Faites passer : Vos Ecrits
Le soleil donne à profusion sur la vallée. En cette belle journée d’automne, l’air est vif, à l’image du ciel irrémédiablement bleu qui encadre les sommets de part et d’autre. Il y a bien quelques nuages qui jouent à saute – sommets là-bas, au-dessus de Belledonne, vers le Sud, mais rien de dangereux, juste de petits nuages ronds pour rappeler que le ciel est décidément d’un bleu paradisiaque.
Sous ma tête un bourdonnement léger mais continu qui m’isole du monde - du monde sonore au moins - encadre mes pensées et me rappelle que dessous moi, tout un système de pompes recyclent en permanence et pulsent cette eau chaude dans laquelle je suis immergé. Ma tête repose sur le bord du spa, mon corps est allongé sur un espace d’où des jets nerveux me massent dos, cuisses, mollets … La pensée vagabonde, le corps gentiment sollicité et massé, un décor idyllique, c’est le week-end, l’occasion d’un break dans cette course plutôt effrénée en ce moment côté travail. Ce devrait être pur instant de bonheur et de relaxation. Pourtant …, pourtant …
Les pensées qui tournent dans ma tête, derrière le bruit de fond des pompes, ne sont pas des plus lumineuses, elles. Dans quelles complications me suis-je fourré encore en relançant - en tentant de relancer plutôt - un espace convivial sur ce site littéraire estimé ? Je me mordille les lèvres en évoquant ce qui reste à faire, ce dans quoi je me suis engagé, les obligations dans lesquelles il falloir évoluer.
Nous sommes à mi-parcours de l’échéance fixée pour la remise de la copie et je ne vois pas comment traiter la chose : "Le souvenir des belles choses peut-il compenser les mauvaises ?" Le souvenir des belles choses … Mouais, je ne vois pas bien sous quel angle aborder la chose. D’autant qu’il est question de rebondir derrière chaque texte ! Non, je ne vois pas bien …
Je vois bien les complications par contre. Concilier des inconciliables. Rassurer des indécis. Gérer les difficultés. Et puis tout simplement écrire ma partie déjà ! Et puis simplement prendre le plaisir qui devrait n’être que le moteur de tout ceci.
Sans compter que le nuisible du site a fait son retour. Celui qui invariablement depuis plus de douze ans vient invectiver, insulter, dénigrer et mentir à tout propos est de retour. Comme si le fait de tenter de redonner une vie qui s’était évaporée ranimait son agressivité. Médisez, médisez, toujours il en restera quelque chose. Médisez, médisez et toujours vous chasserez ceux qui viennent pointer le nez à la fenêtre du site, dégoûtés par ce qu’ils peuvent lire de la plume du troll. Cette constance depuis douze ans est stupéfiante. Oh, avec de gros trous d’air, et avec de nombreuses identités ! Ses dernières interventions avant son retour ignominieux dataient de… tiens un an justement, octobre 2016, et avant … de deux ans, septembre 2014.
Du venin à éclipses. Du venin à quoi il est difficile de répondre puisque répondre c’est rentrer dans son jeu. C’est mettre l’invective au premier plan du site, c’est faire fuir. Oh comme détruire est facile ! A l’instar de la faiblesse des démocraties face à des terroristes déterminés. Saccager est tellement plus aisé que construire …
Et ce texte alors ? Ce souvenir de belles choses qui pourraient compenser les mauvaises ?
Je ferme les yeux sous le ronronnement du spa, laisse mon corps remonter à la surface sous la pulsion des jets. Comme en apesanteur. Le corps délivré de l’attraction terrestre. L’esprit aussi peut vagabonder, « battre la campagne » comme l’écrivait Brassens.
Pour autant, impossible de remiser aux oubliettes ce qui a accompagné mon quotidien depuis plus de treize ans maintenant. Impossible d’oublier cette sensation merveilleuse et nouvelle à l’époque, de retrouver des amis à chaque connexion, de participer à la création d’un espace merveilleux. D’abord des échanges timides sur de simples lectures puis peu à peu des échanges plus confiants et plus personnels sur des faits, des idées. Puis la surprise de constater qu’on pouvait soi-même écrire des morceaux de prose, qu’on pouvait oser le faire, que ça pouvait intéresser d’autres dans le cadre d’échanges.
De belles amitiés étaient nées, virtuelles mais profondes, et puis dépassant le virtuel, de belles rencontres.
Impossible de passer ceci au bilan des pertes et profits.
D’autant plus quand une « ancienne » perdue de vue et durement touchée par un accident de la vie revient se manifester en manque de cet espace perdu, elle aussi.
Passant l’autre jour dans une petite ville d’Alsace par moi beaucoup fréquentée par le passé, je me suis souvenu de ce café internet où je me précipitais lorsque mon travail me lâchait la bride et que je pouvais aller y chercher une connexion – nos laptops (je ne sais pas si ce vocable pour « ordinateurs portables » est valide en français ?) il y a seulement dix - douze ans n’avaient pas ces facilités de connexion en voyage comme cela nous semble naturel maintenant. Et les hôtels ou lieux publics ne proposaient pas le Wifi.
Je m’y précipitais dans ce café internet pour aller voir ce qui était intervenu de nouveau sur le site, pour retrouver les amis, la communauté …
Cette époque est passée. Beaucoup sont partis. D’autres les ont remplacés puis parfois partis eux aussi. L'intensité a baissé, de plusieurs crans. Je peux passer quelques jours sans connexions si le temps m’est compté. Les relations sont devenues plus formelles, les échanges moins engagés … N’empêche ! Cet espace a existé. Il existe peut-être encore pour d’autres. Ailleurs. Ou ici, et que je ne sais distinguer.
