Bien sûr il y aura toujours une manière de voir l'économie à gauche ou à droite. Les économistes ne seront jamais d'accord : certains préconisent l'austérité en disant qu'il n'est pas juste que notre endettement soit payé par les générations futures.
...il y aura des exploiteurs et des exploités,
Et d'autres nous disent que l'austérité empêche la relance économique et les affaires de prospérer.
Mais les expressions comme « exploiteurs et exploités » se rapportent à la lutte des classes et sont complètement dépassées, du moins chez nous. Elles n'ont plus cours que dans les cercles syndicaux qui n'ont pas compris que le monde a changé : ils en sont toujours à dire « l'ennemi c'est le patron ».
Alors qu'en réalité, nous sommes tous dans le même bateau : l'ennemi c'est le concurrent chinois qui copie nos modèles et fait travailler des esclaves sans aucune protection sociale.
Ce qui s'appelle la droite , mais qui est en fait une crypto-gauche, s'est soumise aux idéologies de la gauche.
C'est rigolo, ça. Moi je dirais plutôt : "ce qui s'appelle la gauche, mais qui est en fait une crypto-droite, s'est soumise aux idéologies de la droite."
Lol, c'est vrai qu'avec le mariage homosexuel, la justice de Taubira et l'arrivée massive de ' Migrants" la gauche est une crypto-droite.
Attention, pour moi les LR et consorts ce n'est pas la droite.
Le Fn, les royalistes eux le sont de droite.
Comme quoi tout est une question de point de vue. Pour moi, le PS, c'est déjà la droite.
Ce qui s'appelle la droite , mais qui est en fait une crypto-gauche, s'est soumise aux idéologies de la gauche.
C'est rigolo, ça. Moi je dirais plutôt : "ce qui s'appelle la gauche, mais qui est en fait une crypto-droite, s'est soumise aux idéologies de la droite."
Lol, c'est vrai qu'avec le mariage homosexuel, la justice de Taubira et l'arrivée massive de ' Migrants" la gauche est une crypto-droite.
Attention, pour moi les LR et consorts ce n'est pas la droite.
Le Fn, les royalistes eux le sont de droite.
Ce qui s'appelle la droite , mais qui est en fait une crypto-gauche, s'est soumise aux idéologies de la gauche.
C'est rigolo, ça. Moi je dirais plutôt : "ce qui s'appelle la gauche, mais qui est en fait une crypto-droite, s'est soumise aux idéologies de la droite."
Lol, c'est vrai qu'avec le mariage homosexuel, la justice de Taubira et l'arrivée massive de ' Migrants" la gauche est une crypto-droite.
Attention, pour moi les LR et consorts ce n'est pas la droite.
Le Fn, les royalistes eux le sont de droite.
Comme quoi tout est une question de point de vue. Pour moi, le PS, c'est déjà la droite.
La vache ! pour moi les LR c'est la gauche ! Comme quoi !
...il y aura des exploiteurs et des exploités,
Bien sûr il y aura toujours une manière de voir l'économie à gauche ou à droite. Les économistes ne seront jamais d'accord : certains préconisent l'austérité en disant qu'il n'est pas juste que notre endettement soit payé par les générations futures.
Et d'autres nous disent que l'austérité empêche la relance économique et les affaires de prospérer.
Mais les expressions comme « exploiteurs et exploités » se rapportent à la lutte des classes et sont complètement dépassées, du moins chez nous. Elles n'ont plus cours que dans les cercles syndicaux qui n'ont pas compris que le monde a changé : ils en sont toujours à dire « l'ennemi c'est le patron ».
Alors qu'en réalité, nous sommes tous dans le même bateau : l'ennemi c'est le concurrent chinois qui copie nos modèles et fait travailler des esclaves sans aucune protection sociale.
