J'oubliais le lien :
https://youtu.be/rcpS26fnfms
https://youtu.be/rcpS26fnfms
Que sera votre vie, de Rodolphe Burger (Kat Onoma)
dans "Kat Onoma" et "Valley session"
Que sera votre vie quand
La vue changera chaque fois
Que vous clignez des yeux
Que sera votre vie quand
Une heure durera de 7 à 8 minutes
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie quand
L'air sera liquide l'eau solide
Et la terre feu
Que sera votre vie quand
La gauche essaiera de temps en temps
La droite
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie quand
L'air sera liquide l'eau solide
Et la terre feu
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie
https://youtu.be/D9hyhQk0slk
Rodolphe Burger. Avec ou sans Kat Onoma, reste un artiste exigeant et à part.
dans "Kat Onoma" et "Valley session"
Que sera votre vie quand
La vue changera chaque fois
Que vous clignez des yeux
Que sera votre vie quand
Une heure durera de 7 à 8 minutes
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie quand
L'air sera liquide l'eau solide
Et la terre feu
Que sera votre vie quand
La gauche essaiera de temps en temps
La droite
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie quand
L'air sera liquide l'eau solide
Et la terre feu
Que sera votre vie quand
La terre tournera sans vous prendre
Sur son dos
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie
Que sera votre vie
https://youtu.be/D9hyhQk0slk
Rodolphe Burger. Avec ou sans Kat Onoma, reste un artiste exigeant et à part.
Voici Goodbye Love, de Liane Foly :
https://www.youtube.com/watch?v=2NbhbjZA3WY
https://www.youtube.com/watch?v=2NbhbjZA3WY
Animal on est mal, de Gérard Manset
dans "Gérard Manset"
Animal, on est mal
On a le dos couvert d'écailles
On sent la paille
Dans la faille
Et quand on ouvre la porte
Une armée de cloportes
Vous repousse en criant
"Ici, pas de serpent!"
Animal, on est mal.
Animal, on est mal.
Animal, on est mal.
On a deux cornes placées
Sur le devant du nez.
On s'abaisse.
On s'affaisse.
On a la queue qui frise.
On a la peau épaisse.
On a la peau grise
Et quand on veut sortir
Avec une demoiselle,
On l'invite à dîner.
Quand elle vous voit,
Que dit-elle ?
"Il ne vous manque qu'une bosse.
Vade retro, rhinocéros!"
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Animal, on est mal
On assiste à l'opération de la girafe.
La voilà qui se retrouve le cou plein d'agrafes.
Elle appelle au secours
On veut lui mettre un pantalon
Mais il est trop court
Animal, on est mal
On pond ses œufs dans le sable
Et quand on passe à table
Les chevaux-vapeurs
On pris peur
De se retrouver loin de leur étable.
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Et si on ne se conduit pas bien
On revivra peut-être dans la peau d'un humain
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Et Dieu reconnaîtra les siens
https://youtu.be/WQOW9qbLaaY
Du Manset première époque, réinterprété avec l'aide des Belges de dEUS.
dans "Gérard Manset"
Animal, on est mal
On a le dos couvert d'écailles
On sent la paille
Dans la faille
Et quand on ouvre la porte
Une armée de cloportes
Vous repousse en criant
"Ici, pas de serpent!"
Animal, on est mal.
Animal, on est mal.
Animal, on est mal.
On a deux cornes placées
Sur le devant du nez.
On s'abaisse.
On s'affaisse.
On a la queue qui frise.
On a la peau épaisse.
On a la peau grise
Et quand on veut sortir
Avec une demoiselle,
On l'invite à dîner.
Quand elle vous voit,
Que dit-elle ?
"Il ne vous manque qu'une bosse.
Vade retro, rhinocéros!"
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Animal, on est mal
On assiste à l'opération de la girafe.
La voilà qui se retrouve le cou plein d'agrafes.
Elle appelle au secours
On veut lui mettre un pantalon
Mais il est trop court
Animal, on est mal
On pond ses œufs dans le sable
Et quand on passe à table
Les chevaux-vapeurs
On pris peur
De se retrouver loin de leur étable.
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Et si on ne se conduit pas bien
On revivra peut-être dans la peau d'un humain
Animal, on est mal
Animal, on est mal
Et Dieu reconnaîtra les siens
https://youtu.be/WQOW9qbLaaY
Du Manset première époque, réinterprété avec l'aide des Belges de dEUS.
Voici Goodbye Love, de Liane Foly :
https://www.youtube.com/watch?v=2NbhbjZA3WY
... Lover.
Voici Un soir de pluie, de Blues trottoir :
https://www.youtube.com/watch?v=v7h_y_GHvw4
https://www.youtube.com/watch?v=v7h_y_GHvw4
L'au-delà, de Jean-Louis Murat
dans "Le moujik et sa femme"
J'avais fait le job
Je rentrais chez moi
Le plexus tout chose
Comme à chaque fois
J'allais prendre à droite
Direction Vendeix
Quand la petite chose
M'a murmuré
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
La vie en plein air
Il n'y a que ça
J'allais au Servière
Me rafraîchir le moi
Ma première framboise
J'allais savourer
Quand les libellules
En choeur m'ont chanté
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
J'ai dit nom de dieu
On n'est plus chez soi
Ohé libellules qui vous a dit ça
Moi je prépare le tour
Oh vous m'ennuyez
Mais sur le bitume
J'ai chantonné
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
J'ai pas vu le poison
M'arriver au coeur
Temps des fenaisons
Temps du taon vengeur
Toujours une fiole
Le cul au frais
Mais même sous alcool
J'ai chantonné
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Que gronde l'orage
Entre les rochers
Mourir en montagne
Mourir foudroyé
Mon âme cette chienne
Cette enragée
C'te pie musicienne
Va pas la fermer
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
https://youtu.be/TZGKeGgnr3g
Un Murat déjà de 2002 !! 17 ans, diantre !
dans "Le moujik et sa femme"
J'avais fait le job
Je rentrais chez moi
Le plexus tout chose
Comme à chaque fois
J'allais prendre à droite
Direction Vendeix
Quand la petite chose
M'a murmuré
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
La vie en plein air
Il n'y a que ça
J'allais au Servière
Me rafraîchir le moi
Ma première framboise
J'allais savourer
Quand les libellules
En choeur m'ont chanté
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
J'ai dit nom de dieu
On n'est plus chez soi
Ohé libellules qui vous a dit ça
Moi je prépare le tour
Oh vous m'ennuyez
Mais sur le bitume
J'ai chantonné
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
J'ai pas vu le poison
M'arriver au coeur
Temps des fenaisons
Temps du taon vengeur
Toujours une fiole
Le cul au frais
Mais même sous alcool
J'ai chantonné
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Que gronde l'orage
Entre les rochers
Mourir en montagne
Mourir foudroyé
Mon âme cette chienne
Cette enragée
C'te pie musicienne
Va pas la fermer
Mon amour est-il dans son quartier de lune
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
Mon amour a-t-il mis ses habits de fête
Mon amour veut-il faire un tour dans l'au-delà
https://youtu.be/TZGKeGgnr3g
Un Murat déjà de 2002 !! 17 ans, diantre !
Voici Femme libérée, de Cooky Dingler :
https://www.youtube.com/watch?v=EpWhcnLZooM
https://www.youtube.com/watch?v=EpWhcnLZooM
Voici Je n'aime encore que toi, de Sylvie Vartan :
https://www.youtube.com/watch?v=Kt3UdfNz2LI
https://www.youtube.com/watch?v=Kt3UdfNz2LI
Good, de Rodolphe Burger
dans "Good"
Good
I'm alone
In the present
As where I'm still
This is winter
(This is winter
Without journey
Good
I'm alone)
Time passes
(Time passes)
Make sense
Who may
I
Switch above
Good
(Good
I am alone)
I'm alone
(In the present
As where I am still
This is winter)
This is winter
(Without journey)
(Time passes)
Time passes
(Who may)
Who may
I
(Switch above)
Switch above
Good
Who may
(Who may
Good)
Who may
Who may
Time passes
(Time passes)
Who may
Good
Who may
(Who may)
Good
https://youtu.be/SWgE_z6bS4s
Je vous garantis que lorsque Rodolphe Burger attaque son concert, dans l'obscurité, seul, assis sur son tabouret, avec "Good" vous avez vite compris à qui vous avez affaire. Rodolphe Burger, un grand !
dans "Good"
Good
I'm alone
In the present
As where I'm still
This is winter
(This is winter
Without journey
Good
I'm alone)
Time passes
(Time passes)
Make sense
Who may
I
Switch above
Good
(Good
I am alone)
I'm alone
(In the present
As where I am still
This is winter)
This is winter
(Without journey)
(Time passes)
Time passes
(Who may)
Who may
I
(Switch above)
Switch above
Good
Who may
(Who may
Good)
Who may
Who may
Time passes
(Time passes)
Who may
Good
Who may
(Who may)
Good
https://youtu.be/SWgE_z6bS4s
Je vous garantis que lorsque Rodolphe Burger attaque son concert, dans l'obscurité, seul, assis sur son tabouret, avec "Good" vous avez vite compris à qui vous avez affaire. Rodolphe Burger, un grand !
J'veux être un héros, de Luke
dans "Pornographie"
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je rêve d'être un humain en toc
Avoir le nez dans la coke
Et sur des plages de plastiques
Avoir une peau fantastique
Mais je n'ai plus rien pour me fringuer
Le même t-shirt, le jeans troué
Et je les vois montrer leur cul
Sur les grands panneaux d'acier
Moi ma vie tout le monde s'en branle
Si tu veux on échange, évangéliste
Croix du pétrole, roi du dollar super idole
Je veux être un héros, je veux être un héros
Sous Héroïne, je veux être un héros
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je rêve d'être un conquistador des Amériques conquistadors
Sauver le monde d'une météore dans un corps à corps indolore
Je rêve de paradis érotiques
Dans des enfers politiques
Etre un citoyen VIP, business classe super-profit
Je veux croiser des gens comme moi
Et leur parler comme à des chiens
Car ceux qui ont tout
Nous font comprendre que l'on n'a rien.
Je veux briller comme une étoile
Dans la nuit de mon époque
Je veux boire des cocktails sous les soleils des Daft Punk
Je veux être un héros,
Je veux être un héros
Sous héroïne,
Je veux être un héros,
Dans tes magazines
Sous héroïne
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je veux croiser des gens comme moi
Et leur parler comme à des chiens
Être en toc,
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je veux être un héros
Je veux être un héros
Sous héroïne
Je veux être un héros
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je rêve d'être un humain en toc
Avoir le nez dans la coke
Et sur des plages de plastique
Avoir une peau fantastique
Je veux être un héros
Sous héroïne
C'est notre époque ...
dans "Pornographie"
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je rêve d'être un humain en toc
Avoir le nez dans la coke
Et sur des plages de plastiques
Avoir une peau fantastique
Mais je n'ai plus rien pour me fringuer
Le même t-shirt, le jeans troué
Et je les vois montrer leur cul
Sur les grands panneaux d'acier
Moi ma vie tout le monde s'en branle
Si tu veux on échange, évangéliste
Croix du pétrole, roi du dollar super idole
Je veux être un héros, je veux être un héros
Sous Héroïne, je veux être un héros
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je rêve d'être un conquistador des Amériques conquistadors
Sauver le monde d'une météore dans un corps à corps indolore
Je rêve de paradis érotiques
Dans des enfers politiques
Etre un citoyen VIP, business classe super-profit
Je veux croiser des gens comme moi
Et leur parler comme à des chiens
Car ceux qui ont tout
Nous font comprendre que l'on n'a rien.
Je veux briller comme une étoile
Dans la nuit de mon époque
Je veux boire des cocktails sous les soleils des Daft Punk
Je veux être un héros,
Je veux être un héros
Sous héroïne,
Je veux être un héros,
Dans tes magazines
Sous héroïne
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je veux croiser des gens comme moi
Et leur parler comme à des chiens
Être en toc,
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je veux être un héros
Je veux être un héros
Sous héroïne
Je veux être un héros
Je veux être un héros
Dans tes magazines
Je rêve d'être une bombe atomique
Gagner la guerre économique
Derrière les vitres d'une limousine
Ordonner que l'on assassine
Je rêve d'être un humain en toc
Avoir le nez dans la coke
Et sur des plages de plastique
Avoir une peau fantastique
Je veux être un héros
Sous héroïne
C'est notre époque ...
Pas mis le lien :
https://youtu.be/W8_lq8eMdyI
https://youtu.be/W8_lq8eMdyI
Corps de ferme à l'abandon, de Dominique A
dans "Toute latitude"
Je suis retourné au
Corps de ferme à l’abandon
Je suis entré dans l’étable
Noire, les poutres tenaient bon
Tenaient le plafond éventré
Les planches d’avant guerre, la première
Siècles des nuits, nuit des siècles
Tout était si vieux ici
Depuis toujours
Si hauts les arbres enserrant la ferme
Si fleuri le jardin au centre de la cour
Encore fleuri
Comme quand des gens vivaient ici
Et si haute la peur
Qu'enfants on jouait à réveiller
L'après-midi dans le grenier immense
De la maison du fermier
Le fermier qui avait l’air si gentil
Et qui passait ses nerfs
Sur ses vaches sur ses fils et sur le commis
Le commis qui vivait
Au-dessus de l’étable
Comme en 1900
Sa silhouette torse nu à la fenêtre le soir
Dans la lumière blanche de l'ampoule au plafond
De sa chambre
Et au bout d'une allée,
Longeant le jardin clos derrière chez les fermiers
Il y avait le château
Et les bêtes empaillées dans l’entrée bleue pâle
Un renard et un cerf
Et en face l’étang
Au bout d'un champ en pente douce
Comme un répit dans l’épaisseur des lieux
A l’écart l'écurie
Et ses secrets palpables et ses lignes franchies
Les non-dits enroulés dans l'obscurité des murs sales
En paquetage de ce qu’on sait,
De ce qui ne se dit pas pour toujours,
Et suinte, suinte de partout
Et se transmet
Dans un grand silence entendu
Ça puait le secret
La chair sous la contrainte
La perpétuation du mal, moisson d'éternité
Qu'il faut engranger vaille que vaille
Et que ça pue plaisait
Aux gosses que nous étions
C'était bien pour la peur, l'inquiétude
Ce qui montait dans le grenier
Jusqu'à la maison du fermier
Ca nous électrisait
On s'emparait de ces histoires
Comme de poisons délectables
Ces fantômes convoqués
Dans un 2 pièces sombre
Loué à l’année pour rien
Au châtelain qu’on ne voyait jamais
Il n'y avait pas de salle de bain
Juste un évier dans la cuisine
Une cheminée jamais ramonée
Et les chiottes en bois sur un côté de la cour
On écoutait Police
“I can’t, I can’t stand losing ...”
Avec sur la pochette du 45 tours un type pendu
Au dessus d’un bloc de glace à demi fondu
L'humour à l’orée des eighties
Le cynisme new-wave
Comme une irruption hors cadre
Dans ces lieux sans âge
Si vieux depuis toujours
Confinés dans la nuit des siècles
La maison des fermiers,
Le grand jardin clos, le grenier
Le château, l'écurie
Et les secrets par milliers
Répandus dans la cour
Sans âge
Débordant de partout
Affreux,
Congestionnés
Quand je suis retourné au
Corps de ferme à l’abandon
La peur était intacte
Les lieux criaient ”Pitié”
Et même en plein jour tout hurlait,
Tout hurlait
Et se jetait sur vous
Je suis sorti dans l’effroi de l’étable
Et j’ai fui
https://youtu.be/hoT0yI3wXkY
Pas grand chose à faire que fuir, en effet ...
dans "Toute latitude"
Je suis retourné au
Corps de ferme à l’abandon
Je suis entré dans l’étable
Noire, les poutres tenaient bon
Tenaient le plafond éventré
Les planches d’avant guerre, la première
Siècles des nuits, nuit des siècles
Tout était si vieux ici
Depuis toujours
Si hauts les arbres enserrant la ferme
Si fleuri le jardin au centre de la cour
Encore fleuri
Comme quand des gens vivaient ici
Et si haute la peur
Qu'enfants on jouait à réveiller
L'après-midi dans le grenier immense
De la maison du fermier
Le fermier qui avait l’air si gentil
Et qui passait ses nerfs
Sur ses vaches sur ses fils et sur le commis
Le commis qui vivait
Au-dessus de l’étable
Comme en 1900
Sa silhouette torse nu à la fenêtre le soir
Dans la lumière blanche de l'ampoule au plafond
De sa chambre
Et au bout d'une allée,
Longeant le jardin clos derrière chez les fermiers
Il y avait le château
Et les bêtes empaillées dans l’entrée bleue pâle
Un renard et un cerf
Et en face l’étang
Au bout d'un champ en pente douce
Comme un répit dans l’épaisseur des lieux
A l’écart l'écurie
Et ses secrets palpables et ses lignes franchies
Les non-dits enroulés dans l'obscurité des murs sales
En paquetage de ce qu’on sait,
De ce qui ne se dit pas pour toujours,
Et suinte, suinte de partout
Et se transmet
Dans un grand silence entendu
Ça puait le secret
La chair sous la contrainte
La perpétuation du mal, moisson d'éternité
Qu'il faut engranger vaille que vaille
Et que ça pue plaisait
Aux gosses que nous étions
C'était bien pour la peur, l'inquiétude
Ce qui montait dans le grenier
Jusqu'à la maison du fermier
Ca nous électrisait
On s'emparait de ces histoires
Comme de poisons délectables
Ces fantômes convoqués
Dans un 2 pièces sombre
Loué à l’année pour rien
Au châtelain qu’on ne voyait jamais
Il n'y avait pas de salle de bain
Juste un évier dans la cuisine
Une cheminée jamais ramonée
Et les chiottes en bois sur un côté de la cour
On écoutait Police
“I can’t, I can’t stand losing ...”
Avec sur la pochette du 45 tours un type pendu
Au dessus d’un bloc de glace à demi fondu
L'humour à l’orée des eighties
Le cynisme new-wave
Comme une irruption hors cadre
Dans ces lieux sans âge
Si vieux depuis toujours
Confinés dans la nuit des siècles
La maison des fermiers,
Le grand jardin clos, le grenier
Le château, l'écurie
Et les secrets par milliers
Répandus dans la cour
Sans âge
Débordant de partout
Affreux,
Congestionnés
Quand je suis retourné au
Corps de ferme à l’abandon
La peur était intacte
Les lieux criaient ”Pitié”
Et même en plein jour tout hurlait,
Tout hurlait
Et se jetait sur vous
Je suis sorti dans l’effroi de l’étable
Et j’ai fui
https://youtu.be/hoT0yI3wXkY
Pas grand chose à faire que fuir, en effet ...
Voici la Vie en rose du Trio Esperança, version que je préfère mille fois à celle d'Edith Piaf :
https://www.youtube.com/watch?v=NkAu4vTplHw
https://www.youtube.com/watch?v=NkAu4vTplHw
Voici Ce Garçon qui danse, de France Gall :
https://www.youtube.com/watch?v=1Qh1Oi7mbiU
https://www.youtube.com/watch?v=1Qh1Oi7mbiU
Voici Va savoir, de Liane Foly :
https://www.youtube.com/watch?v=fBG7xoAfaoY
https://www.youtube.com/watch?v=fBG7xoAfaoY
En guise d'hommage, voici Nice baie des Anges, de Dick Rivers :
https://www.youtube.com/watch?v=D3_JVH6SE4Q
https://www.youtube.com/watch?v=D3_JVH6SE4Q
Voici Beau oui comme Bowie, chanson composée par Serge Gainsbourg et interprétée par Isabelle Adjani :
https://youtube.com/watch/…
https://youtube.com/watch/…
Liberté, Egalité, Fragilité, de Mickey3D
dans "Sebolavy"
Ces routes départementales
Ces films à accord parental
Ces associations de loi 1901
Ces collectifs à but non lucratif
Les débats télévisés
Les apéros les soirs d'été
Les plages au sud surpeuplées
Les touristes allemands à la peau grillée
Les bus et les quartiers
Les commerces de proximité
Les rues pavées, les villes fleuries
Les villages, les cantonniers
Liberté égalité fraternité
Fragilité
Tu la connais
La liberté
L'égalité
Tu la connais
La benne à verre
Les grandes surfaces
Les chariots à pièce
Et les promos de Noël
Les lotissements
Les balançoires sur le gazon
Les enfants qui jouent au ballon
Le chien méchant derrière le portillon
La solitude
L'inquiétude
La liberté
L'égalité
La fraternité
La fragilité
Tu la connais
Tu la connais
La France
https://youtu.be/xRJLELctLVc
Un Mickey3D un peu dans l'esprit de nos "Je me souviens" ...
dans "Sebolavy"
Ces routes départementales
Ces films à accord parental
Ces associations de loi 1901
Ces collectifs à but non lucratif
Les débats télévisés
Les apéros les soirs d'été
Les plages au sud surpeuplées
Les touristes allemands à la peau grillée
Les bus et les quartiers
Les commerces de proximité
Les rues pavées, les villes fleuries
Les villages, les cantonniers
Liberté égalité fraternité
Fragilité
Tu la connais
La liberté
L'égalité
Tu la connais
La benne à verre
Les grandes surfaces
Les chariots à pièce
Et les promos de Noël
Les lotissements
Les balançoires sur le gazon
Les enfants qui jouent au ballon
Le chien méchant derrière le portillon
La solitude
L'inquiétude
La liberté
L'égalité
La fraternité
La fragilité
Tu la connais
Tu la connais
La France
https://youtu.be/xRJLELctLVc
Un Mickey3D un peu dans l'esprit de nos "Je me souviens" ...
Voici Rendez-vous à Vedra, d'Etienne Daho :
https://www.youtube.com/watch?v=huXzJvtIA_Y
https://www.youtube.com/watch?v=huXzJvtIA_Y
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