Page 1 de 1
Prix littéraires, revues spécialisées ( Lire, ... ), émissions littéraires ("La Grande Librairie, ...), Booktubers et autres critiques médias; souvent les mêmes auteurs (romans) sont mis en avant.
Même si l'offre en la matière est de plus en plus large, il ne fait aucun doute que des "pépites" resteront à jamais enfouies dans le terreau de l'oubli.
Même si ma soif de lecture ne sera jamais étanchée, je reste frustré par l"iniquité évidente d'un accès à l'affiche de très bons auteurs.
Si Feint ne m'avait pas un jour dirigé vers les éditions Quidam, je ne me serais jamais vraiment posé la question.
J'y ai découvert des écrivains de grande qualité et complètement inconnus.
Alors, QUI fait un écrivain ?
Certains me répondront la qualité des écrits, mais là, j'ai un gros doute.
Les maisons d'édition, les petits arrangements entre amis, l'argent (... ) ?
Même si l'offre en la matière est de plus en plus large, il ne fait aucun doute que des "pépites" resteront à jamais enfouies dans le terreau de l'oubli.
Même si ma soif de lecture ne sera jamais étanchée, je reste frustré par l"iniquité évidente d'un accès à l'affiche de très bons auteurs.
Si Feint ne m'avait pas un jour dirigé vers les éditions Quidam, je ne me serais jamais vraiment posé la question.
J'y ai découvert des écrivains de grande qualité et complètement inconnus.
Alors, QUI fait un écrivain ?
Certains me répondront la qualité des écrits, mais là, j'ai un gros doute.
Les maisons d'édition, les petits arrangements entre amis, l'argent (... ) ?
Ton dernier mot est le bon ! (A différents niveaux des métiers du livre.)
Il suffit d'être curieux. Internet permet toutes les recherches nécessaires pour trouver les blogs, les sites qui sélectionnent les livres!
Il y a de formidables lecteurs, comme ceux de la librairie Charybde, par exemple que je consulte journellement.Des écrivains comme Claro, Michel Volkovitch, François Bon et beaucoup d'autres...
Des éditeurs comme Quidam; l'Ogre,Gallmeister, P.O.L, etc...font de belles propositions! D'autres éditeurs publient à tours de bras, mais tant que l'on édite!! Il y a de la place pour tous!
A+
Il y a de formidables lecteurs, comme ceux de la librairie Charybde, par exemple que je consulte journellement.Des écrivains comme Claro, Michel Volkovitch, François Bon et beaucoup d'autres...
Des éditeurs comme Quidam; l'Ogre,Gallmeister, P.O.L, etc...font de belles propositions! D'autres éditeurs publient à tours de bras, mais tant que l'on édite!! Il y a de la place pour tous!
A+
Il ne faut pas perdre de vue que la presse dépend d'un système marchand et que les sujets traités doivent être supposés attractifs. Le même animateur qui aura apprécié un roman dont il aura invité l'auteur peu connu sur France Culture ne le fera pas sur une chaîne télé de grande écoute parce qu'il doit rendre compte de l'audimat.
Cela vaut aussi pour la musique et toutes les disciplines artistiques en général... "Pognon" et "Audimat" sont les dieux qui "font" la culture. Après libre à chacun d'aller fouiner ailleurs, trouver les petits éditeurs, aller au concert dans les petites salles, fréquenter des galeries "off" plutôt que les grands musées...
"Libre" pas vraiment, car l'info passe très mal. Ce n'est pas parce qu'un éditeur est petit qu'il est bon, et il y a de beaux textes aussi dans les grandes maisons qui passent quand même complètement inaperçus.
"il ne fait aucun doute que des "pépites" resteront à jamais enfouies dans le terreau de l'oubli."
Non, il suffit de lire, je ne sais pas, "Critiques libres"
Non, il suffit de lire, je ne sais pas, "Critiques libres"
Si on ne suit pas le courant , on ne s'impose rien...rien n'oblige à regarder ces émissions !
Comme pour les chercheurs d'or les pepites il faut aller les draguer dans les rivières...:-)
Comme pour les chercheurs d'or les pepites il faut aller les draguer dans les rivières...:-)
ça a toujours existé je crois. a l'époque des auteurs comme Maupassant ou d'autres on célébrait des littérateurs maintenant tombés dans l'oubli le plus total.
"il ne fait aucun doute que des "pépites" resteront à jamais enfouies dans le terreau de l'oubli."
Non, il suffit de lire, je ne sais pas, "Critiques libres"
Bien d'accord et pas seulement en littérature, dans les arts en général mais dans le sport et dans les différentes activités de la société.
Oui, il est difficile d'être entièrement libre - je parle pour les journalistes et réalisateurs d'émissions - car la sanction est l'audience (réelle ou supposée).
Oui, on peut trouver des infos ici ou là, oui on n'est pas obligé de tous lire la même chose... il n'en demeure pas moins qu'il est complexe - pas impossible - de découvrir les pépites...
