Outre les témoignages sur des blogs, quelques femmes (je n'ai en tête que des exemples d'officiers) ont écrit un livre sur leur carrière et évoqué les difficultés qu'elles ont rencontrées. Pour la marine, l'un des plus connus (du moins dans les armées, mais j'avoue que je ne l'ai pas lu) est celui de Chantal Desbordes, qui a écrit "une femme amiral" (elle fut la 1ère femme promue amirale mais à son époque l'appellation du grade n'était pas féminisée). Il y a aussi le livre de Jean-Claude Merchet sur Caroline Aigle (que j'ai lu, ayant croisé Caroline Aigle lors de mes études) ; après Polytechnique, elle avait choisi d'entrer dans l'armée de l'air pour devenir pilote de chasse et astronaute (elle est effectivement devenue pilote de chasse mais elle est décédée d'un cancer alors qu'elle préparait les sélections de l'agence spatiale européenne).
Merci des infos. :)
Mon message était bourré de fautes, mais pour
je voulais dire "je crois que l'armée n'est pas que ça" tuer.
mais je ne crois pas que l'armée n'est pas que ça
je voulais dire "je crois que l'armée n'est pas que ça" tuer.
Des fois je devrais me relire avant de poster, j'espère que Provis ne passe pas par ici (mais il doit être habitué)...
j'ai l'impression que certains a la nostalgie des femmes au foyer
Femme au foyer n'est pas un terme péjoratif.
Certes non, mais personne n'a à décider ce que les femmes peuvent faire et ne pas faire, sinon elles.
Femme au foyer n'est pas un terme péjoratif.
Femme au foyer n'a rien de péjoratif mais femme à la guerre non plus.
Dans tous les patelins de Belgique et de France il y a le monument des héros morts à la guerre pour la défense de nos valeurs, de la liberté, de la Patrie. Pourquoi le nom d'une femme ne pourrait-il pas être inscrit parmi ces héros ?
Eh bien nous sommes d'accord, tu as reformulé ce que j'ai dit plus haut.
Femme au foyer n'est pas un terme péjoratif.
Pour moi non plus, si c'est un choix personnel. Ma meilleure amie est femme au foyer avec 4 enfants, son mari fait suffisamment d'argent et elle ne pense pas retravailler avant que ses petits vont tous à la petite école. Mais ça arrive quelque fois qu'elle se sente dépendante et des fois il lui fait sentir que quand il rente à la maison il est fatigué car "il travail". Ça reste un type bien et comme tout couple, il y a des prétextes à se chicaner sur tout et sur rien.
Cependant, et je pense que je rejoins Radetsky sur ce coup, il est naïf de penser qu'on choisit son métier. On est conditionné par son milieu, par son sexe, à faire ou ne pas faire des études et à s'orienter dans telle ou telle spécialité. Et même si on a eu la chance d'avoir un diplôme, on doit ensuite se mettre à genoux devant des recruteurs à la con pour espérer décrocher un job (le plus souvent merdique et précaire).
Je suis pas sur de voir où est le choix là-dedans.
Je suis pas sur de voir où est le choix là-dedans.
Cependant, et je pense que je rejoins Radetsky sur ce coup, il est naïf de penser qu'on choisit son métier. On est conditionné par son milieu, par son sexe, à faire ou ne pas faire des études et à s'orienter dans telle ou telle spécialité. Et même si on a eu la chance d'avoir un diplôme, on doit ensuite se mettre à genoux devant des recruteurs à la con pour espérer décrocher un job (le plus souvent merdique et précaire).Je crois que tu as bien cerné le sens du mot "choix", d'autant qu'il est la conséquence d'une fiction juridique bien commode entretenue afin de faire croire aux gens qu'ils sont "libres", alors que la liberté est une conquête de chaque jour.
Je suis pas sur de voir où est le choix là-dedans.
> ceci est un autre débat>
Les hommes naissent libres et égaux en droits, proclame la DUDH, fort hypocritement, alors que le seul fait de naitre est en soi un acte arbitrairement décidé et provoqué par d'autres que nous-mêmes... et tout le reste s'ensuit.
Pour revenir à nos moutons et au nom de l'égalité, dont on a entrevu ce qu'elle valait, ces dames accepteront donc de facto qu'aucune marque extérieure ni consistance ne soit jamais plus donnée à l'égard d'une femme en tant que telle, en fait de courtoisie, attention, sauvegarde - on a renvoyé les femmes même enceintes au travail de nuit qui avait été aboli pour elles - ou toute autre signe "archaïque" d'un début de moeurs policés.
Le mâle pourra désormais grimper le premier dans un canot de sauvetage, s'asseoir dans le métro aux places réservées jadis aux femmes enceintes (ainsi qu'aux mutilés de guerre dont on se fout comme d'une guigne > ceci est un autre débat> il n'y a qu'à voir l'accueil - scandaleusement inexistant - fait à nos soldats qui rentrent d'Afghanistan ou d'ailleurs - et je ne suis pas militariste), leur claquer la porte au nez, faire acte de férocité en toute occasion, etc. etc.
Tous pareils, tous chair à canon ou chair à profit. Vous ne voyez donc pas (non, c'est évident, vous ne voulez pas voir) que toutes ces choses ressortissent d'une volonté sans cesse accrue de tout niveler afin de mieux dominer et exploiter ?
Je retourne à ma tanière.
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