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Hier matin, 25 janvier 2017, une petite flamme s'est éteinte dans le monde des Lettres Belges. Léo Beeckman nous a quitté subitement à 68 ans à peine. Léo, c'était une silhouette élégante que vous avez tous au moins croisée un jour dans les allées du Salon de Paris ou de la Foire de Bruxelles, mais aussi à Beyrouth, Montréal, Francfort et ailleurs. Il a œuvré durant des années à la Promotion des Lettres Belges, amis de tous, souriant et espiègle, un mot pour chacun et toujours gentil. Il fut également un temps éditeur au début des années 80 ( Editions Du-Ran-Ki) et co-auteur avec son ami et complice Werner Lambersy d'un joli petit ouvrage "Pour apprendre la paix à nos enfants" (Cadex Editions 2001)
Léo, sa fine moustache taillée à la perfection, son catogan, son éternel sourire... Oui, vraiment, une flamme s'est éteinte hier matin.
Léo, sa fine moustache taillée à la perfection, son catogan, son éternel sourire... Oui, vraiment, une flamme s'est éteinte hier matin.
Merci Patman. Je ne le connaissais pas mais c'est assurément une perte.
Emouvant ton message. Merci de me faire connaître cet auteur.
J'ai croisé sa silhouette haute quelques fois, sans vraiment le connaître, dans les détours des lectures poétiques.
Belle route à lui dans le Cosmos et sa poésie infinie.
Belle route à lui dans le Cosmos et sa poésie infinie.
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