme de médiocrités qui a fini par en faire une poète nationalement reconnue et une sorte d'héritière des plus grands d'entre nos morts. Au fond, très vulgairement, elle a bien niqué les poètes officiels, les poètes professeurs et peut-être les poètes un peu talentueux, les mêmes, oui, exactement les mêmes qui n'ont pas été foutus de lui balancer qu'elle faisait de la merde et qu'il serait plus adapté pour elle de publier ses conneries sur un forum de collégiens rimailleurs. À ces mâles dévirilisés qui n'ont pas eu le courage de s'exprimer sur Coulon, je dis que c'est bien fait pour leur gueule, mais que, naturellement, ils peuvent espérer le prix Apollinaire dans les années à venir puisqu'ils approuvent, par leur silence, les différentes façon dont l'Apollinaire 2018 a été fomenté. Il en ira de même pour eux : quand ils auront l'Apollinaire, s'ils l'ont, ils l'auront moins pour la qualité de leur travail que pour leur longue et patiente docilité envers les "amis". Quel pays de faibles nous faisons !

Je pense à certaines anciennes diatribes notamment contre Chevillard, que manifestement il n'avait pas (ou alors très mal) lu, et d'autres auteurs aussi, Claro je crois bien. Mais vous noterez que je ne pense pas que du mal de son travail, loin de là (et d'ailleurs même pour la connerie j'ai une certaine tendresse).
Concernant les prix littéraires, s'il y avait quelque chose à en espérer... Quand on voit que le plus célèbre d'entre eux s'enorgueillit de l'entrée dans son jury de l'inénarrable E.E. Schmitt...

Frunny
avatar 31/12/2018 @ 16:36:58

Jusqu'à présent, Cécile Coulon vendait ses navets à de piètres acheteurs ou à des lecteurs illusionnés par les processus du Putanat médiatique, et même si quelques journalistes grotesques osaient des comparaisons ineptes (Giono, Faulkner, etc.), le statut de notre écrivante n'outrepassait pas les bornes du business as usual. Le problème, c'est qu'en accordant le Prix Apollinaire 2018 à Cécile Coulon, on a franchi le Rubicon de l'infamie. Je vous invite donc à lire cette étude où plusieurs coïncidences troublantes sont dûment répertoriées en ce qui concerne le Prix Apollinaire 2018 : http://juanasensio.com/archive/2018/…



Qu'est ce qui vous permet de clouer au pilori cette jeune romancière ?
J'ai lu un de ses romans que j'ai trouvé excellent (sur le fond et la forme)
Il est vrai que je n'appartiens probablement pas à votre "cercle" des pseudo-intellos capables de distinguer un bon d'un piètre romancier mais je suis un passionné de littérature et je pense être capable de faire la part des choses.
Quelle étroitesse d'esprit !

Frunny
avatar 31/12/2018 @ 16:39:39
J
Quant au fait que Cécile Coulon ait reçu des Prix venus de tous les horizons, cela ne fait que traduire des mouvements d'intérêts bien compris. La nullité coulonnesque est archi-compatible avec la nullification accélérée de la France.


Et votre nullité intellectuelle ? vous y avez réfléchi ?

Frunny
avatar 31/12/2018 @ 16:42:14
Cécile Coulon bénéficie du jeunisme en vogue dans ce milieu comme dans d'autres. Il y a beaucoup d'impostures dans ce milieu, c'est un fait.
Juan Asensio est parfois passionnant, notamment dans ses enthousiasmes. Il écrit aussi beaucoup de conneries, sa seule excuse est qu'il les écrit bien.


Je suis déçu de lire ça Feint !
Quand on ne reçoit pas de prix, on critique celui (ou celle) qui l'a reçu ?
C'est petit, très petit ....