C'est difficile de s'y retrouver. Est-ce que le mariage pour tous, la politique d'immigration,... et toutes ces questions ont quelque chose à voire avec le clivage gauche-droite ? On ne peut pas dire que ce sont des valeurs de gauche ou de droite, si ? Chaque parti part à la pêche aux votes, le plus bizarre c'est Trump qui veut interdire l'avortement pour ramasser des voix par exemple.
En matière économique, la gauche radicale ne prone pas vraiment une politique différente que l'extreme droite ni que de tout ceux entre eux j'ai l'impression. Il y a beaucoup de réthorique et d'effet d'annonces mais on a bien vu avec Syryza que un pays isolé ne peut pas mener une politique économique qui n'est pas dictée par l'Europe (l'Allemagne).
Du coup, les perdants de la nouvelle économie (globalilisation, désindustrialisation, financialisation (?),..) se reportent sur les extrêmes et sur les populistes, faute d'être entendu par les partis traditionnels (qui ne peuvent rien pour eux de toute façon).
Ceci dit mon discours est réducteur et simpliste, il y a encore des gens qui croient aux vertus du marché et au libéralisme économique (la bonne vieille droite), je les respecte mais personellement je suis plus attiré par le collectivisme ou alors par un écologisme extrême, avec diminution de la production et changement de nos modes de vie.
La dépénalisation de l'avortement à été voté sous la droite, le mariage pour tous, sous la gauche. On l'a bien vu, ce sont ces grands sujets qui divisent et qui, à mon avis, n'ont pas grand chose à voir avec des doctrines de droite ou de gauche.
Les grandes questions qui divisent sont encore les migrants et l'écologie ; on le voit bien en Hollande, en Autriche, en Hongrie, en Pologne...
Mais à mon avis, ces questions n'ont pas grand chose à voir avec la droite ou la gauche – à moins qu'on ne ressorte le malheureux cliché de Mitterrand : à gauche on est généreux, à droite on est égoïste.
Ou l’adhésion à l'Europe parce que, quand quelque chose ne va pas, on dit : c'est la faute à l'Europe. Mais on dit ça aussi bien à droite qu'à gauche.
Madame Taubira a souvent affiché son mépris pour la France mais, il n'y a pas une justice de gauche et une justice de droite : il y a une justice trop laxiste et une justice plus sévère.
L'enseignement, autrefois, était réformateur pour la gauche et conservateur pour la droite. Aujourd'hui, en tous cas en Belgique, c'est la droite qui se lance dans les pires insanités réformatrices, suivant le principe : c'est nouveau donc c'est mieux !
Finalement, qu'est-ce que ça veut encore dire : être de droite ou être de gauche ?
D'Ormesson disait : moi je n'ai jamais changé ; autrefois mes amis me disaient : tu es un affreux gauchiste et maintenant, ces même amis, me disent : attention, tu vires un peu trop à droite...
Les grandes questions qui divisent sont encore les migrants et l'écologie ; on le voit bien en Hollande, en Autriche, en Hongrie, en Pologne...
Mais à mon avis, ces questions n'ont pas grand chose à voir avec la droite ou la gauche – à moins qu'on ne ressorte le malheureux cliché de Mitterrand : à gauche on est généreux, à droite on est égoïste.
Ou l’adhésion à l'Europe parce que, quand quelque chose ne va pas, on dit : c'est la faute à l'Europe. Mais on dit ça aussi bien à droite qu'à gauche.
Madame Taubira a souvent affiché son mépris pour la France mais, il n'y a pas une justice de gauche et une justice de droite : il y a une justice trop laxiste et une justice plus sévère.
L'enseignement, autrefois, était réformateur pour la gauche et conservateur pour la droite. Aujourd'hui, en tous cas en Belgique, c'est la droite qui se lance dans les pires insanités réformatrices, suivant le principe : c'est nouveau donc c'est mieux !
Finalement, qu'est-ce que ça veut encore dire : être de droite ou être de gauche ?
D'Ormesson disait : moi je n'ai jamais changé ; autrefois mes amis me disaient : tu es un affreux gauchiste et maintenant, ces même amis, me disent : attention, tu vires un peu trop à droite...