Cet espace a existé et je ne puis faire comme s’il n’avait pas un jour été une boussole importante de ma vie. Les participations sur Vos Ecrits se sont distendues, espacées mais un même noyau s’y retrouve toujours lorsque le rappel est battu. Et ne serait-ce que pour ça …
Je souris du fond de mon spa, rouvre les yeux. Le ciel me rappelle que la vie reste belle. Et les montagnes aussi me le montrent. Ca vaut le coup de se battre. Le ronronnement du spa s’arrête brutalement ; quinze minutes viennent de passer. Le bouillonnement de l’eau cesse. J’appuie à nouveau sur le bouton, rappuie ma tête.
Je fais toujours deux séances à la file …
Le soleil donne à profusion sur la vallée. En cette belle journée d’automne, l’air est vif, à l’image du ciel irrémédiablement bleu qui encadre les sommets de part et d’autre. Il y a bien quelques nuages qui jouent à saute – sommets là-bas, au-dessus de Belledonne, vers le Sud, mais rien de dangereux, juste de petits nuages ronds pour rappeler que le ciel est décidément d’un bleu paradisiaque.
Sous ma tête un bourdonnement léger mais continu qui m’isole du monde - du monde sonore au moins - encadre mes pensées et me rappelle que dessous moi, tout un système de pompes recyclent en permanence et pulsent cette eau chaude dans laquelle je suis immergé. Ma tête repose sur le bord du spa, mon corps est allongé sur un espace d’où des jets nerveux me massent dos, cuisses, mollets … La pensée vagabonde, le corps gentiment sollicité et massé, un décor idyllique, c’est le week-end, l’occasion d’un break dans cette course plutôt effrénée en ce moment côté travail. Ce devrait être pur instant de bonheur et de relaxation. Pourtant …, pourtant …
Les pensées qui tournent dans ma tête, derrière le bruit de fond des pompes, ne sont pas des plus lumineuses, elles. Dans quelles complications me suis-je fourré encore en relançant - en tentant de relancer plutôt - un espace convivial sur ce site littéraire estimé ? Je me mordille les lèvres en évoquant ce qui reste à faire, ce dans quoi je me suis engagé, les obligations dans lesquelles il falloir évoluer.
Nous sommes à mi-parcours de l’échéance fixée pour la remise de la copie et je ne vois pas comment traiter la chose : "Le souvenir des belles choses peut-il compenser les mauvaises ?" Le souvenir des belles choses … Mouais, je ne vois pas bien sous quel angle aborder la chose. D’autant qu’il est question de rebondir derrière chaque texte ! Non, je ne vois pas bien …
Je vois bien les complications par contre. Concilier des inconciliables. Rassurer des indécis. Gérer les difficultés. Et puis tout simplement écrire ma partie déjà ! Et puis simplement prendre le plaisir qui devrait n’être que le moteur de tout ceci.
Sans compter que le nuisible du site a fait son retour. Celui qui invariablement depuis plus de douze ans vient invectiver, insulter, dénigrer et mentir à tout propos est de retour. Comme si le fait de tenter de redonner une vie qui s’était évaporée ranimait son agressivité. Médisez, médisez, toujours il en restera quelque chose. Médisez, médisez et toujours vous chasserez ceux qui viennent pointer le nez à la fenêtre du site, dégoûtés par ce qu’ils peuvent lire de la plume du troll. Cette constance depuis douze ans est stupéfiante. Oh, avec de gros trous d’air, et avec de nombreuses identités ! Ses dernières interventions avant son retour ignominieux dataient de… tiens un an justement, octobre 2016, et avant … de deux ans, septembre 2014.
Du venin à éclipses. Du venin à quoi il est difficile de répondre puisque répondre c’est rentrer dans son jeu. C’est mettre l’invective au premier plan du site, c’est faire fuir. Oh comme détruire est facile ! A l’instar de la faiblesse des démocraties face à des terroristes déterminés. Saccager est tellement plus aisé que construire …
Et ce texte alors ? Ce souvenir de belles choses qui pourraient compenser les mauvaises ?
Je ferme les yeux sous le ronronnement du spa, laisse mon corps remonter à la surface sous la pulsion des jets. Comme en apesanteur. Le corps délivré de l’attraction terrestre. L’esprit aussi peut vagabonder, « battre la campagne » comme l’écrivait Brassens.
Pour autant, impossible de remiser aux oubliettes ce qui a accompagné mon quotidien depuis plus de treize ans maintenant. Impossible d’oublier cette sensation merveilleuse et nouvelle à l’époque, de retrouver des amis à chaque connexion, de participer à la création d’un espace merveilleux. D’abord des échanges timides sur de simples lectures puis peu à peu des échanges plus confiants et plus personnels sur des faits, des idées. Puis la surprise de constater qu’on pouvait soi-même écrire des morceaux de prose, qu’on pouvait oser le faire, que ça pouvait intéresser d’autres dans le cadre d’échanges.
De belles amitiés étaient nées, virtuelles mais profondes, et puis dépassant le virtuel, de belles rencontres.
Impossible de passer ceci au bilan des pertes et profits.
D’autant plus quand une « ancienne » perdue de vue et durement touchée par un accident de la vie revient se manifester en manque de cet espace perdu, elle aussi.
Passant l’autre jour dans une petite ville d’Alsace par moi beaucoup fréquentée par le passé, je me suis souvenu de ce café internet où je me précipitais lorsque mon travail me lâchait la bride et que je pouvais aller y chercher une connexion – nos laptops (je ne sais pas si ce vocable pour « ordinateurs portables » est valide en français ?) il y a seulement dix - douze ans n’avaient pas ces facilités de connexion en voyage comme cela nous semble naturel maintenant. Et les hôtels ou lieux publics ne proposaient pas le Wifi.
Je m’y précipitais dans ce café internet pour aller voir ce qui était intervenu de nouveau sur le site, pour retrouver les amis, la communauté …
Cette époque est passée. Beaucoup sont partis. D’autres les ont remplacés puis parfois partis eux aussi. L'intensité a baissé, de plusieurs crans. Je peux passer quelques jours sans connexions si le temps m’est compté. Les relations sont devenues plus formelles, les échanges moins engagés … N’empêche ! Cet espace a existé. Il existe peut-être encore pour d’autres. Ailleurs. Ou ici, et que je ne sais distinguer.
Cet espace a existé et je ne puis faire comme s’il n’avait pas un jour été une boussole importante de ma vie. Les participations sur Vos Ecrits se sont distendues, espacées mais un même noyau s’y retrouve toujours lorsque le rappel est battu. Et ne serait-ce que pour ça …
Je souris du fond de mon spa, rouvre les yeux. Le ciel me rappelle que la vie reste belle. Et les montagnes aussi me le montrent. Ca vaut le coup de se battre. Le ronronnement du spa s’arrête brutalement ; quinze minutes viennent de passer. Le bouillonnement de l’eau cesse. J’appuie à nouveau sur le bouton, rappuie ma tête.
Je fais toujours deux séances à la file …
Ah Tistou je suis repartie dans ce doux passé "Vos écrits" avec toi... Merci de ce beau rappel dans le temps avec des mots si juste. Je trouve aussi que les liens se sont distendus et qu'il y a bien moins de bavardages "vie de tout les jours", les relations sont assez formelles comme tu le dis.
Bref j'aime ton texte et ta façon d'écrire. Sujet bien traité, bravo ;) ! (et merci)
Bref j'aime ton texte et ta façon d'écrire. Sujet bien traité, bravo ;) ! (et merci)
C'est très émouvant de te lire dans cette sorte de confession ; et l'appréhension qui te prend face à ce "défi" dans les écrits laisse ressortir un côté vulnérable alors qu'on a souvent l'impression que tu es toujours fort (je souris, sans émoticon car je sais que tu n'aimes pas). C'est vrai que c'est une belle aventure ce Critiques Libres et tu évoques tout ce passé avec nostalgie, nostalgie qui démontre bien que l'amitié fait vraiment partie de ta vie, de nos vies, du moins en ce qui concerne tous ceux qui y participent ; c'est vrai aussi qu'il y a des coups de mou, des susceptibilités, qui donnent l'impression d'un désamour mais, et c'est assez curieux, il y a très très souvent ce désir d'y revenir comme attiré par une sorte d'aimant (jeu de mots ?!) ; il y a de mauvais souvenirs que tu évoques mais ne t'inquiètes pas car là, pour le coup, je crois que les bonnes choses peuvent largement compenser ces mauvaises ; on se sent bien ici, on n'est pas là pour se juger les uns les autres mais pour être ensemble et vivre cette petite aventure littéraire ensemble ; on s'étripe quelque fois avec les mots, on se vexe, mais toujours on se retrouve...la participation de Frunny en est un bon exemple non ? Mais ce qui est sûr c'est que ces Ecrits est une sacrée belle invention et tu l'as fait vivre toujours avec élan . Merci !
Beaucoup de nostalgie dans ton texte, Tistou, nostalgie bien légitime quand on sait combien la rubrique "Vos Ecrits" compte à tes yeux.
Alors, malgré le désamour des uns et des autres pour l'alimentation des textes, on voit quand même qu'en cas de rappel il y a quelques personnes qui répondent et accueillent un nouvel exo avec plaisir, tout n'est pas perdu.
Et tu fais bien de te remémorer tous ces bons moments passés avec les "anciens", peut-être qu'un jour cette productivité fera à nouveau surface. Mais en dix ans et plus, les temps changent et les préoccupations de chacun(e) ont certainement pris le pas sur ces moments plus légers.
Quant au Troll...
Beaucoup de nostalgie dans ton texte, Tistou, nostalgie bien légitime quand on sait combien la rubrique "Vos Ecrits" compte à tes yeux.
Alors, malgré le désamour des uns et des autres pour l'alimentation des textes, on voit quand même qu'en cas de rappel il y a quelques personnes qui répondent et accueillent un nouvel exo avec plaisir, tout n'est pas perdu.
Et tu fais bien de te remémorer tous ces bons moments passés avec les "anciens", peut-être qu'un jour cette productivité fera à nouveau surface. Mais en dix ans et plus, les temps changent et les préoccupations de chacun(e) ont certainement pris le pas sur ces moments plus légers.
Quant au Troll...
Ceux qui ont une trouille bleue du troll (que je ne suis pas) ne craignent qu`une chose : que j`aille fouiner dans leurs fiches pour les mettre a nu.
D`ailleurs, Tistou est dans la liste des tricheurs. Comment peut-on dire lire quand on ecrit comme il le fait. De la chiure et rien d`autre.
Le lire me donne toujours envie de vomir.
Guigomas a progresse. Il a encore du chemin a parcourir mais son ecriture s`est amelioree.
Tistou et Shkati ont les ecrirures les plus minables de vos ecrits.
Je ne comprendrais jamais que ces 2 individus disent avoir lu autant, surtout la mythomane.
Solidarite oblige entre Cliens personne n`ose dire a Tistou qu`un eleve de sixieme ecrirait mieux que lui. Personne! Toutes et tous des couards et des hypocrites.
Ah bah le voilà au grand jour ! T'as réussi à le faire sortir de son trou Tistou !! Dis j'ai des nuisibles chez moi tu veux pas venir tu m'as l'air balèze sur ce coup là !!
Et Joueur25 n'oublie pas que la meilleure défense c'est l'attaque, ce à quoi tu t'emploies avec brio (et des tonnes de fautes).
Et Joueur25 n'oublie pas que la meilleure défense c'est l'attaque, ce à quoi tu t'emploies avec brio (et des tonnes de fautes).
Ah bah le voilà au grand jour ! T'as réussi à le faire sortir de son trou Tistou !! Dis j'ai des nuisibles chez moi tu veux pas venir tu m'as l'air balèze sur ce coup là !!
Et Joueur25 n'oublie pas que la meilleure défense c'est l'attaque, ce à quoi tu t'emploies avec brio (et des tonnes de fautes).
J`ai un clavier qwerty et tu es trop bete pour comprendre.
Il y a toujours des fautes d`orthographe, dans ce que j`ecris car je le fait en direct et je ne me relis pas.
D`autres, obsedes par l`orthographe comme Monique, Mentor etc..., ont recu des lecons de ma part. Ils l`ont fermee a jamais. Lucien, Bolcho et d`autres incultes ont recu de grosses fessees de ma part.
J`ai ete fouille dans tous leurs textes y compris les fiches de lecture, des megatonnes de fautes alors que leurs textes etaient supposes etre ecrits a tete reposee sans stress.
Cote fautes tu te la boucles!!!
Evaetjean tu as interet a jeter un coup d`oeil a tes 9 critiques. Orthographe???????????? ha ha ha
Ce sont des fiches "savamment" ecrites, lues et relues et pourtant... bourrees de fautes.
En passant, Monique m`avait fait une remarque sur un mot a mon arrivee. Elle a commis la plus grosse erreur de sa vie. Les archives sont la pour confirmer ce que je viens de dire.
Elle, aussi, n`avait que 4 ou 5 critiques a son compte. Quasi exactement comme toi.
Inscrite en 2005 exactement comme toi (?).
La seule difference est qu`elle commettait tres peu de fautes d`orthogaphe.
"Anyway", des que le temps me le permettra je fouinerai comme a mon habitude.
Ce sont des fiches "savamment" ecrites, lues et relues et pourtant... bourrees de fautes.
En passant, Monique m`avait fait une remarque sur un mot a mon arrivee. Elle a commis la plus grosse erreur de sa vie. Les archives sont la pour confirmer ce que je viens de dire.
Elle, aussi, n`avait que 4 ou 5 critiques a son compte. Quasi exactement comme toi.
Inscrite en 2005 exactement comme toi (?).
La seule difference est qu`elle commettait tres peu de fautes d`orthogaphe.
"Anyway", des que le temps me le permettra je fouinerai comme a mon habitude.
Houla mais attend ne prend pas cette peine je vais te faciliter la tache alors oui j'étais là en 2005 avec même yali, monique, omk et j'en passe ! Mon premier pseudo c'était Erika24 (niveau "fouinage" faudra y revoir) puis j'ai changé pour Eva (prénom de mon arrière grand-mère) et Jean (prénom de mon grand père). J'ai 37 ans, remariée, 3 enfants et 2 beaux enfants. Mon vrai prénom c'est Erika. D'autres détails ? Non tu en as assez eu.
Niveau faute j'ai nullement dit que je n'en faisais pas mais quand on se place en donneur de leçon grand défenseur de la veuve et l'orphelin il est mieux de ne pas en faire non plus.
Je ne te répondrai plus ici afin de ne pas salir le texte de mon ami Tistou.
Niveau faute j'ai nullement dit que je n'en faisais pas mais quand on se place en donneur de leçon grand défenseur de la veuve et l'orphelin il est mieux de ne pas en faire non plus.
Je ne te répondrai plus ici afin de ne pas salir le texte de mon ami Tistou.
Il fallait le faire ! écrire un texte sur une absence d'inspiration :-)
Tu nous fais partager les beaux et bons moments qui devraient devenir quotidiens quand tu seras "libéré" de tes obligations professionnelles. Car tes obligations de taille des haies...ça ne s'arrête jamais !
Et quand je relis ton texte, tes "obligations" céliennnes , ne sont pas prêtes de s'arrêter non plus !
Et c'est tant mieux.
Je ne suis pas très assidue mais j'apprécie ta ténacité, ta volonté à faire de ce site, un lieu de vie et de convivialité.Et même à convaincre des indécis de se rencontrer :-)
Un grand, grand merci Tistou !
Tu nous fais partager les beaux et bons moments qui devraient devenir quotidiens quand tu seras "libéré" de tes obligations professionnelles. Car tes obligations de taille des haies...ça ne s'arrête jamais !
Et quand je relis ton texte, tes "obligations" céliennnes , ne sont pas prêtes de s'arrêter non plus !
Et c'est tant mieux.
Je ne suis pas très assidue mais j'apprécie ta ténacité, ta volonté à faire de ce site, un lieu de vie et de convivialité.Et même à convaincre des indécis de se rencontrer :-)
Un grand, grand merci Tistou !
Tu n`as meme pas commence ta phrase et je te cite :
"Houla mais attend ne prend pas cette peine je vais te faciliter la tache "
Tu as commis 3 fautes elementaires
attend
prend
tache (sans accent circonflexe)
On ecrit :
attends
prends
tache (le a prend un accent circonflexe)
Bref, ce n`est pas important tout cela.
Tu peux avoir une orthographe parfaite mais jamais tu n`ecriras bien.
Tu as ete nulle en ecriture et je m`en souviens.
Tu n`as pas progresse depuis 12 ans!!!
Je suis un lanceur d`alerte comme Snowden ou Assange mais en aucun cas je ne me sui presente en donneur de lecons.
L`ecriture grotesque et crottesque de Titsou ne suscite aucune reaction negative (je ne m`attends pas a des vomissements) et cela me surprend.
Quand allez-vous devenir moins hypocrite et plus honnete?
"Houla mais attend ne prend pas cette peine je vais te faciliter la tache "
Tu as commis 3 fautes elementaires
attend
prend
tache (sans accent circonflexe)
On ecrit :
attends
prends
tache (le a prend un accent circonflexe)
Bref, ce n`est pas important tout cela.
Tu peux avoir une orthographe parfaite mais jamais tu n`ecriras bien.
Tu as ete nulle en ecriture et je m`en souviens.
Tu n`as pas progresse depuis 12 ans!!!
Je suis un lanceur d`alerte comme Snowden ou Assange mais en aucun cas je ne me sui presente en donneur de lecons.
L`ecriture grotesque et crottesque de Titsou ne suscite aucune reaction negative (je ne m`attends pas a des vomissements) et cela me surprend.
Quand allez-vous devenir moins hypocrite et plus honnete?
Message à celles qui viennent en toute bonne foi pour participer à cet exo, lire mon texte et y ajouter une critique, svp laissez tomber les scories du troll qui poursuit de ses "assiduités" CL et particulièrement Vos Ecrits depuis ... 2005 ... avec intermittence et sous quantités de pseudos (sûrement un gage d'honnêteté intellectuelle !) mais volonté de nuire affichée.
Scories donc ...
Que mes textes te fassent vomir, Joueur25, soit, mais tu n'es pas obligé de vomir sur nos chaussures. Quand mes enfants petits étaient malades en voiture, rarement, ils avaient l'intelligence de demander à s'arrêter pour ne pas polluer la voiture. Toi, ça semble plutôt être un devoir. Bien vain. Bien pathétique.
Scories donc ...
Que mes textes te fassent vomir, Joueur25, soit, mais tu n'es pas obligé de vomir sur nos chaussures. Quand mes enfants petits étaient malades en voiture, rarement, ils avaient l'intelligence de demander à s'arrêter pour ne pas polluer la voiture. Toi, ça semble plutôt être un devoir. Bien vain. Bien pathétique.
Message à celles qui viennent en toute bonne foi pour participer à cet exo, lire mon texte et y ajouter une critique, svp laissez tomber les scories du troll qui poursuit de ses "assiduités" CL et particulièrement Vos Ecrits depuis ... 2005 ... avec intermittence et sous quantités de pseudos (sûrement un gage d'honnêteté intellectuelle !) mais volonté de nuire affichée.
Scories donc ...
Que mes textes te fassent vomir, Joueur25, soit, mais tu n'es pas obligé de vomir sur nos chaussures. Quand mes enfants petits étaient malades en voiture, rarement, ils avaient l'intelligence de demander à s'arrêter pour ne pas polluer la voiture. Toi, ça semble plutôt être un devoir. Bien vain. Bien pathétique.
Tu as la trouille. Que caches-tu?
As-tu peur de finir comme ce "fameux" realisateur americain? Un lache qui profite de son pouvoir pour violer de jeunes actrices?
Tu finiras comme Monique. Il suffirait que j`y consacre un peu de mon temps pour te mettre a poil.
Les tricheurs et les menteurs finissent toujours par commettre de graves erreurs. Un peu comme les assassins en serie.
Que viennent faire des enfants dans la discussion?
Le tricheur joue toujours sur cette fibre. D`ailleurs le predateur sexuel americain se pose en victime en declarant qu`il a besoin d`aide, qu`il a une famille etc... Le blabla habituel des escrocs en fin de course.
Je ne deteste personne en particulier mais je hais de tout mon ADN les tricheurs et les menteurs.
Un jour si le temps me le permettra, je fouinerais encore et encore pour t`envoyer rejoindre Monique que tu as defendu comme un enrage.
A bientot.
J`ai d`autres trucs a faire bien plus importants.que d`attraper une petite souris.
Ouf ! Je l'ai échappé belle !
Bon on va donc reprendre nos activités entre petites souris ...
Bon on va donc reprendre nos activités entre petites souris ...
Se souvenir des belles choses...
J'aurais pu revenir ici avec un texte tonitruant plein de bruit et fureur, de cynisme et de dérision furibonde, mais j'ai préféré parler de ma chère Delphine . Delphine était une petite banlieusarde, comme moi, quand elle était petite. Nous habitions une résidence, le « Parc de l'Aulnay » à Vaires sur Marne que les adultes et les médias trouvent aliénante, un agglomérat de « cages à lapins » toutes pareilles. Nous faisions quasiment nous enfants tout ce que nous voulions sans être surveillés, pistés par un gadget électronique, personne n'évoquait le fameux « sentiment d'insécurité ».
Certes, j'ai conscience qu'il y aura bien un ou deux pisse-vinaigre pour vraiment trouver que je suis un égocentrique narcissique indécrottable, un petit bourgeois hédoniste et réactionnaire car nostalgique. Je ne comprendrai jamais cette accusation stupide d'égocentrisme ou de narcissisme envers les écriveurs, les auteurs, les écrivains, c'est une telle évidence qu'il faut un égo de bel aspect pour cela, ce qui n'est pas forcément un défaut...
Nous passions la fin de nos journées dans un petit parc qui était au centre de notre cité bleue et blanche. Nous prenions parfois le train de banlieue sur les bancs de bois de la deuxième classe des années 70 pour aller au « Rex » rêver dans ce cinéma mythique au décor pourtant de stuc et de carton pâte, c'est là-bas que j'ai commencé à aimer passionnément le cinéma face à « l'Île sur le Toit du monde » ou « Vingt-Mille lieux sous les Mers », moi j'étais triste surtout pour le capitaine Némo et je trouvais que Ned Land était un crétin sans cœur.
.C'était la première fois que j'allais au cinéma avec mon père, la première fois qu'il s'intéressait autant à moi. Depuis quand je vais voir un film, j'essaie toujours de retrouver la grâce de ce moment, mais hélas...
Delphine était une petite fille très hardie mais pas pour autant « garçon manqué », elle n'avait peur de rien, elle trouvait que j'étais trop raisonnable, elle avait quand même été impressionnée favorablement par mon courage en découvrant la trace du vaccin du BCG que j'avais sur le pied droit. Elle crapahutait sur les agrès du jardin public, à des hauteurs sans limites pour des petits enfants, pour s'étourdir. Elle avait les cheveux courts coupés à la mode de l'époque, « à la Stone ». Elle était toujours spontanée, vive, rieuse et très gaie, moi déjà je croyais savoir que la chair était faible et j'avais lu tous les livres, présomptueux que j'étais.
Delphine m'apprit un jour que le Père Noèl n'existait pas, que c'était les parents, ces cachottiers, qui allaient acheter les cadeaux dans les grands magasins à Paris dont nous allions admirer les vitrines décorées spécialement, emmitouflés, à peine quelques jours avant le 25 décembre ou dans un de ces nouveaux centres commerciaux qui venaient d'ouvrir à la lisière de la capitale, comme Parly 2. C'était encore les « Trente Glorieuses », on croyait que la prospérité allait durer encore un petit peu. Je commençais à avoir des soupçons, il est vrai, voyant mes parents faire des allers-retours parfois avec des airs de conspirateurs quelques temps avant les fêtes lorsqu'ils revenaient de Paris-Paname où ils allaient alors sans moi ou mon petit frère tout neuf ce qui était inhabituel.
Un jour, voulant lui montrer que je savais faire une « cascade » sur un des toboggans du jardin public, je tombais et les adultes affolés appelèrent les urgences, Delphine était bouleversée, elle était sans voix. Elle ne pleurait pas, mais elle avait eu très peur, et lorsque je revins, j'eus droit à une bourrade un peu brusque pour me montrer combien son inquiétude avait été grande. Les grandes personnes, tellement raisonnables, passent leur temps à se demander pourquoi ils aiment, s'ils aiment vraiment, assez bien et comment ils aiment, les enfants eux ne se compliquent pas tant l'existence pour autant, ils vivent sincèrement leurs sentiments, jusqu'au bout . Cela ne dure pas il est vrai, les préjugés, les lieux communs, la sottise, les appétits communs ont tôt fait de les rattraper...
J'aurais pu revenir ici avec un texte tonitruant plein de bruit et fureur, de cynisme et de dérision furibonde, mais j'ai préféré parler de ma chère Delphine . Delphine était une petite banlieusarde, comme moi, quand elle était petite. Nous habitions une résidence, le « Parc de l'Aulnay » à Vaires sur Marne que les adultes et les médias trouvent aliénante, un agglomérat de « cages à lapins » toutes pareilles. Nous faisions quasiment nous enfants tout ce que nous voulions sans être surveillés, pistés par un gadget électronique, personne n'évoquait le fameux « sentiment d'insécurité ».
Certes, j'ai conscience qu'il y aura bien un ou deux pisse-vinaigre pour vraiment trouver que je suis un égocentrique narcissique indécrottable, un petit bourgeois hédoniste et réactionnaire car nostalgique. Je ne comprendrai jamais cette accusation stupide d'égocentrisme ou de narcissisme envers les écriveurs, les auteurs, les écrivains, c'est une telle évidence qu'il faut un égo de bel aspect pour cela, ce qui n'est pas forcément un défaut...
Nous passions la fin de nos journées dans un petit parc qui était au centre de notre cité bleue et blanche. Nous prenions parfois le train de banlieue sur les bancs de bois de la deuxième classe des années 70 pour aller au « Rex » rêver dans ce cinéma mythique au décor pourtant de stuc et de carton pâte, c'est là-bas que j'ai commencé à aimer passionnément le cinéma face à « l'Île sur le Toit du monde » ou « Vingt-Mille lieux sous les Mers », moi j'étais triste surtout pour le capitaine Némo et je trouvais que Ned Land était un crétin sans cœur.
.C'était la première fois que j'allais au cinéma avec mon père, la première fois qu'il s'intéressait autant à moi. Depuis quand je vais voir un film, j'essaie toujours de retrouver la grâce de ce moment, mais hélas...
Delphine était une petite fille très hardie mais pas pour autant « garçon manqué », elle n'avait peur de rien, elle trouvait que j'étais trop raisonnable, elle avait quand même été impressionnée favorablement par mon courage en découvrant la trace du vaccin du BCG que j'avais sur le pied droit. Elle crapahutait sur les agrès du jardin public, à des hauteurs sans limites pour des petits enfants, pour s'étourdir. Elle avait les cheveux courts coupés à la mode de l'époque, « à la Stone ». Elle était toujours spontanée, vive, rieuse et très gaie, moi déjà je croyais savoir que la chair était faible et j'avais lu tous les livres, présomptueux que j'étais.
Delphine m'apprit un jour que le Père Noèl n'existait pas, que c'était les parents, ces cachottiers, qui allaient acheter les cadeaux dans les grands magasins à Paris dont nous allions admirer les vitrines décorées spécialement, emmitouflés, à peine quelques jours avant le 25 décembre ou dans un de ces nouveaux centres commerciaux qui venaient d'ouvrir à la lisière de la capitale, comme Parly 2. C'était encore les « Trente Glorieuses », on croyait que la prospérité allait durer encore un petit peu. Je commençais à avoir des soupçons, il est vrai, voyant mes parents faire des allers-retours parfois avec des airs de conspirateurs quelques temps avant les fêtes lorsqu'ils revenaient de Paris-Paname où ils allaient alors sans moi ou mon petit frère tout neuf ce qui était inhabituel.
Un jour, voulant lui montrer que je savais faire une « cascade » sur un des toboggans du jardin public, je tombais et les adultes affolés appelèrent les urgences, Delphine était bouleversée, elle était sans voix. Elle ne pleurait pas, mais elle avait eu très peur, et lorsque je revins, j'eus droit à une bourrade un peu brusque pour me montrer combien son inquiétude avait été grande. Les grandes personnes, tellement raisonnables, passent leur temps à se demander pourquoi ils aiment, s'ils aiment vraiment, assez bien et comment ils aiment, les enfants eux ne se compliquent pas tant l'existence pour autant, ils vivent sincèrement leurs sentiments, jusqu'au bout . Cela ne dure pas il est vrai, les préjugés, les lieux communs, la sottise, les appétits communs ont tôt fait de les rattraper...
Amaury il faut que tu post sur un nouveau sujet avec comme intitulé "Faites passer :" suivi du titre de ton texte.
Cher Tistou,
Il y a quelques années que j'ai découvert Vos écrits. Tu m'as prise par la plume en me montrant où je pouvais poster mes textes.
Certaines sensations restent et resteront imprimées. A l'heure où nous parlons de souvenirs en voilà un des plus heureux.
Alors oui, Tistou, il y a les souvenirs mais il y a surtout l'aujourdhui de Vos écrits, celui qui vit, bat comme un coeur rempli d'amitié, d'histoires de vies, de moments gardés au chaud dans ce petit endroit à l'abri du monde (et peu m'importe si certains essayent de s'y faire une place en choisissant la plus mauvaise manière, ce sont des bien malheureux).
Tistou, ton texte est émouvant. En tout cas il m'a émue. Tistou parle peu de lui... Je l'ai entendu de gens qui le connaissent depuis très longtemps. Alors c'est un honneur de lire ces confidences. Tout ce que tu a mis ici comme énergie, comme enthousiasme, comme espoirs, comme attentes, un fil de vie à travers la toile, c'est une part importante de ta vie.
La vie est un album de souvenirs mais c'est surtout chaque moment qui est à vivre. Puisque nous sommes là, ensemble, reliés par un besoin essentiel, celui d'exister, de parler, d'écrire, d'être écouté, d'être lu.
Mes yeux ont beaucoup vécu et sont abîmés. Si ça n'avait pas été le cas, je serais ici tous les jours, comme autrefois, parce que comme toi Tistou c'est un endroit unique que Vos écrits. C'est un endroit unique que Critiques Libres, grâce à ceux qui l'ont créé, grâce à Saule et Ludmilla qui font vivre ce coeur tous les jours, grâce à tous ceux qui y laissent leur plume s'écouler, quelle qu'en soit la couleur, la douleur ou la douceur.
Tistou, chef d'orchestre d'ici, je te remercie. Parce que sans toi ma plume aurait été inutile et triste. Ton texte montre à quel point ta ténacité te donne du fil à retordre. Bientôt, entre les bulles du spa, les montagnes tellement belles à admirer, le bois à couper, les compotes (avec ou sans la peau, that's the question), les écrits, les innombrables critiques te donneront le plaisir que tu mérites, celui qui donnera toutes les couleurs à cette nouvelle et belle vie qui se prépare tam tam tam, roulez tambours...
Il y a quelques années que j'ai découvert Vos écrits. Tu m'as prise par la plume en me montrant où je pouvais poster mes textes.
Certaines sensations restent et resteront imprimées. A l'heure où nous parlons de souvenirs en voilà un des plus heureux.
Alors oui, Tistou, il y a les souvenirs mais il y a surtout l'aujourdhui de Vos écrits, celui qui vit, bat comme un coeur rempli d'amitié, d'histoires de vies, de moments gardés au chaud dans ce petit endroit à l'abri du monde (et peu m'importe si certains essayent de s'y faire une place en choisissant la plus mauvaise manière, ce sont des bien malheureux).
Tistou, ton texte est émouvant. En tout cas il m'a émue. Tistou parle peu de lui... Je l'ai entendu de gens qui le connaissent depuis très longtemps. Alors c'est un honneur de lire ces confidences. Tout ce que tu a mis ici comme énergie, comme enthousiasme, comme espoirs, comme attentes, un fil de vie à travers la toile, c'est une part importante de ta vie.