Feint

avatar 31/12/2018 @ 17:00:57
Cécile Coulon bénéficie du jeunisme en vogue dans ce milieu comme dans d'autres. Il y a beaucoup d'impostures dans ce milieu, c'est un fait.
Juan Asensio est parfois passionnant, notamment dans ses enthousiasmes. Il écrit aussi beaucoup de conneries, sa seule excuse est qu'il les écrit bien.



Je suis déçu de lire ça Feint !
Quand on ne reçoit pas de prix, on critique celui (ou celle) qui l'a reçu ?
C'est petit, très petit ....
Pas du tout. Quand un bon livre est récompensé, je me réjouis pour l'auteur (je me réjouis pour la littérature en général, même) - et ça arrive de temps en temps. Mais ça ne me fait pas du tout changer d'avis sur les prix littéraires. Y compris si par miracle j'en recevais un.

Quant au jeunisme dans ce milieu, il est indiscutable. C'est comme ça.

LesieG

avatar 31/12/2018 @ 17:20:46

Jusqu'à présent, Cécile Coulon vendait ses navets à de piètres acheteurs ou à des lecteurs illusionnés par les processus du Putanat médiatique, et même si quelques journalistes grotesques osaient des comparaisons ineptes (Giono, Faulkner, etc.), le statut de notre écrivante n'outrepassait pas les bornes du business as usual. Le problème, c'est qu'en accordant le Prix Apollinaire 2018 à Cécile Coulon, on a franchi le Rubicon de l'infamie. Je vous invite donc à lire cette étude où plusieurs coïncidences troublantes sont dûment répertoriées en ce qui concerne le Prix Apollinaire 2018 : http://juanasensio.com/archive/2018/…




Qu'est ce qui vous permet de clouer au pilori cette jeune romancière ?
J'ai lu un de ses romans que j'ai trouvé excellent (sur le fond et la forme)
Il est vrai que je n'appartiens probablement pas à votre "cercle" des pseudo-intellos capables de distinguer un bon d'un piètre romancier mais je suis un passionné de littérature et je pense être capable de faire la part des choses.
Quelle étroitesse d'esprit !


Frunny, tu vas te faire assassiner toi aussi, a priori si on ne pense pas comme ce Monsieur, pas la peine de discuter.

Pieronnelle

avatar 01/01/2019 @ 01:15:19
Je crois que franchement Frunny et toi Lesie vous ne disposez d'arguments suffisants pour contrer Gregory Mion qui lui sait de quoi il parle. Vos petites polémiques du genre "j'ai trouvé ce livre excellent" ou "de quel droit vous vous permettez de.." sont totalement hors de propos sur le sujet qui est celui de l'attribution abusive d'un prix de poésie à une jeune auteure qui écrit des romans qu'on peut aimer ou pas là n'est pas la question. Gregory Mion nous offre des critiques de haut niveau ce qui est un vrai cadeau pour CL alors s'il vous plait ne le faites pas fuir...Feint lui sait ce dont il s'agit...

Frunny
avatar 01/01/2019 @ 10:37:16
Je crois que franchement Frunny et toi Lesie vous ne disposez d'arguments suffisants pour contrer Gregory Mion qui lui sait de quoi il parle. Vos petites polémiques du genre "j'ai trouvé ce livre excellent" ou "de quel droit vous vous permettez de.." sont totalement hors de propos sur le sujet qui est celui de l'attribution abusive d'un prix de poésie à une jeune auteure qui écrit des romans qu'on peut aimer ou pas là n'est pas la question. Gregory Mion nous offre des critiques de haut niveau ce qui est un vrai cadeau pour CL alors s'il vous plait ne le faites pas fuir...Feint lui sait ce dont il s'agit...


Si tu prenais le temps de lire les posts en entier, tu verrais que je critique l'intervention de "Sa Majesté Mion" ET que je me positionne comme un vulgaire cloporte de la littérature.
Je suis conscient que je ne lui arrive pas à la cheville et que si SM Mion quittait CL,le site n'y survivrait pas.


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