J'avais repris un peu confiance dans le peuple américain après l'élection d'un président noir...
j'ai repris confiance « parce qu'il était noir » ! Tu vois, il est là le racisme.
... voir du racisme là où il n'y a que du respect
@ Pieronnelle
C'était de l'ironie à bon marché, d'accord. Mais pour toutes les fois où tu as insinué que j'étais raciste, je te rend la monnaie de ta pièce.
J'ai voulu te montrer que dès qu'on parle de Noir ou de Blanc (ou d'Arabes) il y a toujours moyen de tout tourner en propos racistes.
Tiens j'avais oublié de répondre !
D'abord je n'ai jamais dit que tu étais raciste, mais que tu avais parfois des propos racistes et xénophobes...
Et puis tu ne me rends pas la monnaie de ma pièce parce que dans les propos que tu as pu tenir je n'y ai vraiment jamais vu de respect envers principalement les immigrés ou les gens de banlieues...
Donc la grande différence avec moi c'est que en ce qui te concerne l'accusation est...justifiée (ironie également à bon marché et complètement cour d'école :-))
Ah bon, maintenant ! ...Je ne suis pas raciste mais je manque de respect !
... dans les propos que tu as pu tenir je n'y ai vraiment jamais vu de respect envers principalement les immigrés ou les gens de banlieues...
Il y a progrès...;-))
Mais non, je ne manque pas de respect vis-à-vis des réfugiés et des gens de banlieues, pas plus que je ne manque de respect envers les Bretons, les Alsaciens ou les Auvergnats...
J'ai même une compassion infinie pour les réfugiés – même s'il m'arrive de m'étonner qu'ils aient laissé femme et enfants derrière eux ; je m'en étonne mais je ne juge pas ; je connais mal les circonstances, je me dis que c'est peut-être conforme à leur culture, et je ne sais pas ce que moi-même j'aurais fait à leur place.
Mais, comme tous ceux qui osent dire que les migrants et les banlieues posent un problème, qui se développe de jour en jour, et qu'il est temps de prendre en main, je subis l'opprobre des braves gens, qui vivent dans leur petit coin tranquille, et qui demandent qu'on leur répète sans cesse : 'y pas de problème ! tout va très bien Madame la Marquise !
... dans les propos que tu as pu tenir je n'y ai vraiment jamais vu de respect envers principalement les immigrés ou les gens de banlieues...
Ah bon, maintenant ! ...Je ne suis pas raciste mais je manque de respect !
Il y a progrès...;-))
Mais non, je ne manque pas de respect vis-à-vis des réfugiés et des gens de banlieues, pas plus que je ne manque de respect envers les Bretons, les Alsaciens ou les Auvergnats...
J'ai même une compassion infinie pour les réfugiés – même s'il m'arrive de m'étonner qu'ils aient laissé femme et enfants derrière eux ; je m'en étonne mais je ne juge pas ; je connais mal les circonstances, je me dis que c'est peut-être conforme à leur culture, et je ne sais pas ce que moi-même j'aurais fait à leur place.
Mais, comme tous ceux qui osent dire que les migrants et les banlieues posent un problème, qui se développe de jour en jour, et qu'il est temps de prendre en main, je subis l'opprobre des braves gens, qui vivent dans leur petit coin tranquille, et qui demandent qu'on leur répète sans cesse : 'y pas de problème ! tout va très bien Madame la Marquise !
En ce qui concerne le respect SJB je l'ai évoqué uniquement parce que tu faisais une comparaison avec moi sur le racisme et que j'avais dit que j'avais du respect pour des gens qui pouvais aller au-delà de leur préjugé raciste en votant pour un président noir...
Celà dit il n'y a aucune illusion à se faire, ceux-là même qui ont voté Obama ont retrouvé leurs vieux démons en votant pour Trump...