La vie est un album de souvenirs mais c'est surtout chaque moment qui est à vivre. Puisque nous sommes là, ensemble, reliés par un besoin essentiel, celui d'exister, de parler, d'écrire, d'être écouté, d'être lu.
Mes yeux ont beaucoup vécu et sont abîmés. Si ça n'avait pas été le cas, je serais ici tous les jours, comme autrefois, parce que comme toi Tistou c'est un endroit unique que Vos écrits. C'est un endroit unique que Critiques Libres, grâce à ceux qui l'ont créé, grâce à Saule et Ludmilla qui font vivre ce coeur tous les jours, grâce à tous ceux qui y laissent leur plume s'écouler, quelle qu'en soit la couleur, la douleur ou la douceur.
Tistou, chef d'orchestre d'ici, je te remercie. Parce que sans toi ma plume aurait été inutile et triste. Ton texte montre à quel point ta ténacité te donne du fil à retordre. Bientôt, entre les bulles du spa, les montagnes tellement belles à admirer, le bois à couper, les compotes (avec ou sans la peau, that's the question), les écrits, les innombrables critiques te donneront le plaisir que tu mérites, celui qui donnera toutes les couleurs à cette nouvelle et belle vie qui se prépare tam tam tam, roulez tambours...
Je suis heureux que ce que j'ai écrit quelquefois, et qui semble autour de moi (dans ma vie réelle) intéresser si peu de monde, trouve dans ce havre quelques lecteurs enthousiastes,
Et donc je suis heureux aussi pour vous tous, les autres écrivains en herbe (ou en étoffe) qui comme moi, ressentent cette consolation ou cette joie.
Ici, comme dans un salon de Madame Geoffrin.
Et j'espère que cela durera encore
Même si en notre siècle les gouttes de poésie et d'écriture semble s'étioler dans les océans de l'image et du bruit.
Tu es donc aussi, j'imagine, une sorte de dernier Samouraï. Le général d'une armée pas tout à fait morte.
Quant à ton texte, je trouve qu'il transmet une certaine nostalgie, un bonheur, que je crois que tu ressens, celui d'avoir accompli et d'accomplir encore quelque chose de beau.
C'est en le cherchant, comprend-on, que tu as fini par l'écrire à l'improviste!
Et donc je suis heureux aussi pour vous tous, les autres écrivains en herbe (ou en étoffe) qui comme moi, ressentent cette consolation ou cette joie.
Ici, comme dans un salon de Madame Geoffrin.
Et j'espère que cela durera encore
Même si en notre siècle les gouttes de poésie et d'écriture semble s'étioler dans les océans de l'image et du bruit.
Tu es donc aussi, j'imagine, une sorte de dernier Samouraï. Le général d'une armée pas tout à fait morte.
Quant à ton texte, je trouve qu'il transmet une certaine nostalgie, un bonheur, que je crois que tu ressens, celui d'avoir accompli et d'accomplir encore quelque chose de beau.
C'est en le cherchant, comprend-on, que tu as fini par l'écrire à l'improviste!
L’exercice dans l’exercice, je sais que c’est quelque chose que tu as déjà fait, mais là, c’est différent. Tu as bien raison de saisir l’opportunité de parler de quelque chose qui te tient à cœur. Heureusement que ce lieu te tient à cœur, que tu as pris en charge de battre le rappel, parce que c’est sûr que ce sentiment de vie, en arrivant sur Vos Ecrits, est précieux. Un de Marvic ! un autre de Garance ! et Piero ! Amaury qui nous confie des bribes de son enfance ! Guigomas qui me met en transe !
Je sais que je suis arrivée après l’âge d’or, que je ne peux pas vraiment comprendre ce qu’ici tu relates. Que oui, je regarde de façon plus distraite, ne commente pas toujours (Martin, j’ai bien lu les derniers tiens, j’y reviendrai !), suis occupée ailleurs sans que cela me défrise. Peut-être ai-je perdu un peu du frisson des premiers exercices en direct (non ? si ! non ? bon…). Mais j’aime cet espace et suis heureuse 1) de ce texte 2) de l’idée des textes à venir. Yapluka !
Je sais que je suis arrivée après l’âge d’or, que je ne peux pas vraiment comprendre ce qu’ici tu relates. Que oui, je regarde de façon plus distraite, ne commente pas toujours (Martin, j’ai bien lu les derniers tiens, j’y reviendrai !), suis occupée ailleurs sans que cela me défrise. Peut-être ai-je perdu un peu du frisson des premiers exercices en direct (non ? si ! non ? bon…). Mais j’aime cet espace et suis heureuse 1) de ce texte 2) de l’idée des textes à venir. Yapluka !
C’est une belle idée cette réflexion sur vos écrits, une utilisation intelligente du thème et de l’actualité.
C’est vrai qu’ici les bons souvenirs l’emportent ! C’est Vos Ecrits qui m’a donné l’envie ou le courage de commencer à écrire des textes et même si la vie professionnelle et personnelle fait que je viens moins souvent, c’est avec grand plaisir que j’ai répondu à l’appel.
Et comme à chaque fois, je me dis: allez, je m'y remets !
C’est vrai qu’ici les bons souvenirs l’emportent ! C’est Vos Ecrits qui m’a donné l’envie ou le courage de commencer à écrire des textes et même si la vie professionnelle et personnelle fait que je viens moins souvent, c’est avec grand plaisir que j’ai répondu à l’appel.
Et comme à chaque fois, je me dis: allez, je m'y remets !
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