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Je me suis noyé dans les vins de Corbières
A ne plus pouvoir me relever du sol
Me déshydrater allongé dans la bière
Sans une ombre puisqu’au premier sous-sol
Puis enfin m’élever dans la stratosphère
Dans le noir tel la dame blanche* des nuits
Sans un seul son un bruissement n’interfère
Clairement sous les douze coups de minuit.
Je vole maintenant dans l’interstellaire
Sous une réplique d’une fleur d’ange
Ou je traverse des systèmes solaires
Qui bien souvent tendent vers l’orange
Et fuis au plus vite la matière sombre
En passant à la vitesse lumière
Pour rejoindre d’autres planètes en nombre
Qui me sont sûr beaucoup plus coutumières
*Effraie des clochers
A ne plus pouvoir me relever du sol
Me déshydrater allongé dans la bière
Sans une ombre puisqu’au premier sous-sol
Puis enfin m’élever dans la stratosphère
Dans le noir tel la dame blanche* des nuits
Sans un seul son un bruissement n’interfère
Clairement sous les douze coups de minuit.
Je vole maintenant dans l’interstellaire
Sous une réplique d’une fleur d’ange
Ou je traverse des systèmes solaires
Qui bien souvent tendent vers l’orange
Et fuis au plus vite la matière sombre
En passant à la vitesse lumière
Pour rejoindre d’autres planètes en nombre
Qui me sont sûr beaucoup plus coutumières
*Effraie des clochers
C'est original, inspiré, j'aime bien ce type de rimes.
J'ai l'image d'un homme qui fuit une grotte, celle de ses vices ou de ses soûleries peut-être, pour rejoindre un ailleurs inconnu mais paradoxalement plus familier.
Bravo !
J'ai l'image d'un homme qui fuit une grotte, celle de ses vices ou de ses soûleries peut-être, pour rejoindre un ailleurs inconnu mais paradoxalement plus familier.
Bravo !
On reconnais bien ton style un peu chaotique Pierrot, pas toujours très clair, mais justement, riche en ambiguïté ! Moi je vois bien les songes éthylique d'un poète enivré à l’excès !
"Cauchemar bienveillant" ?
Il y a des passages carrément incompréhensibles :
"Dans le noir tel la dame blanche* des nuits
Sans un seul son un bruissement n’interfère
Clairement sous les douze coups de minuit."
??
La seconde partie est moins absconse mais ça reste bien nébuleux. Tu me diras, un cauchemar ... ? Et bienveillant, de surcroît !
Il y a des passages carrément incompréhensibles :
"Dans le noir tel la dame blanche* des nuits
Sans un seul son un bruissement n’interfère
Clairement sous les douze coups de minuit."
??
La seconde partie est moins absconse mais ça reste bien nébuleux. Tu me diras, un cauchemar ... ? Et bienveillant, de surcroît !
Grosso-modo, je crois que l’auteur a voulu dire…Ivre mort, l’homme tombe au sol dans une sorte de coma, dans son cauchemar se voit dessécher dans un cercueil, puis sillonne le ciel, pour enfin revenir à louis…
J'ai aimé lire ces lignes un peu glauques mais aussi magiques.. un homme dans le désespoir qui s'imagine s'élever vers une vie meilleure
Jeu de maux ! (Humour)
Je ne suis pas de tout repos
Pour le spécimen humain
Mais plutôt du type suppôt
Avec un doigt, de cul main.
Antagoniste de vos saints
Je me donne un mal fou
Afin d’amener à dessein
La soif d’envie d’un corps fou.
Donc, je laisse Lucie faire
Avec son corps arc-boutant
Jouir et se satisfaire.
D’être baiser par Satan.
Ayant le don d’ubiquité
J’œuvre partout à la fois
De Meudon jusqu’à Kaété
Des fidèles aux sans foi.
En fauchant en ce bas monde
L’être qui périt de faim
Un, toutes les trois secondes
Pour enrichir l’aigrefin !
Je ne suis pas de tout repos
Pour le spécimen humain
Mais plutôt du type suppôt
Avec un doigt, de cul main.
Antagoniste de vos saints
Je me donne un mal fou
Afin d’amener à dessein
La soif d’envie d’un corps fou.
Donc, je laisse Lucie faire
Avec son corps arc-boutant
Jouir et se satisfaire.
D’être baiser par Satan.
Ayant le don d’ubiquité
J’œuvre partout à la fois
De Meudon jusqu’à Kaété
Des fidèles aux sans foi.
En fauchant en ce bas monde
L’être qui périt de faim
Un, toutes les trois secondes
Pour enrichir l’aigrefin !
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