Tu vois, SJB je respecte toutes les idées même si elles ne sont pas en accord avec les miennes et je ne vois pas au nom de quoi je ne le ferais pas, sauf...tout ce qui a un caractère raciste, xénophobe et stigmatisant ce qui est pour moi les vraies plaies de l'humanité...
La dépénalisation de l'avortement à été voté sous la droite, le mariage pour tous, sous la gauche. On l'a bien vu, ce sont ces grands sujets qui divisent et qui, à mon avis, n'ont pas grand chose à voir avec des doctrines de droite ou de gauche.
Les grandes questions qui divisent sont encore les migrants et l'écologie ; on le voit bien en Hollande, en Autriche, en Hongrie, en Pologne...
Mais à mon avis, ces questions n'ont pas grand chose à voir avec la droite ou la gauche – à moins qu'on ne ressorte le malheureux cliché de Mitterrand : à gauche on est généreux, à droite on est égoïste.
Ou l’adhésion à l'Europe parce que, quand quelque chose ne va pas, on dit : c'est la faute à l'Europe. Mais on dit ça aussi bien à droite qu'à gauche.
Madame Taubira a souvent affiché son mépris pour la France mais, il n'y a pas une justice de gauche et une justice de droite : il y a une justice trop laxiste et une justice plus sévère.
L'enseignement, autrefois, était réformateur pour la gauche et conservateur pour la droite. Aujourd'hui, en tous cas en Belgique, c'est la droite qui se lance dans les pires insanités réformatrices, suivant le principe : c'est nouveau donc c'est mieux !
Finalement, qu'est-ce que ça veut encore dire : être de droite ou être de gauche ?
D'Ormesson disait : moi je n'ai jamais changé ; autrefois mes amis me disaient : tu es un affreux gauchiste et maintenant, ces même amis, me disent : attention, tu vires un peu trop à droite...
C'est une question intéressante qui je crois a trouvé une réponse depuis des années avec les apports de Michéa par exemple. La gauche de gouvernement a depuis 30-40 ans abandonné son électorat traditionnel (ouvriers et employés) afin de se concentrer sur une nouvelle population plus "digne" de son combat: l'immigré qui dans le mythe des "forces de progrès" est le nouvel opprimé. C'est la doctrine de Terra Nova, c'est la doctrine quasi-officielle du PS en France.
Donc s'il existe encore un clivage droite-gauche, il se fait sur les questions sociétales (avortement, mariage gay etc..) et non plus sur les questions sociales. Dans ce domaine, on le voit la gauche de gouvernement propose peu ou prou les mêmes recettes libérales que la droite (avec Fillon président, le populi va sentir sa douleur...)
... dans les propos que tu as pu tenir je n'y ai vraiment jamais vu de respect envers principalement les immigrés ou les gens de banlieues...
Ah bon, maintenant ! ...Je ne suis pas raciste mais je manque de respect !
Il y a progrès...;-))
Mais non, je ne manque pas de respect vis-à-vis des réfugiés et des gens de banlieues, pas plus que je ne manque de respect envers les Bretons, les Alsaciens ou les Auvergnats...
J'ai même une compassion infinie pour les réfugiés – même s'il m'arrive de m'étonner qu'ils aient laissé femme et enfants derrière eux ; je m'en étonne mais je ne juge pas ; je connais mal les circonstances, je me dis que c'est peut-être conforme à leur culture, et je ne sais pas ce que moi-même j'aurais fait à leur place.
Mais, comme tous ceux qui osent dire que les migrants et les banlieues posent un problème, qui se développe de jour en jour, et qu'il est temps de prendre en main, je subis l'opprobre des braves gens, qui vivent dans leur petit coin tranquille, et qui demandent qu'on leur répète sans cesse : 'y pas de problème ! tout va très bien Madame la Marquise !
En ce qui concerne le respect SJB je l'ai évoqué uniquement parce que tu faisais une comparaison avec moi sur le racisme et que j'avais dit que j'avais du respect pour des gens qui pouvais aller au-delà de leur préjugé raciste en votant pour un président noir...