Pour ne parler que de la bande dessinée - il faut parler de ce que l'on connait le mieux - les parutions sont de l'ordre de 5000 par an (rééditions et compilations inclues). Il est donc tout simplement impossible, je dis bien impossible, de tout lire ! Chaque année, il arrive donc aux meilleurs de laisser passer une excellente lecture, gros éditeurs ou petits éditeurs étant globalement à la même enseigne...
Par exemple, Fab Caro est un auteur qui a explosé en étant édité par une toute petite entreprise, juste par le bouche à oreille, les bons conseils des voisins et quelques journalistes curieux...
A l'inverse, certains auteurs sont cités, recommandés et achetés mais déçoivent énormément les lecteurs (et je ne citerai pas de nom pour me fâcher avec personne...).
Enfin, certains éditeurs vont chercher des auteurs non pour leur talent supposé, avéré ou probable, non, juste pour faire un coup avec un thème choc... En bédé comme dans toute la littérature !
Oui, on peut trouver des infos ici ou là, oui on n'est pas obligé de tous lire la même chose... il n'en demeure pas moins qu'il est complexe - pas impossible - de découvrir les pépites...
Pour ne parler que de la bande dessinée - il faut parler de ce que l'on connait le mieux - les parutions sont de l'ordre de 5000 par an (rééditions et compilations inclues). Il est donc tout simplement impossible, je dis bien impossible, de tout lire ! Chaque année, il arrive donc aux meilleurs de laisser passer une excellente lecture, gros éditeurs ou petits éditeurs étant globalement à la même enseigne...
Par exemple, Fab Caro est un auteur qui a explosé en étant édité par une toute petite entreprise, juste par le bouche à oreille, les bons conseils des voisins et quelques journalistes curieux...
A l'inverse, certains auteurs sont cités, recommandés et achetés mais déçoivent énormément les lecteurs (et je ne citerai pas de nom pour me fâcher avec personne...).
Enfin, certains éditeurs vont chercher des auteurs non pour leur talent supposé, avéré ou probable, non, juste pour faire un coup avec un thème choc... En bédé comme dans toute la littérature !
En jetant un regard sur certaines critiques de CL, je vois que tout de même les "écrivains qu'on nous impose" sont surtout et avant tout ceux des lectures scolaires obligatoires. Et les retours critiques sont cuisants !
Personnellement, mais j'ai fait mes études secondaires dans les années 50-60, je suis fort heureux d'avoir été "contraint" de lire des pièces de Racine, Corneille et Molière, que j'ai continué à lire par la suite, et encore aujourd'hui : j'y ai pris le goût de la belle langue et du théâtre. Et ça faisait un fond commun de culture à toute une classe d'âge.
Quant aux écrivains contemporains, chacun les découvre à sa manière. j'ai eu ma période SF dans les années 70, ma période découverte des littératures africaines et d'Amérique latine dans les années 80, et en fait un élargissement continu de mes pistes de lecture. Je ne tiens aucun compte des émissions télé que je ne regarde pas, un peu des livres dont on parle à la radio ou dans la presse, beaucoup de mes déambulations en librairie et en bibliothèque, et donc du hasard de la découverte.
Personnellement, mais j'ai fait mes études secondaires dans les années 50-60, je suis fort heureux d'avoir été "contraint" de lire des pièces de Racine, Corneille et Molière, que j'ai continué à lire par la suite, et encore aujourd'hui : j'y ai pris le goût de la belle langue et du théâtre. Et ça faisait un fond commun de culture à toute une classe d'âge.
Quant aux écrivains contemporains, chacun les découvre à sa manière. j'ai eu ma période SF dans les années 70, ma période découverte des littératures africaines et d'Amérique latine dans les années 80, et en fait un élargissement continu de mes pistes de lecture. Je ne tiens aucun compte des émissions télé que je ne regarde pas, un peu des livres dont on parle à la radio ou dans la presse, beaucoup de mes déambulations en librairie et en bibliothèque, et donc du hasard de la découverte.
il suffit de lire (...) "Critiques libres"Que serions-nous sans CritiquesLibres, hein Débézed… ?
Bien d'accord et pas seulement en littérature, dans les arts en général mais dans le sport et dans les différentes activités de la société.
;-))
Je ne sais pas si l'argent et le seul facteur, mais dans notre société tant de choix imposé n'en sont pas vraiment, on nous propose, heu que dis-je nous impose de choisir entre ceci et cela, mis ceci et cela ont était au préalable sélectionne par un élite souvent proche d'un forme de pouvoir, politique, audio visuel ou autre, d'ailleurs on sait bien qu'en haut tout les pouvoirs mangent à la même table.
Je voulais juste dire en fait, oui c'est comme au moment des élections, pour nous propose soit disant un choix de candidat, mais non, en vérité on nous IMPOSE un choix LIMITE de candidats !
Je voulais juste dire en fait, oui c'est comme au moment des élections, pour nous propose soit disant un choix de candidat, mais non, en vérité on nous IMPOSE un choix LIMITE de candidats !
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre