autour d'un prix dont tout le monde parle sans vraiment savoir pourquoi, et sur lequel Septu est impiègeable.
Oulà, mais je vais rougir, moi!...
Bon, comme je le dis souvent je suis "tombé dedans" quand j'étais très petit...
Que rajouter sinon que j'ai été content de vous revoir ? Comme on dit : "L'assemblée était réduite mais de qualité". J'ai donc eu moins de peine à reconnaitre Septularisen, d'autant qu'il est venu directement vers moi d'un air menaçant histoire de stimuler ma mémoire. Petite contrariété : la moitié du groupe (moins les extrémités) était coincée sur la banquette, ce qui a nui au jeu de chaises musicales auquel nous convie traditionnellement la Grande Prêtresse une fois le repas expédié, mais de toute façon, SJB n'aime pas la musique.
A l'année prochaine pour tous les présents, et surtout les absents.
A l'année prochaine pour tous les présents, et surtout les absents.
La première fois
Quand j'ai commencé à fréquenter CL, le souper bruxellois me semblait réunir une bande d'irréductibles (mais pas gaulois) à laquelle je prêtais peu d'attention.
Les années passant, des liens se tissent, la retraite arrive, une rencontre avec Tistou...et je commence à me dire "et pourquoi pas ?"
Ce "pourquoi pas" s'est transformé en certitude grâce au message de Tistou et aux encouragements de mon mari (même si celui-ci ne joue pas au golf, n'est-ce pas SJB?)
Nous voici donc le vendredi soir, perdus dans une capitale "piétonnisée", au milieu de sens interdits dignes d'un célèbre sketch de Raymond Devos.
Rendez-vous pris avec DBZ et Tistou comme coaches, et nous voilà partis à la recherche (non pas du temps perdu, ça nous en avions) mais de l'adresse exacte du restaurant.
Je confirme à Nathafi que j'étais dans mes petits souliers :-) et je confirme que j'avais tort. Accueillie comme si j'étais déjà connue, mais il paraît qu'on ressemble à son pseudo !
Immédiatement à l'aise entourée de Septu, DBZ et Saule. (Aidée aussi par un petit verre de vin blanc, même si, ô sacrilège, le bouchon était vissé :-)
J'ai donc fait connaissance avec une douzaine de céliens présents mais aussi avec les absents que mes voisins m'ont présentés.
J'ai apprécié le Coucou de Malines,et dégusté le tiramisu au spéculoos, mais c'est presque secondaire.
(Pour mes voisins, ou pour les amateurs de bonne viande, nous avions mangé la veille dans un Pampas, place Sainte Catherine, qui sert jusqu'à plus faim !)
J'ai trouvé l'idée des "chaises musicales" géniale. Cela m'a permis des échanges passionnants avec SJB ; je ne parlerais pas de ceux avec Septu, sinon, il va encore rougir :-) (Quoique Maitre Yoda en rouge…)
Se retrouver sur la terrasse d'un café à minuit était aussi une excellente idée. Presque plus facile d'échanger à l'air libre, et une nouvelle fois, avec d'autres personnes.
Retour vers 1 h des français dans leurs hôtels respectifs mais proches où j'ai retrouvé mon mari qui a à peine ouvert un œil mais il savait qu'il m'avait laissée entre bonnes mains.
Une dernière promenade dominicale dans le centre ville, histoire de re-croiser DBZ et ses livres ainsi que Septu et nous quittions la Belgique, en passant pas l'Avesnois et le Musverre de Sars-Poteries (très belles choses).
Nous avons retrouvé notre grisaille normande la tête remplie de beaux souvenirs...et de projets pour notre prochain week-end belge. Nous n'avons pas encore réservé l'hôtel mais avons déjà prévu l'itinéraire pour y arriver sans encombres !
Je ne peux terminer sans remercier mes deux accompagnateurs DBZ et Tistou, Saule pour avoir créé et entretenu CL et surtout Blue, pour sa gentillesse et son dynamisme (même si elle ne sait pas garder un secret :-)))
Comme le veut la tradition belge, une bise à tous, et à l'année prochaine.
Quand j'ai commencé à fréquenter CL, le souper bruxellois me semblait réunir une bande d'irréductibles (mais pas gaulois) à laquelle je prêtais peu d'attention.
Les années passant, des liens se tissent, la retraite arrive, une rencontre avec Tistou...et je commence à me dire "et pourquoi pas ?"
Ce "pourquoi pas" s'est transformé en certitude grâce au message de Tistou et aux encouragements de mon mari (même si celui-ci ne joue pas au golf, n'est-ce pas SJB?)
Nous voici donc le vendredi soir, perdus dans une capitale "piétonnisée", au milieu de sens interdits dignes d'un célèbre sketch de Raymond Devos.
Rendez-vous pris avec DBZ et Tistou comme coaches, et nous voilà partis à la recherche (non pas du temps perdu, ça nous en avions) mais de l'adresse exacte du restaurant.
Je confirme à Nathafi que j'étais dans mes petits souliers :-) et je confirme que j'avais tort. Accueillie comme si j'étais déjà connue, mais il paraît qu'on ressemble à son pseudo !
Immédiatement à l'aise entourée de Septu, DBZ et Saule. (Aidée aussi par un petit verre de vin blanc, même si, ô sacrilège, le bouchon était vissé :-)
J'ai donc fait connaissance avec une douzaine de céliens présents mais aussi avec les absents que mes voisins m'ont présentés.
J'ai apprécié le Coucou de Malines,et dégusté le tiramisu au spéculoos, mais c'est presque secondaire.
(Pour mes voisins, ou pour les amateurs de bonne viande, nous avions mangé la veille dans un Pampas, place Sainte Catherine, qui sert jusqu'à plus faim !)
J'ai trouvé l'idée des "chaises musicales" géniale. Cela m'a permis des échanges passionnants avec SJB ; je ne parlerais pas de ceux avec Septu, sinon, il va encore rougir :-) (Quoique Maitre Yoda en rouge…)
Se retrouver sur la terrasse d'un café à minuit était aussi une excellente idée. Presque plus facile d'échanger à l'air libre, et une nouvelle fois, avec d'autres personnes.
Retour vers 1 h des français dans leurs hôtels respectifs mais proches où j'ai retrouvé mon mari qui a à peine ouvert un œil mais il savait qu'il m'avait laissée entre bonnes mains.
Une dernière promenade dominicale dans le centre ville, histoire de re-croiser DBZ et ses livres ainsi que Septu et nous quittions la Belgique, en passant pas l'Avesnois et le Musverre de Sars-Poteries (très belles choses).
Nous avons retrouvé notre grisaille normande la tête remplie de beaux souvenirs...et de projets pour notre prochain week-end belge. Nous n'avons pas encore réservé l'hôtel mais avons déjà prévu l'itinéraire pour y arriver sans encombres !
Je ne peux terminer sans remercier mes deux accompagnateurs DBZ et Tistou, Saule pour avoir créé et entretenu CL et surtout Blue, pour sa gentillesse et son dynamisme (même si elle ne sait pas garder un secret :-)))
Comme le veut la tradition belge, une bise à tous, et à l'année prochaine.
Oh. Milles excuses Marvic ! Je n'avais pas compris que c'était un secret...
À croire que j'étais d'humeur "racusette" ou "racusepotte" comme on dit chez nous. ;-)
À croire que j'étais d'humeur "racusette" ou "racusepotte" comme on dit chez nous. ;-)
J'ai donc eu moins de peine à reconnaitre Septularisen, d'autant qu'il est venu directement vers moi d'un air menaçant histoire de stimuler ma mémoire.
Faut dire que je l'ai menacé avec mon sabre laser!... ;~)))DD
; je ne parlerais pas de ceux avec Septu, sinon, il va encore rougir :-) (Quoique Maitre Yoda en rouge…)
Behn, en fait là tu confond avec Dath Maul! :-)))DDDD
Bruxelles sur Seine, ou Bruxelles sur Isère, d’un soir (oui, oui, on est Français !). Le soir en question, c’était Samedi, le 11 Mars, le Samedi de la rencontre CL de Bruxelles. Sur Seine.