Celà dit il n'y a aucune illusion à se faire, ceux-là même qui ont voté Obama ont retrouvé leurs vieux démons en votant pour Trump...
Tu vois, SJB je respecte toutes les idées même si elles ne sont pas en accord avec les miennes et je ne vois pas au nom de quoi je ne le ferais pas, sauf...tout ce qui a un caractère raciste, xénophobe et stigmatisant ce qui est pour moi les vraies plaies de l'humanité...
Désolée pour mes affreuses fautes d'orthographe je me suis relue trop tard...
Et bien me voilà d'accord avec Vince :-)
Tu vois tout sous l'angle du racisme : ceux qui voté Obama – qui est noir, « ont été au delà de leur préjugé raciste ».
...des gens qui pouvais aller au-delà de leur préjugé raciste en votant pour un président noir...
... ceux-là même qui ont voté Obama ont retrouvé leurs vieux démons en votant pour Trump...
Maintenant qu'ils ont voté Trump – qui est blanc, « ils ont retrouvé leurs vieux démons racistes ».
Finalement, à force de vouloir lutter contre le racisme, comme c'est la mode aujourd'hui, on voit du racisme partout et c'est ça qui est insupportable.
C'est bien vrai et pourtant, il n'y a pas une étique – ou une morale – de droite et une étique ou morale de gauche, me semble-t-il.
Donc s'il existe encore un clivage droite-gauche, il se fait sur les questions sociétales (avortement, mariage gay etc..) et non plus sur les questions sociales.
Je crois plutôt que la "gauche de gouvernement" (comme dit Vince) s'appuie plutôt sur un électorat de classe moyenne. Je ne vois pas sur quoi elle s'appuie sur les immigrés, même si ces derniers sont en effet en première ligne des exploités, des humiliés et des offensés... Au rang desquels je range aussi les handicapés de toute sorte : quand je pense que certains trouvent que les allocations handicap ou le RSA et même le minimum vieillesse sont trop élevés ! Je voudrais bien les voir vivre avec...
Le libéralisme n'a plus aucun contrepoids, depuis la fin de l'URSS. C'est comme ça, il faut faire avec. On n'en mourra pas, du moins pas tous, mais certains plus que d'autres.
Et arrêtons de nous plaindre : à Alep, c'est tout de même pire !!!
Le libéralisme n'a plus aucun contrepoids, depuis la fin de l'URSS. C'est comme ça, il faut faire avec. On n'en mourra pas, du moins pas tous, mais certains plus que d'autres.
Et arrêtons de nous plaindre : à Alep, c'est tout de même pire !!!
Ce qui s'appelle la droite , mais qui est en fait une crypto-gauche, s'est soumise aux idéologies de la gauche.
C'est rigolo, ça. Moi je dirais plutôt : "ce qui s'appelle la gauche, mais qui est en fait une crypto-droite, s'est soumise aux idéologies de la droite."
Lol, c'est vrai qu'avec le mariage homosexuel, la justice de Taubira et l'arrivée massive de ' Migrants" la gauche est une crypto-droite.
Attention, pour moi les LR et consorts ce n'est pas la droite.
Le Fn, les royalistes eux le sont de droite.
Comme quoi tout est une question de point de vue. Pour moi, le PS, c'est déjà la droite.
Comme disait un pote hélas disparu depuis longtemps déjà : "Moi, je suis à la gauche de l'extrême gauche !", on n'a pas toujours bien compris où il se situait précisément.
En lisant vos postes, je me demande de plus en plus ce que vous définissez comme la gauche ou la droite; J'ai l'impression qu'on a changé de monde et que tout les commentateurs s'accrochent encore à la vieille dialectique soixantehuitarde alors que les électeursi renvoient tous les élus, politologues, journalistes, sondeurs, .... à des études qu'ils n'auraient pas dû abandonner si vite.
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