Bon n’exagérons pas, nous n’étions que 5 Français. Et la compagnie, c’était 9 Belges (encore qu’il y en a un qui serait plutôt Luxembourgeois mais bon, détail tout cela). La vérité c’était que nous étions 14 frères et sœurs à nous retrouver et que ça reste immanquablement la même magie ! Même pour 3 d’entre nous qui n’étaient même pas des Céliens répertoriés, catégorie purs et durs, je veux parler de Mr Ludmilla et les 2 Anonymes, d’une fidélité remarquable et d’une bienveillance tout aussi remarquable. Je ne sais pas si la musique adoucit les mœurs mais l’amour de la littérature, à coup sûr !
J’ai un peu honte de l’avouer, mon séjour à Bruxelles a commencé le vendredi soir avec du rugby (Galles – Irlande). De petites courses le samedi matin ; pralines, … les indispensables quoi comme aller voir si la Grand Place est bien à sa place, et puis la quête des dernières œuvres de Daniel Charneux profitant de ce que j’étais en Belgique dans des librairies toutes plus dépourvues les unes que les autres. Intermède le midi avec un Moule-Frites, hors de prix et tout à fait quelconque, heureusement en compagnie de Débézed et de Saule (retenir qu’il faut laisser tomber le concept de moules frites et choisir plus belge authentique) qui nous a permis de nous chauffer, faire monter un peu la pression. Puis, nouvel épisode honteux, Italie – France et Irlande – Angleterre. (La honte je vous dis ! Venir à Bruxelles pour regarder les VI Nations !!). Mais honte partagée avec Débézed puisque nous squattions le bar de l’hôtel et avions imposé le spectacle.
Et puis … c’est l’heure. Ca y est. Récupérer son bouquin pour l’échange de tout à l’heure. Faire la connaissance – rapide – de Mr Marvic. Tentative tistouienne (entendre par là légèrement insistante !) de le faire nous accompagner (entre temps nous avions appris l’indisponibilité de Darius plaquée (ah non, le rugby c’était fini) par la maladie) …
Promesse de prendre soin de la dame Marvic sous les encouragements par SMS de Nathafi, elle aussi empêchée (et même que j’espère que l’année prochaine …) ; « occupez vous bien de Marvic, elle va être dans ses petits souliers » (renseignements pris, les souliers en question sont quand même du 39 !), et puis en route vers « Le Cercle des Voyageurs », devenu définitivement le point de ralliement de ce rassemblement annuel. Annuel mais qu’on hésite quand même à trouver du premier coup, Débézed et moi, émus sans doute par l’imminence de l’évènement …
Le voilà « Le Cercle … ». Nous y pénétrons en conquérants. Déjà du beau monde ; Bluewitch, Saule, Minoritaire, Ludmilla and Mr, Bolcho, SJB, Septularisen … Nous ne sommes pas, vue notre relativement faible assistance, dans notre antre habituel, mais dans la salle commune. Peu importe, les retrouvailles sont là et ne laissent pas de place à la nostalgie. Retrouver Bolcho, si peu présent ces derniers temps sauf pour ses relations du « Monde Diplo », relève de la rareté. Bluewitch aussi vous me direz, pas vraiment omniprésente, mais tellement impliquée dans cette organisation annuelle que finalement on a l’impression de ne l’avoir quittée que la veille. Saule est là mais, venant de manger avec lui quelques heures auparavant, la surprise est émoussée. Minoritaire, avec de superbes nouvelles rouflaquettes (pourtant les Irlandais ont perdu la veille ??) et puis un cadeau pour moi, promis de l’année dernière et qu’il m’a apporté ; une œuvre au fusain de sa propre main (il utilise beaucoup ses mains, Minoritaire, et de bien belle manière), un portrait de … Neil Young (il a du goût, l’animal !), un Neil Young d’il y a 15 -20 ans au bas mot, accroché maintenant dans mon bureau. Ludmilla et son moitié (néologisme). Ludmilla vraiment comme chez elle à Bruxelles et son moitié me semble-t-il toujours plus à l’aise dans le monde Célien (Marvic, à faire lire à ton propre moitié !). SJB, rajeuni ( ?, est-ce possible ?), en tout cas dans une forme olympique toujours à dégainer des propos définitifs l’air de ne pas y toucher et un sourire irrésistible aux lèvres. Septularisen qui m’agresse d’entrée avec un livre. Pas le choix – enfin si, j’ai le choix entre 2 livres de Vargas – Llosa. Avec Septularisen, que je le vois en terrain neutre, chez moi ou chez lui, je n’y coupe pas : livre. Il me fait penser à ces premiers explorateurs qui abordèrent le Nouveau Monde avec de la verroterie plein les mains pour amadouer les sauvages. Sa verroterie, ce sont des livres (et moi du coup je suis le sauvage !) !
Et puis arrivent les so-called Anonymes. Poétiquement différenciés en Anonyme 1 et Anonyme 2, l’effort créatif est à souligner ! En pratique, de la famille proche de Saule qui, parait-il, ne jettent qu’un œil distrait sur C.L., alors qu’ils dévorent quantités de lectures. Vous y croyez, vous ? Je me demande s’il ne s’agit pas plutôt de CIA 1 et CIA 2 ou Securitate 1 et Securitate 2 ? Voire KGB 1 et KGB 2 ? Après tout la Belgique est beaucoup plus proche de la Russie que la France. Pensons-y ? D’autant qu’ils sont extrêmement aimables, bienveillants … vous voyez ? le genre à endormir la méfiance pour mieux récolter les stratégiques informations … Bon …
Chacun avait trouvé une place, les boissons se servaient quand, last but not least, en guest star est arrivé Mr Smith (il a grandi ou quoi ?), un peu tendu comme ça d’arriver le dernier mais finalement toujours aussi percutant dans des analyses généralement iconoclastes (parait que je ne ressemble pas à ce que laisse présager mes interventions sur CL et là je n’ai pas bien compris si c’était en mieux ou en pire !! Et pourtant c’est qu’il est très sympa le Mr Smith !).
Repas. Discussions. Brouhaha. Bonheur d’être ensemble. Puis échanges de places, plus ou moins aisés. L’intérêt d’une relative petite assemblée, c’est qu’il est possible d’aller tailler bavette avec chacun. Jusqu’à ce que un énergumène au statut de DJ se mette en tête de générer ce que SJB qualifiât de bruit, réclamant d’ailleurs vigoureusement au sus-nommé DJ de la mettre un peu en sourdine (!!). Il s’avérât que le bruit du DJ était en fait une musique d’ambiance, un peu dansante et surtout fortement rythmée mais qui ne trouvât pas grâce auprès de SJB pour qui non, définitivement, ça n’était pas de la zique. Du coup, additions : menus d’un côté, boissons de l’autre. Et c’est là qu’on pût constater que Bluewitch a pris un coup de vieux : point d’hésitations cocasses, de comptes et recomptes, non, rien de tout cela. Du premier coup les comptes furent réglés et j’avoue qu’on s’en retrouvât bien bêtes. (non Bluewitch, je plaisante, tu n’as pas vieilli. Juste pris de l’expérience !)
Bolcho s’était éclipsé. Trop tôt. D’autant plus bête qu’ayant du mal à dormir, quel était l’intérêt de rentrer tôt ? Nos Anonymes préférés se sont retirés aussi sur la pointe des pieds. Restaient 11 irréductibles qui profitèrent de la clémence de la température pour se poser en terrasse et prolonger les discussions, continuer à causer sur le dos de ceux qui n’étaient pas venus mais ne perdaient rien pour attendre, du coup (ah qu’il est doux de médire dans la nuit bruxelloise !). Nous causâmes même littérature, parfois, Prix Nobel aussi (devinez sous l’égide de qui !), tentant désespérément de repousser l’échéance. Mais à 1 heure du matin, il fallût se rentre à l’évidence, en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !) et les draps de nos lits se languissaient.
C’était fini. Se saluer, se replier, et puis basta, fini pour 2017. Encore un très bon cru …
Bon n’exagérons pas, nous n’étions que 5 Français. Et la compagnie, c’était 9 Belges (encore qu’il y en a un qui serait plutôt Luxembourgeois mais bon, détail tout cela). La vérité c’était que nous étions 14 frères et sœurs à nous retrouver et que ça reste immanquablement la même magie ! Même pour 3 d’entre nous qui n’étaient même pas des Céliens répertoriés, catégorie purs et durs, je veux parler de Mr Ludmilla et les 2 Anonymes, d’une fidélité remarquable et d’une bienveillance tout aussi remarquable. Je ne sais pas si la musique adoucit les mœurs mais l’amour de la littérature, à coup sûr !
J’ai un peu honte de l’avouer, mon séjour à Bruxelles a commencé le vendredi soir avec du rugby (Galles – Irlande). De petites courses le samedi matin ; pralines, … les indispensables quoi comme aller voir si la Grand Place est bien à sa place, et puis la quête des dernières œuvres de Daniel Charneux profitant de ce que j’étais en Belgique dans des librairies toutes plus dépourvues les unes que les autres. Intermède le midi avec un Moule-Frites, hors de prix et tout à fait quelconque, heureusement en compagnie de Débézed et de Saule (retenir qu’il faut laisser tomber le concept de moules frites et choisir plus belge authentique) qui nous a permis de nous chauffer, faire monter un peu la pression. Puis, nouvel épisode honteux, Italie – France et Irlande – Angleterre. (La honte je vous dis ! Venir à Bruxelles pour regarder les VI Nations !!). Mais honte partagée avec Débézed puisque nous squattions le bar de l’hôtel et avions imposé le spectacle.
Et puis … c’est l’heure. Ca y est. Récupérer son bouquin pour l’échange de tout à l’heure. Faire la connaissance – rapide – de Mr Marvic. Tentative tistouienne (entendre par là légèrement insistante !) de le faire nous accompagner (entre temps nous avions appris l’indisponibilité de Darius plaquée (ah non, le rugby c’était fini) par la maladie) …
Promesse de prendre soin de la dame Marvic sous les encouragements par SMS de Nathafi, elle aussi empêchée (et même que j’espère que l’année prochaine …) ; « occupez vous bien de Marvic, elle va être dans ses petits souliers » (renseignements pris, les souliers en question sont quand même du 39 !), et puis en route vers « Le Cercle des Voyageurs », devenu définitivement le point de ralliement de ce rassemblement annuel. Annuel mais qu’on hésite quand même à trouver du premier coup, Débézed et moi, émus sans doute par l’imminence de l’évènement …
Le voilà « Le Cercle … ». Nous y pénétrons en conquérants. Déjà du beau monde ; Bluewitch, Saule, Minoritaire, Ludmilla and Mr, Bolcho, SJB, Septularisen … Nous ne sommes pas, vue notre relativement faible assistance, dans notre antre habituel, mais dans la salle commune. Peu importe, les retrouvailles sont là et ne laissent pas de place à la nostalgie. Retrouver Bolcho, si peu présent ces derniers temps sauf pour ses relations du « Monde Diplo », relève de la rareté. Bluewitch aussi vous me direz, pas vraiment omniprésente, mais tellement impliquée dans cette organisation annuelle que finalement on a l’impression de ne l’avoir quittée que la veille. Saule est là mais, venant de manger avec lui quelques heures auparavant, la surprise est émoussée. Minoritaire, avec de superbes nouvelles rouflaquettes (pourtant les Irlandais ont perdu la veille ??) et puis un cadeau pour moi, promis de l’année dernière et qu’il m’a apporté ; une œuvre au fusain de sa propre main (il utilise beaucoup ses mains, Minoritaire, et de bien belle manière), un portrait de … Neil Young (il a du goût, l’animal !), un Neil Young d’il y a 15 -20 ans au bas mot, accroché maintenant dans mon bureau. Ludmilla et son moitié (néologisme). Ludmilla vraiment comme chez elle à Bruxelles et son moitié me semble-t-il toujours plus à l’aise dans le monde Célien (Marvic, à faire lire à ton propre moitié !). SJB, rajeuni ( ?, est-ce possible ?), en tout cas dans une forme olympique toujours à dégainer des propos définitifs l’air de ne pas y toucher et un sourire irrésistible aux lèvres. Septularisen qui m’agresse d’entrée avec un livre. Pas le choix – enfin si, j’ai le choix entre 2 livres de Vargas – Llosa. Avec Septularisen, que je le vois en terrain neutre, chez moi ou chez lui, je n’y coupe pas : livre. Il me fait penser à ces premiers explorateurs qui abordèrent le Nouveau Monde avec de la verroterie plein les mains pour amadouer les sauvages. Sa verroterie, ce sont des livres (et moi du coup je suis le sauvage !) !
Et puis arrivent les so-called Anonymes. Poétiquement différenciés en Anonyme 1 et Anonyme 2, l’effort créatif est à souligner ! En pratique, de la famille proche de Saule qui, parait-il, ne jettent qu’un œil distrait sur C.L., alors qu’ils dévorent quantités de lectures. Vous y croyez, vous ? Je me demande s’il ne s’agit pas plutôt de CIA 1 et CIA 2 ou Securitate 1 et Securitate 2 ? Voire KGB 1 et KGB 2 ? Après tout la Belgique est beaucoup plus proche de la Russie que la France. Pensons-y ? D’autant qu’ils sont extrêmement aimables, bienveillants … vous voyez ? le genre à endormir la méfiance pour mieux récolter les stratégiques informations … Bon …
Chacun avait trouvé une place, les boissons se servaient quand, last but not least, en guest star est arrivé Mr Smith (il a grandi ou quoi ?), un peu tendu comme ça d’arriver le dernier mais finalement toujours aussi percutant dans des analyses généralement iconoclastes (parait que je ne ressemble pas à ce que laisse présager mes interventions sur CL et là je n’ai pas bien compris si c’était en mieux ou en pire !! Et pourtant c’est qu’il est très sympa le Mr Smith !).
Repas. Discussions. Brouhaha. Bonheur d’être ensemble. Puis échanges de places, plus ou moins aisés. L’intérêt d’une relative petite assemblée, c’est qu’il est possible d’aller tailler bavette avec chacun. Jusqu’à ce que un énergumène au statut de DJ se mette en tête de générer ce que SJB qualifiât de bruit, réclamant d’ailleurs vigoureusement au sus-nommé DJ de la mettre un peu en sourdine (!!). Il s’avérât que le bruit du DJ était en fait une musique d’ambiance, un peu dansante et surtout fortement rythmée mais qui ne trouvât pas grâce auprès de SJB pour qui non, définitivement, ça n’était pas de la zique. Du coup, additions : menus d’un côté, boissons de l’autre. Et c’est là qu’on pût constater que Bluewitch a pris un coup de vieux : point d’hésitations cocasses, de comptes et recomptes, non, rien de tout cela. Du premier coup les comptes furent réglés et j’avoue qu’on s’en retrouvât bien bêtes. (non Bluewitch, je plaisante, tu n’as pas vieilli. Juste pris de l’expérience !)
Bolcho s’était éclipsé. Trop tôt. D’autant plus bête qu’ayant du mal à dormir, quel était l’intérêt de rentrer tôt ? Nos Anonymes préférés se sont retirés aussi sur la pointe des pieds. Restaient 11 irréductibles qui profitèrent de la clémence de la température pour se poser en terrasse et prolonger les discussions, continuer à causer sur le dos de ceux qui n’étaient pas venus mais ne perdaient rien pour attendre, du coup (ah qu’il est doux de médire dans la nuit bruxelloise !). Nous causâmes même littérature, parfois, Prix Nobel aussi (devinez sous l’égide de qui !), tentant désespérément de repousser l’échéance. Mais à 1 heure du matin, il fallût se rentre à l’évidence, en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !) et les draps de nos lits se languissaient.
C’était fini. Se saluer, se replier, et puis basta, fini pour 2017. Encore un très bon cru …
Promesse de prendre soin de la dame Marvic sous les encouragements par SMS de Nathafi, elle aussi empêchée (et même que j’espère que l’année prochaine …) ; « occupez vous bien de Marvic, elle va être dans ses petits souliers » (renseignements pris, les souliers en question sont quand même du 39 !)
Je me doutais bien que Marvic serait en sécurisante et charmante compagnie, quant aux petits souliers j'ignorais sa pointure, nous ne causons pas chaussures :-))
Vu de loin (pas si loin mais tellement inaccessible pour l'heure !), j'ai apprécié cette pensée et ces échanges par sms, j'ai même suivi une partie de la seconde mi-temps du match Italie-France de rugby, auquel je ne comprends toujours pas grand chose :-) Va falloir que Débézed ou toi me donniez un cours, un jour.
Il est clair que votre bande de joyeux drilles donne envie de la rejoindre, j'ai un an devant moi pour voir ce qu'il sera possible de faire en 2018.
Il est clair que votre bande de joyeux drilles donne envie de la rejoindre, j'ai un an devant moi pour voir ce qu'il sera possible de faire en 2018.
Un an... et donc pas vraiment d'excuse. 0:-) Marvic le confirmera sûrement : une fois qu'on est tombé dans la soupe... :-)
En plus, l'an prochain: pas de rugby. Par contre ça causera peut-être encore résultats des élections ("tu te souviens l'an passé ce qu'on se disait et voilà que...")
Mais à 1 heure du matin, il fallût se rentre à l’évidence, en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !) et les draps de nos lits se languissaient.
C’était fini. Se saluer, se replier, et puis basta, fini pour 2017. Encore un très bon cru …
Si tu veux, je peux organiser un goûter l'an prochain? Tisanes et pâtisseries molles? Il doit bien y avoir un salon de thé où ils ne passent qu'une légère musique classique (pour SJB), où les toilettes sont proches et accessibles (pensons aux vessies fragiles) et où les sièges sont munis de roulettes afin de changer de place sans être coincé sur la banquette et avoir à faire craquer ses articulations??
Merci en tout cas pour la comparaison gallinacée, en tout cas. Je suis prête à parier que Mr. Smith, encore plus perdreau que moi-même, s'en lisse les plumes de contentement. :-)
Vos compte-rendus sont magiques! On s'y croirait...
Oh. Milles excuses Marvic ! Je n'avais pas compris que c'était un secret...
À croire que j'étais d'humeur "racusette" ou "racusepotte" comme on dit chez nous. ;-)
Heureusement que je ne t'ai pas dit que je jouais aussi à la Wii :-))
Septularisen qui m’agresse d’entrée avec un livre.
Pourtant je le jure, j'avais laissé mon sabre laser au vestiaire!...
Pas le choix – enfin si, j’ai le choix entre 2 livres de Vargas – Llosa. Avec Septularisen, que je le vois en terrain neutre, chez moi ou chez lui, je n’y coupe pas : livre. Il me fait penser à ces premiers explorateurs qui abordèrent le Nouveau Monde avec de la verroterie plein les mains pour amadouer les sauvages. Sa verroterie, ce sont des livres (et moi du coup je suis le sauvage !) !
Mais non, mais non!... Ou alors le "bon" sauvage!... :--))))
Prix Nobel aussi (devinez sous l’égide de qui !)
Ah bon? Qui? ;~DDD)))))
Il est clair que votre bande de joyeux drilles donne envie de la rejoindre, j'ai un an devant moi pour voir ce qu'il sera possible de faire en 2018.
Un an... et donc pas vraiment d'excuse. 0:-) Marvic le confirmera sûrement : une fois qu'on est tombé dans la soupe... :-)
Je confirme !!!
"en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !)"
Pour être tout à fait exact, force est de rectifier le fait que si Septularisen n'est plus dans la catégorie "perdreaux de l'année", ces chers gallinacées, il n'est pas non plus de la génération "déambulateur" ! Entre les deux ...
Excuse-moi, Septularisen.
Pour être tout à fait exact, force est de rectifier le fait que si Septularisen n'est plus dans la catégorie "perdreaux de l'année", ces chers gallinacées, il n'est pas non plus de la génération "déambulateur" ! Entre les deux ...
Excuse-moi, Septularisen.
Pour être tout à fait exact, force est de rectifier le fait que si Septularisen n'est plus dans la catégorie "perdreaux de l'année", ces chers gallinacées, il n'est pas non plus de la génération "déambulateur" ! Entre les deux ...
Excuse-moi, Septularisen.
Beh en fait, en plus de mon sabre laser c'est aussi ma canne que j'avais laissé au vestiaire! ;--DDD]]]])))))
"en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !)"
Pour être tout à fait exact, force est de rectifier le fait que si Septularisen n'est plus dans la catégorie "perdreaux de l'année", ces chers gallinacées, il n'est pas non plus de la génération "déambulateur" ! Entre les deux ...
Excuse-moi, Septularisen.
Saule, malgré son vénérable avatar, reste aussi dans la tranche intermédiaire, si je peux me permettre. Il faut tout de même ménager sa sensibilité. :-)
"en dehors des deux perdreaux de l’année que sont Bluewitch et Mr Smith, le restant de l’équipe était proche de l’appareillage au déambulateur ! (enfin j’exagère un peu !)"
Pour être tout à fait exact, force est de rectifier le fait que si Septularisen n'est plus dans la catégorie "perdreaux de l'année", ces chers gallinacées, il n'est pas non plus de la génération "déambulateur" ! Entre les deux ...
Excuse-moi, Septularisen.
Saule, malgré son vénérable avatar, reste aussi dans la tranche intermédiaire, si je peux me permettre. Il faut tout de même ménager sa sensibilité. :-)
Décidément, je suis mauvais. Il va falloir que j'efface tout ce que j'ai dit. Foin de déambulateurs, d'ailleurs. Je n'en ai pas vus (peut-être cachés ?).
Excuse-moi Saule. J'avais dû trop boire. D'eau gazeuse !
Retour au bercail lundi soir vers les 10 h 00 du soir. J'ai profité d'une belle journée pour lire de la poésie en buvant un petit apéritif sur la Grande Place ensoleillée avant de rejoindre la gare du Midi, à pieds, lourdement chargé des livres récupérés à la foire du Livre et lors de l'échange de samedi (toute honte bue, j'avoue que j'avais oublié mon sac de livres sur la terrasse où nous avions bu le dernier verre, je suis retourné le dimanche matin et gentiment une jeune femme m'a rendu le sac qu'un de ses collègues avait prudemment mis à l'abri, inutile de cacher mon étourderie, j'ai croisé Marvic et son mari qui faisaient une dernière visite du centre ville avant de rejoindre la Normandie). Dimanche, j'ai fait un petit tour à la foire avec une amie auteure liégeoise, d'origine verviétoise pour les Belges, ce fut aussi un moment bien agréable ponctué de quelques rencontres.
Ce fut encore un très beau weekend avec une victoire en rugby ce qui est rare depuis un certain temps mais pas très belge. Avec Tistou, j'avais moins honte.
J'ai rencontré avec grand plaisir Marvic que je connais par écrit depuis déjà un petit moment, j'ai eu l'impression de la connaître depuis presque toujours; Les autres sont comme toujours, il ne changent pas, ils sont toujours aussi jeunes, aussi espiègles, aussi bruyants, aussi conviviaux, il y a une vraie camaraderie dans ce groupe et plus il est petit plus l'amitié se concentre. Et l'an prochain nous serons très nombreux et il y aura encore plus d'amitié.et de bonne humeur.
Merci à notre sorcière bleue encore plus rayonnante depuis qu'elle fréquente la Fée verte, celle qui a fait tourner la tête à tant d'artistes.
Ce fut encore un très beau weekend avec une victoire en rugby ce qui est rare depuis un certain temps mais pas très belge. Avec Tistou, j'avais moins honte.
J'ai rencontré avec grand plaisir Marvic que je connais par écrit depuis déjà un petit moment, j'ai eu l'impression de la connaître depuis presque toujours; Les autres sont comme toujours, il ne changent pas, ils sont toujours aussi jeunes, aussi espiègles, aussi bruyants, aussi conviviaux, il y a une vraie camaraderie dans ce groupe et plus il est petit plus l'amitié se concentre. Et l'an prochain nous serons très nombreux et il y aura encore plus d'amitié.et de bonne humeur.
Merci à notre sorcière bleue encore plus rayonnante depuis qu'elle fréquente la Fée verte, celle qui a fait tourner la tête à tant d'artistes.
Merci à notre sorcière bleue encore plus rayonnante depuis qu'elle fréquente la Fée verte, celle qui a fait tourner la tête à tant d'artistes.
Mais kesturakontes DBZ?
Ton imagination aurait-elle les conséquences des nombreuses boissons houblonnées consommées en même temps que les moules et matches de rugby? ;-D
La fée Verte, je la renifle, c'est tout. Et si j'e donne l'impression d'avoir la tête qui tourne, c'est parce que je ne sais où arrêter mon regard dans cette vie où il y a tant à voir! ;-)
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